Monstres Et Monstruosité

de la RAISON (avec des arg directes.) Persuader = essayer de rallier l'autre à sa thèse par le biais des SENTIMENTS et des EMOTIONS. Apologue = fiction courte qui vise à nous faire réfléchir. *Les Essais, Montaigne (1595) thème = la monstruosité Montaigne = humaniste du XVIe siècle (mvt littéraire = humanisme) Les références des humanistes = auteurs ANTIQUES (Platon, Socrate) humanisme = valorisation de l'ê humain, on cherche à acquérir des connaissances et comprendre, observation de

[pic] Séance 1 : Les différents types de portraits. Objectifs ⇨ Savoir organiser un portrait ⇨ Repérer les champs lexicaux. ⇨ Connaître les outils de la description. I. Trois monstres, trois portraits. A. Le portrait fixe : portrait de Frankenstein. 1. Analyse du texte. Le professeur Frankenstein passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il

l’époque, ont transformé durablement les personnes qui les ont vécues. Louis-Ferdinand Céline dans Voyage au bout de la nuit, utilise un vocabulaire d’horreur pour décrire le quotidien des soldats. Il parle de tragédie, de monstre, d’enfer, de mutilation, d’obscurité. On retrouve cette sombreur dans le tableau Guernica de Pablo Picasso qui ne met pas de couleur, et met en avant des scènes de corps mutilés, de personnes horrifiées. A travers l’art, l’image de la guerre est très

pourquoi il est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres ont dit que je l’avais fait trop bon. J’avoue que je ne m’étais pas formé l’idée d’un bon homme en la personne de Néron. Je l’ai toujours regardé comme un monstre. Mais c’est ici un monstre naissant. ». L’opinion publique est divisée. En effet, Racine a choisi un sujet-histoire compliqué car ses contemporains connaissent les épisodes de la vie de Néron et se sont déjà fait une image du tyran, ils sont donc exigeants. Les

Étude critique de l’article « La beauté du monstre dans les romans médiévaux: de la peau de dragon à l’Incarnation du Christ » de Christine Ferlampin-Acher BRUNETTO Manon Bac 3 LLFR 17/12/2014 Histoire approfondie de la littérature française du Moyen Âge BRUNETTO Manon Bac 3 LLFR Histoire approfondie de la littérature française du Moyen Âge Le 17 décembre 2014 L’article au centre de ce travail s’intitule « La beauté du monstre dans les romans médiévaux : de la peau de dragon à l’Incarnation

le goût de la chair fraîche, les cris des enfants qu’il peut entendre et enregistrer lors des récréations ; il adore aussi les photographier ou les porter sur son dos comme le faisait Saint Christophe. Abel confie qu’il a l’impression d’être un monstre, un « ogre » possédant une partie sombre en lui, une « force ténébreuse » qui lui permet d’avoir un contrôle sur son destin : il se souvient d’un matin où, alors qu’il devait comparaître devant le conseil de discipline, il avait souhaité voir le collège

 Physiquement , tout en lui nie la monstruosité de ses actes : lors de son procès , il a l’air las, fatigué , parfois donne l’impression d’être dépassé par es évènemens et a un rhume qui l’oblige à souvent se moucher .  Cette descrition fait écho a l’oeuvre de Primo Lévi dans : Si c’est un Homme. « Ils étaient faits de la même étoffe que nous, c’étaient des êtres humains moyens, moyennement intelligents, d’une méchanceté moyenne : sauf exception, ce n’étaient pas des monstres, ils avaient notre visage. »6

marin mais qui est aimée de Pyrrhus, lui-même aimé de Hermione, elle même chérie par Oreste. La chaîne est donc construite sur une impossibilité majeure qui est l'amour d'Andromaque pour le passé et sa haine pour Pyrrhus. 1) Le portrait d'un monstre : Le portrait de Pyrrhus est le véritable enjeu de la tirade d'Andromaque. Parler de la guerre c'est avant tout évoquer la cruauté de Pyrrhus. Le roi est présenté sous l'aspect de la bestialité pure : « les yeux étincelants », « sur tous mes frères

haine pour mieux lui prouver sa passion en réfrénant ses désirs par l’exil. Le comportement paradoxal est illustré par un style disjonctif et des tournures antithétiques « j’ai voulu te paraître odieuse, inhumaine » : gradation, vocabulaire de la monstruosité, veut se rende repoussante, cpt presque paroxystique qui exprime tourment. Plus loin, on lit une symétrie contrastive « pour mieux te résister, j’ai recherché ta haine », cette structure insiste sur un conflit existentiel. Quelles en sont les

guerres n’a pas contribué à changer le regard sur les handicapés. Bien au contraire, à cette période, les films traitant du handicap étaient souvent classés dans la catégorie des films d’horreur car ils mettaient en scène ce que l’on appelait les « monstres de foires ». Relégués au second plan, la lumière n’était mise sur eux que pour attiser la curiosité des foules avides de sensationnel. Le film « Notre Dame de Paris »(1923) va un peu atténuer l’image que les gens se faisaient du handicap physique