Monstres Et Monstruosité

de Phèdre ; Phèdre se perçoit comme un monstre ; Phèdre est le jouet de la fatalité. Nous avons montré dans cette scène que Phèdre est en proie à un accès de folie qui unit étroitement désir amoureux et désir de mort. Elle reste vivante, bien que de plus en plus enfermée dans la détestation de soi, de plus en plus seule face au destin qui s’acharne, de plus en plus liée aux paroles infamantes qui sortent de sa bouche. Les notions de fatalité, de monstruosité et de violence. Elle aime Hippolyte

INTRODUCTION Je vais m’attaquer ici à ce que j’appelle la « trilogie des monstres » de Spielberg. Trois films, inspirés de trois œuvres littéraires, qui auront marqué trois tournants dans la vie du réalisateur, et dans l’histoire du cinéma. Duel (1973), premier film de Steven Spielberg, Jaws (1975) premier blockbuster de l’histoire du cinéma, et Jurassic Park (1993) réalisé en même temps que Schindler’s List, et n°6 au box-office mondial de tous les temps. Trois succès incontestable, et pourtant

après le décès de sa femme causé par un cancer. Il enseigne jusqu'en 1920 puis se consacre au journalisme. Il se marie avec Jeanne Zambona en 1925. En 1927, il écrit le fameux roman bouleversant : « A l'ouest rien de nouveau » ; qui va dénoncer la monstruosité de la guerre et va connaître un grand succès dès sa parution en 1928 ; mais la presse nationaliste allemande le qualifie de juif apatride. Ce chef d'œuvre est adapté cinématographiquement aux États Unis en 1930 . Cependant, sa sortie en Allemagne

philosophes seraient roi. C’est l’exercice du pouv qui humanise Auguste, qui en fait un prince idéal après avoir été identifié comme Tiran. On voit un monstre se transformer en prince accomplit. Mauvaise conscience qu’il a chaque fois qu’il se rappel sur quoi il a construit son règne. Alors que Britannicus = on assiste sur la naissance d’un monstre, qui apparait d’abord la promesse d’un prince parfait. Réflexion sur Burrhus = son rôle dans la pièce par rapport à Néron = son mentor, il lui apprend

Properce qui, de façon symptomatique, axe également sa lecture du mythe sur le mensonge crétois : il s'agit de l'élégie dédiée à la description des Inferi par l'eïôco^ov de Cynthie, où le poète déplace la monstruosité de Pasiphaé sur celle de l'artefact construit par l'ingénieux architecte, « monstre en bois de la trompeuse génisse de la Crète » {Cressae mentitae lignea monstra bovis (TV, 1,57- 58)), sorte de cheval de Troie erotique destiné à tromper son partenaire. Il est loisible de supposer, avec

contestations que je ne veux point écrire, elle passa des accords avec le diable… » p.432. Faisant référence à la mythologie de l’Antiquité, le lecteur comprend que la jeune fille court à sa perte. Le diable, comparé à une sirène ; qui était autrefois un monstre marin attirant les malheureux marins par leurs chant angéliques et qui conque se laissé bercé par la mélodie finissait échoué. C’est ce qui se passera dans cette histoire, malgré que le passage étudié s’arrête avant le décès du personnage.

recourt à l'apostrophe, l'hyperbole, l'injonction OU parfois « coupable d'hybris » tel un redresseur de torts. L'influence de Socrate dans LC. Socrate était connu pour sa laideur mais la finesse de sa pensée. LB en fait, non un monstre, mais un montreur de monstres.(Des jugements) Il s'approprie ainsi la figure de Socrate, car il voit en lui, non un philosophe, mais un moraliste qui débusque les vices dans toute leur laideur grotesque. D'où la récurrence de l'image de la foire et de la figure

se reporte au récit de Théramène : au vers 1528 Hippolyte «saisit ses javelots », et transperce le monstre. Cela n’a aucun effet, Hippolyte meurt quand même. Son char même ne l’aide pas,  au vers 1542-43 « l’intrépide Hippolyte/ Voit voler en éclat tout son char fracassé ». Même Neptune qui serait selon la tradition le père divin de Thésée à qui il aurait fait trois vœux, l’abandonne, puisqu’un monstre de la Mer envoyé par Neptune lui-même surgit et tue Hippolyte. « je ne me souviens plus des leçons

MODÉLISATIONS ET CONCEPTIONS DANS LE DOMAINE DE L’INCLUSION Julie Varichon – STAPS BordeauxJulie VarichonPlan : Introduction générale Partie 1 : Place des personnes en situation de handicap dans la société I. Introduction II. Avant le 20ème siècle : le monstre exclu III. 20ème : l’handicapé intégré IV. À partir du 21ème : la personne en situation de handicap incluse Partie 2 : Place

soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri,     Je ferai rejaillir la haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable, Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! "     Elle ravale ainsi l'écume de sa haine