Montherlant

surréalisme, s’étendent au domaine du théâtre, à travers les pièces iconoclastes de Guillaume Apollinaire (_"les Mamelles de Tiresias", _1917) ou de Roger Des auteurs comme Jean Giraudoux ("_La guerre de Troie n’aura pas lieu", _1935), Henry de Montherlant (_"la Reine morte", _1942), Jean Anouilh (_"Antigone",_ 1944), ou encore le Belge Michel de Ghelderode ("_la Ballade du Grand Macabre",_ 1935) proposent une réactualisation de thèmes historiques ou mythiques. Les spectacles, préparés par plusieurs

1930 | J. Giono | Regain | 1932-46 | J. Romains | Les Hommes de bonne volonté | 1934 | M. Aymé | Contes du Chat perché | 1935 | J. Giraudoux | La Guerre de Troie n'aura pas lieu | 1936 | G. Bernanos | Journal d'un curé de campagne | | H. De Montherlant | La Reine Morte | 1938 | J.-P. Sartre | La Nausée | 1939 | A. de Saint-Exupéry | Terre des hommes | 1942 | A. Camus | L'Etranger |   Deux grands éditeurs dominent le marché : Gallimard et Grasset. Plusieurs revues se créent notamment la Nouvelle

sont principalement jouées dans la soirée, à partir de dix-sept heures mais sont également jouées lors d'occasions telles que les fêtes de village ou les foires. A partir de 1945 : tradition et Nouveau théâtre La tradition classique. Henri de Montherlant (1895-1972)renoue avec l’esthétique du théâtre classique, tant au niveau de l’intrigue que des personnages : héros enquéte d’absolu déchirés par les contradictions, tel Ferrante dans La Reine morte (1942). Le théâtre engagé En Allemagne, Bertolt

corps et la loyauté que véhicule le sport. En 1989, Antoine Hamont dans son texte « Sport » évoque la hausse du professionnalisme, la pression exercée par les médias et les politiques ainsi que les inégalités engendrées par le dopage. Henry de Montherlant dans Les Olympiques de 1924-1938 nous parle de l’abolition de la « poésie » du sport et de « l’abrutissement officiel » causé par la compétition. Dans son entretien au Nouvel Observateur, Alain Ehrenberg (1998) dénonce la destruction des valeurs

un héros moderne et contemporain. Don Juan a également fait l’objet de nombreuses réécritures et variations. Issu d’une pièce espagnole, le personnage est repris par Molière au XVIIe, puis par Mozart pour son opéra, par Baudelaire en poésie et Montherlant pour le roman. Ce sont plusieurs Don Juan qui ont des particularités différentes et viennent enrichir ce personnage illustre. 4) L’adaptation libre Un auteur peut aussi reprendre un texte, non pas pour l’améliorer, mais pour le destiner à un public

Pour illustration, remémorons-nous l'allure de Dominique Rocheteau, ou celle de ce prestidigitateur footballistique que fut Jean-Marc Guillou! De Dominique Rocheteau, en ces années soixante-dix, il était encore possible de dire ce qu'Henry de Montherlant écrit, dans un superbe poème, de tout ailier : « un ailier est un enfant perdu ». Produit usiné pour être vendu aux chaînes de télévision, le football contemporain a substitué à ces « enfants perdus » des montagnes de muscle, des Robocop et des

Dissertation ''Il y a le réel et il y a l’irréel. Au-delà du réel et au delà de l’irréel, il y a le profond.'' Henry de Montherlant. Les limites entre le réel et l'irréel sont donc confuse, la poésie a différent but selon le souhait du poète. Nous pouvons donc nous demander si la poésie nous rapproche ou nous éloigne du réel. Dans un premier temps nous allons voir que la poésie nous rapproche du réel, puis dans un second temps nous verrons qu'elle nous en éloigne. La poésie cherche à un

son œuvre ? L’anthologie s’ouvrira sur le poème de Baudelaire intitulé «l’ennemi » extrait des Fleurs du mal, écrit en 1857, dans son poème, Baudelaire constate les effets du temps sur lui-même. On peut lier ce poème avec une citation d’Henri Montherlant que j’exposerai lorsque je présenterai le poème dans son intégralité. On établira un lien entre l’œuvre et une peinture représentant les 4 saisons, puisque le poème porte plus particulièrement sur celle-ci. On poursuivra par l’Horloge du même auteur

redoutable « une mante religieuse mais elle fascine ». Dans la dernière partie du livre l’auteure évoque la vision qu’ont cinq écrivains de la femme. Henri de Montherlant dont une grande partie de l’œuvre est imprégnée d’un total mépris à l’égard du sexe féminin n’est pas épargné. Il est « exécuté » par l’auteure en trois phases mordantes : « Montherlant n’accepte comme maîtresse que des femmes dont son orgueil peureux n’ait à craindre aucun jugement » ou « il croit qu’il suffit de se divertir des femmes

antifascistes de gauche comme de droite. Pour eux, l’irrespect du traité signé en 1925 et l’abandon de la Tchécoslovaquie qui s’ensuivit sont des actions « sans honneur » (Bidault dans L’Aube) ; la France est indigne de confiance, elle est lâche. Henri de Montherlant exprime ainsi l’absurdité de la situation : « Sur le demi-cadavre d’une nation trahie, sur les demi-cadavres de leur honneur, de leur dignité et de leur sécurité, les hommes, par millions, dansent la danse de Saint-Guy de la paix… » (L’Equinoxe