Morale Contraignante

d’affirmer qu’il n’y a pas de justice en ce monde, car une telle négation suppose une certaine idée de la justice d’après laquelle on juge de l’injustice présente. Kant disait que « même l’homme le plus dépravé gardait au fond de lui une conscience morale, un sens de ce qui est juste. » Le sujet nous interroge sur la légitimité des lois, sur ce qui les rend acceptables à une communauté d’hommes raisonnables. Il nous faudrait un critère pour distinguer les conditions d’une loi juste et de son contraire

caractère sociale de la règle de droit présente un autre aspect dans le sens où la règle de droit à un objet social  elle est nécessaire a l’organisation et a la cohésion du groupe social. La règle de droit se distingue d’autre règles : de la règle morale ou encore de la règle religieuse.Ces règles n’émanent pas d’un groupe social déterminé. Elles émanent d’une autorité transcendante. Leurs finalité n’est pas principalement sociale, mais la finalité essentielle est l’épanouissement individuel. La

Cours : le devoir La morale est souvent perçue comme un ensemble de règles extérieures à un individu et auxquelles celui-ci obéit sous la pressions sociale ou y adhère par conviction religieuse ou autre. Les morales « primitives » prescrivent des interdictions : l’inceste, l’endogamie, le vol au détriment du groupe. Elles définissent des « tabous ». Ces impératifs négatifs énoncés par des autorités ont souvent préfiguré les formules à venir des codes du droit. Leur transgression entraîne l’exclusion

décisions de justice -> receuil - Ordre administratif ou judiciaire - Judiciaire - Tribunal administratif.. - Depuis toujours Loi : toute norme ou système de norme d’ordre juridique ou extra juridique en ce sens on parle de loi naturelle ou de loi morale par opposition à la loi positive. Texte voté par le parlement - Oui - judiciaire - Législatif car voté par les députés - Les juges - Depuis l’instauration du Code Civil Constitution : désigne principalement soit un corps de règle (la constitution

l’obligation et les règles politiques. L’interrogation se porte sur des domaines qui ne se recouvrent nullement. Qelle problematique sera içi la notre et sur quel probleme pouvons nous déboucher ? Obeir à l’ordre necessaires des choses ou bien aux règles morales et politiques , n’est ce pas cesser d’être libre ? La spontaneité humaine n’est elle pas mis alors entre parenthèse ? Pour quelles raisons obéir aux lois ? La liberté idéale n’est elle pas une liberté sans contrainte ni obeissansce ? D’où le probleme

elle se balança doucement de côté et d’autre. » Intro : Chap II : Présentation – et séduction mutuelle – de LH et Dor. Pdt que le peintre travaille, LH expose à Dor ses idées sur l’influence et l’aliénation qu’elle suppose, sur la lâcheté que la morale a fait naître chez les hommes vis-à-vis de leurs passions. Celles-ci doivent être assouvies et se libérer d’un carcan injuste. Ds l’extrait : LH rejoint Dor ds le parc et expose à celui-ci ses thèses sur les relations entre l’âme et le corps, ainsi

CHEZ DURKHEIM : La division du travail permet l’accroissement des richesses en augmentant la force productive et l’habileté des travailleurs. Mais la fonction économique de la division du travail est annexe selon Durkheim par rapport à sa fonction morale. La division du travail crée en effet entre les individus un sentiment de solidarité et produit ainsi le lien social. Elle permet aux individus de se spécialiser tout en les rendant dépendants les uns des autres. Dans ce contexte, la notion de « division

fins destinées à le modifier, de manière à produire des valeurs ou des biens socialement ou individuellement utiles et à satisfaire ainsi ses besoins. Dans un sens plus ordinaire hérité de la chrétienté, le travail est une activité pénible et contraignante, exigeant un effort douloureux. - Technique : ce terme a subi une mutation de sens à l'époque moderne : il désigne maintenant l'application de connaissances scientifiques (cf. Mauss) mais parfois aussi l'aboutissement d'une métaphysique et d'une

juridique qui régissent la vie en société = Ensemble de règles de vie en société. la règle juridique entre autres règles : Règles juridiques=règles de vie en société. =le droit s'intéresse aux relations sociales donc droit proche de la morale étique ,la religion =droit n'équivaut pas a des règles scientifiques Règles scientifique et son rapport au droit . Science =règles peut recouvrir plusieurs acceptions**sens Dans le domaine scientifique les règles peuvent être des:

Le droit peut-il faire abstraction de la morale ? ® Il s’agit donc de s’interroger sur la fonction du droit, sur domaine d’application. Le « peut-il » doit s’entendre en deux sens coextensifs l’un à l’autre : d’abord il s’agit de la possibilité de fait (est-il possible qu’un droit soit indépendant de toute morale ?), mais aussi, et plus profondément, sur la possibilité de droit : un droit qui ferait abstraction de la morale serait-il légitime, c’est-à-dire serait-il encore un droit ? ® Il faut