Monstres Et Monstruosité

Au premier abord, on peut déjà s'imaginer la suite des évènements: Néron et Agrippine vont battre Britannicus et Junie. La scène d'exposition nous donne alors un premier à priori sur la suite... 7- La double énonciation et la naissance du monstre : Néron Le double énonciation c'est que le personnage-acteur parle à un autre personnage présent sur scène mais s'adresse aussi au public. 1) Enonciation entre les personnages : Le changement de comportement de Néron. Action de Néron : Enlèvement

"crapaud" v.6 avec émerveillement : " éblouie" v.6 , "contemplait la splendeur" v.7 . Apparait alors une opposition entre la beauté du milieu et de l'animal qui symbolise généralement la disgrace physique idée appuyée par le champs lexical de la monstruosité : " l'horreur"v.7 , " laideur" v.8 , "pustules"v.10 , "peut etre maudit " v.10 , remettant ainsi en question la création divine .Et tant de mocheté semble révolter le crapaud et le pousse à se poser des questions existentielles : " Oh! pourquoi

Certaines femmes sont présentées comme de véritables monstres qui effraient te repoussent : Monstruosité physique de la femme sauvage qui devient objet de curiosité dans les foires ; monstruosité comportementale de cette maîtresse, véritable "phénomène vivant" qui " mangeait, mâchait, broyait, dévorait, engloutissait" tout ce qu'elle trouvait à manger ; Monstruosité mentale de Mademoiselle Bistouri qui est obsédée par le corps médical ; Monstruosité morale de cette mère qui vend par petits morceaux

surtout grâce au contenu qu’on reconnaît une épopée. En effet, il s’agit du récit d’actions glorieuses réalisées par un héros, pouvant mettre en doute son caractère de mortel. C’est le cas d’Ulysse : il affronte la force des Dieux, des éléments, des monstres, et de ses ennemis. Homère lui attribue plusieurs épithètes qui vont dans ce sens : « l’endurant , l’ingénieux, le patient, l’ingénieux »... Une véritable grandeur lui est attribuée. Enfin, l’univers de l’Odyssée correspond bien au récit épique

16 «le visage au milieu d’elle-même» : caricature. Présence de termes qui appartiennent à des registres différent l.14 «révolution», l.17 «piédestal» qui n’appartiennent pas au registre de la mode, ce qui donne un aspect de monstruosité, on imagine ses femmes comme des monstres. On a des verbes d’actions l.16 «mettait», l.17 «occupaient» ,l.17 «faisaient»,l17 «tenait», ce qui accorde un mouvement de métamorphose aux éléments qui prennent le pouvoir.Dans la modification des formes on va jusqu’à l’idée

PHEDRE · Héritage antique · Tragédie Jean racine : écrivain du roi 17eme siècle Louis XIV (Louis le Grand)1654-1715 CLASSISISME FRANÇAIS -retour à l’héritage antique (seulement vrai art dans l’antiquité un peu à cause des guerres de religion et religieuses car veulent rupture avec passé) L’art du jardin à la française Versailles (1660) Classicisme : La religion avant tout Admirer l’ordre du monde et le rôle de l’homme en tant que créature de dieux L’homme à règles- l’honnête homme- tout est tourné

son travail descriptif légitime en le présentant comme 1 exploration des domaines sociaux jamais abordés avec le présent de vérité générale + montrer « les monstruosités » que renferment Paris complexe et infinie (métaphore filée de l’océan(vaste, ample, renouvelé), variété grâce à accumulation l 38 39 avec antithèse entre perle (bleu) et monstre (laid) comme P et la pension + lexique de l’inconnu abondant l 34 40) caractère novateur de B et ambition de son projet – défit avec impératif roman total

sa situation et rappelle de ce qu’elle a fait pour lui. La nourrice essaie de calmer Médée, mais elle ne l’écoute pas. Créon arrive (assez brutal) et ordonne à Médée de partir, il l’a déjà épargné d’après lui en lui laissant la vie. Médée est le monstre du point de vue de Créon. Elle va essayer de plaider sa cause, elle va obtenir 2 choses : le délai pour pouvoir partir (1 jour) et Créon va accueillir ses enfants comme les siensChœur : se met à chanter, pas directement sur l’action, plus décrocher

lequel il travaille. Daisy et Béranger auront une brève histoire d'amour au cours de la pièce, mais très vite Daisy va se laisser toucher par la rhinocérite car c'est un personnage qui ne veut pas voir, qui reste indifférent, tout en sachant la monstruosité du fléau. -DUDARD : Autre collègue de Béranger, Dudard est un personnage qui a première vu a l'air raisonnable et lucide. Cependant, Dudard se caractérise par une forte mauvaise conscience, ainsi qu'un sentiment de doute pesant. Dudard préfère

pas royaliste, ce qui lui vaudra les foudres de l'abbé Grimont. Les habitants de Guérande ne l'appellent pas entre eux par son nom et prénom, mais l'affublent de noms péjoratifs et la présentent comme un être hybride, tel que, nous l'avons vu, « monstre », mais aussi « créature », « diable », « sorcière », « fille de Baal », « garse », « amphibie qui n'est ni homme ni femme»[21], et « auteur habitué à feindre des sentiments ». Elle est donc associée à des figures maléfiques et mystiques. Dans