Montherlant

rares, des plaisirs nouveaux. Par exemple il transforme sa maison en immense entrepôt de fleurs, et tous les jours des nouvelles fleurs lui sont apportées. Puis ça sera les vins, les minéraux… C’est un personnage qui veut gouter à tout. Henry de Montherlant est fasciné par l’héritage chrétien et en même temps de la jouissance. Il parle de féérie : l’accomplissement dans l’instant. On peut dire que la présence au monde est envisageable à travers un moi qui se perd dans sa propre irrationalité. Autrement

choisirait pour ami, si elle était homme. Joubert (Joseph)   4/ Le difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort. Malraux (André)   5/Quelques-uns prennent pour de l'amitié ce qui est de la charité. Montherlant (Henry Millon de) 6/Les feux de l'amour laissent parfois une cendre d'amitié. Régnier (Henri de)   7/Vivre sans amis, c'est mourir sans témoin. George Herbert   8/Avoir beaucoup d'amis, c'est n'avoir pas d'amis. Aristote   9/Il n'y

l’œuvre dramatique constitue un moyen efficace de sensibilité le public à sa réflexion morale, philosophique et politique. Il a recourt pour cela aux technique théâtrale conventionnelles. La tradition Armand Salacrou, Jean Anouilh, Henri de Montherlant et Marcel Aymé créent des œuvres de manière classique qui respectent la cohérence, la progression et le souci de vraisemblance de l’action dramatique. Ce théâtre se veut réaliste. Son argumentation claire s’adresse à l’intelligence. Mais sa nouveauté

son prochain, éviter de manger trop gras, lire un bon livre de temps en temps, faire des promenades à pied et essayer de coexister en paix et harmonie avec des personnes de toutes les croyances et de toutes les nations », alors que pour Henry de Montherlant : « La vie n'a qu'un sens : y être heureux. Si la vie n'est pas synonyme de bonheur, autant ne pas vivre ». Nous pensons donc que chacun a sa propre opinion et c'est ça qui compte. En revanche, de plus en plus de jeunes veulent faire et font

Le jeu de l'amour et du hasard, Beaumarchais, Le barbier de Séville, Jean Genet, Les bonnes. Les réécritures de la fin de Dom Juan : choix de textes pris dans le manuel ; pièce de Tirso de Molina (p.482), Lorenzo da Ponte, Don Giovanni (p.486), Montherlant, La mort fait le trottoir (p.488), E.E. Schmitt, La nuit de Valogne (p.490). Mises en scène de Dom Juan : Armand Delcampe, Abbaye-de-Villiers-la-Ville, Belgique, 1999. Jacques Lasalle, Comédie française, 2004. Questions étudiées : Le couple maître

34 Sport et civilisation : histoire et critique d’un phénomène social, Michel Caillat Fiche 35 Les Jeux et les hommes - le masque et le vertige, Roger Caillois Fiche 36 Ocean’s Songs, Oliver de Kersauson Fiche 37 Les Olympiques, Henry de Montherlant Fiche 38 Sociologie du sport, Jacques Defrance Fiche 39 Femmes et sportifs Fiche 40 Sport et civilisation, la violence maîtrisée, Norbert Elias et Eric Dunning Fiche 41 Les Forçats de la route, Albert Londres Fiche 42 Le Stade barbare

les écrivains qui, bien avant Eric-Emmanuel Schmitt, ont tâté du mythe, que ce soit la version de Molière, celle de Mozart, Théophile Gautier, Dumas, Mérimée, Pouchikine, Barbey d’Aurevilly, Tolstoï, Baudelaire, ainsi que George Bernard Shaw ou Montherlant, Ghelderode, Bertold Brech et bien d’autres dont Roger Vaillant, Charles Bertin, Suzanne Lilar, Drieu la Rochelle, etc. On n’a pas fini de parler du séducteur, on en parle depuis sa création au 17ème siècle par un moine de l’Ordre de la Merci, Fray

Le théâtre de poètes : Jules Supervielle et Michel de Ghelderode. Années de la crise et scène intellectualisée Disparition de Giraudoux (1944) et des grands animateurs : Pitoëff, Lugné-Poe, Copeau, Dollin ; en 1951-52 Jouvet et Baty. Henry de Montherlant, Jean-Paul Sartre et Albert Camus font leur début à la scène ; Jean-Louis Barrault et Jean Vilar succèdent aux metteurs en scène du Cartel. Les années 1952-1955 Samuel Beckett, En attendant Godot (1953), le théâtre de l’absurde : réduction du

Jarry (« Ubu-Roi ») LE XX° SIECLE / Période paradoxale de renouvellement, de crise et de richesse de création : A – Théâtre littéraire et poétique / prédominance de l’entre-deux guerre d’une grande puissance lyrique ds le théâtre : Claudel, Montherlant, Anouilh, Giraudoux, Cocteau B – Théâtre engagé / inspiration philosophique et/ou politique avec Arthur Miller aux EU, Bertold Brecht en Allemagne et Sartre (la Putain respectueuse, les Séquestrés d’Altona, Huis-clos) et Camus (Caligula, Le Malentendu

| |1935 |J. Giraudoux |La Guerre de Troie n'aura pas lieu | |1936 |G. Bernanos |Journal d'un curé de campagne | | |H. De Montherlant |La Reine Morte | |1938 |J.-P. Sartre |La Nausée | |1939 |A. de Saint-Exupéry |Terre des hommes