Montaigne Essais Iii 3

an » b) une femme a la vie débridée, mais cultivée *elle a des amants « je n’ai pas trop gardé ma parole » = euphémisme pour : j’ai trompé mon mari. *accepte les infidélités de son mari = libertinage *elle est cultivée  (elle lit Montaigne, saint Paul), références littéraires (elle connait des vers de Molière par cœur) * irrespectueuse, qui n’a pas « la langue dans sa poche » *langage imagé et pittoresque = « croquis » péjoratif des hommes qui ont « le menton couvert d’un vilain

| | |•         Le livre et son auteur |(Lucrèce, Cicéron, Sénèque, Tertullien… |•         Les Maximes (La Rochefoucauld) | | | |•         Montaigne |•         La philosophie (Pascal, | | | |•         Il Cortegiano de B. |Descartes) | |

capable d’abstraire c) La découverte de la Renaissance : Chez Saint Augustin = l’homme intérieur à la foi -> après sa conversion -> il a dis « avant je n’aimais pas, j’aimais aimer »-> soif d’absolu comblé par Dieu Chez Montaigne -> la reconnaissance de l’individu -> Montaigne comme saint Augustin va développer un récit autour de soi -> un nouveau genre littéraire -> l’écriture de soi -> autobiographie -> devient la matière même du livre « Je suis moi-même la matière de mon livre » -> la peinture

nous avons tous notre propre définition de la réussite celle ci faite en fonction de notre personnalité , notre environnement social et nos aspirations je pense qu'il faut savoir trouver l'équation parfaite entre ces 3 paramètres : Passé ( ce que j'ai été , d'où je viens ) , présent ( ce que je suis aujourd'hui ) , et meefutur ( ce que je veux être ) Une vie prospéré est à notre sens un agréable équilibre entre nos objectifs / aspirations/ rêves et notre capacité à les atteindre. Cela en

n’implique que le réfuté soit persuadé de la fausseté de son discours. Ainsi, Polos en vient à reconnaître qu’il vaut mieux subir l’injustice à la commettre, sans pour autant en être persuadé, ce qui provoque l’intervention d’un troisième personnage. 3- Calliclès : il a le sentiment que la réfutation de Socrate n’est pas logique, et qu’elle tient seulement à une finesse consistant à jouer sur les deux registres de la nature et de la loi. Socrate aurait aussi joué sur la honte, la gêne… de Polos pour

autre part de lui, « le lectant », doit pouvoir s’identifier à l’auteur (V. Jouve : « il a pour horizon une image de l’auteur qui le guide dans sa relation au texte »). Exemple : dans la scène de la trahison d’Octave par sa première maîtresse (I, 3, p. 82-83), le lisant s’identifie aux personnages (pitié pour Octave), mais le lectant s’identifie à Musset et se représente Musset en train de prêter un sens symbolique à la scène (« je soulevai la nappe » = motif du dévoilement = définition de l’écriture

Anthologie de Jean Rousset : Brebeuf, La Ceppède, Le Moyne, Martial de Brives, Claude Hopil et bien d’autres. Célèbre pour sa défense de la « poésie pure », Bremond les lit pourtant avec une compréhension large. Au delà du « sentiment religieux », son essai met en lumière certains traits qui serviront quelques décennies plus tard à définir le Baroque  : l’optimisme naturel, «l’humanisme », la sensualité : « on annexe le monde lui-même au royaume de la dévotion » ; la virtuosité stylistique, car « avec

Stratégies argumentatives Convaincre : amener une personne à penser profondément la même chose que soi. Persuader : entraîner l’adhésion d’un interlocuteur à une thèse. Délibérer : effectuer un choix face à une question problématique, un dilemme. III) Les différents types d’arguments Argument logique : argument qui s’appuie sur une démarche presque scientifique, par la déduction ou l’induction. Argument par analogie : il rapproche une idée abstraite d’un exemple concret : « Une classe sans professeur

Caractéristiques et thèmes baroques à travers différents genres littéraires. Textes étudiés en lectures analytiques : 1/ Montaigne, Essais (1588) « Le monde n’est qu’une branloire pérenne… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 367. 2/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « L’eau change tous les jours… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.368. 3/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « Mortel sonnet », document photocopié.

d’illégitime, de justice et d’injustice, n’ont pas ici leur place. Là où il n’y a pas de pouvoir commun, il n’est pas de loi ; là où il n’est pas de loi, il n’est pas d’injustice. La violence et la ruse sont en temps de guerre les deux vertus cardinales. » 3) Puisqu’il semble qu’il n’existe pas de lois et de justice universelles, que toutes les lois établies sont variables et que l’idée qu’on se fait de la justice varie avec elle, comment ne pas s’en remettre seulement aux lois de notre pays ? Si nous