Morale Contraignante

celui qui a raison est celui qui a réussi à convaincre et non pas à démontrer. /!\ Section 1 : Quels sont les fondements des règles de Droit ? → Le fondement des règles de Droit : La règle est contraignante par l'équité. La règle est contraignante car c'est l'homme qui le veut. La règle est contraignante car l'autorité publique l'a décidé. Paragraphe 1 : La Justice : → Le Droit a-t-il pour objectif de fonder la justice ? Ce n'est pas le but premier. Certaines règles de Droit n'ont rien à voir

Du latin lex, la loi représente en philosophie la règle d’action à laquelle il est obligatoire de se conformer pour réaliser le bien moral. La loi moral est seulement exigible mais comporte en elle même la possibilité de sa transgression. Il s’agit ici de savoir, si un individu a pour vertu d’être juste si il ne les transgresse pas tout en differenciant la condition nécessaire et la condition suffisante. Kant fait la difference entre la loi de droit, de politique et la loi scientifique mais on

essentiellement qu’elle défende leurs intérêts. Ce qui est juste pour l’opinion du plus grand nombre, c’est que mes intérêts ne soient pas lésés. 2) Mais l’égoïsme oblige les hommes à développer le sens de l’intérêt commun. · Les lois sont contraignantes car elles demandent à chacun de réfréner son égoïsme afin de coopérer comme le veut le fait même de s’associer. Les hommes ne l’acceptent pas de leur plein gré. Mais au moins, la plupart l’acceptent, pourvu que les lois soient les mêmes pour

développement de la morale individualiste et de la subjectivité. L’idée de Kierkegaard, selon laquelle il dérangerait l’être humain de choisir sa propre voie sans tenir compte de critères universels, est reprise par d’autres existentialistes. En effet, ils sont en opposition avec la conception traditionnelle du choix moral qui implique de juger objectivement le bien ou le mal. Ils réfutent ainsi l’existence d’une base objective et rationnelle aux décisions morales. Au XIXe siècle, le

de la méfiance à l’égard de la simple promesse morale qui ne contraint pas et sur laquelle on peut revenir en prétextant un changement imprévisible de situation. La promesse est liée à un moment précis, à une situation précise, elle ne me contraint pas réellement dans l’avenir. La promesse n’est pas une contrainte, je suis toujours libre de ne pas la respecter. Certes quand je promets, je m’engage à tenir ma promesse. Mais cet engagement est moral. Il ne constitue pas une contrainte physique. Au

l’interminable théorie de tes devoirs stériles. » l.24-25 * C’est un texte aussi structuré que l’entreprise japonaise, avec un ordre aussi stricte et rigoureux que les ordres moraux que doivent suivre les femmes japonaises * L’accumulation des ordres et des interdits est mimétique de la pesanteur sociale 2) Une éducation contraignante et étouffante a) Cette éducation est martelée dans l’esprit de la japonaise : * Dans le 2ème § répétition du parallélisme syntaxique (conditionnel + futur) « si

peut très bien imaginer un individu mauvais mais heureux, et inversement un homme d’une grande moralité très malheureux, comme l’illustre par exemple le personnage de Gilliatt dans Les travailleurs de la mer de Victor Hugo. Gilliatt, exemple de vertu morale, est le plus malheureux des hommes, car sa promise ne l’aime pas. On pourrait même aller jusqu’à penser qu’il s’agit de deux activités incompatibles dans la mesure où ils visent deux buts contradictoires ; lorsque je m’occupe de moi, je ne m’occupe

représentations collectives. Les proverbes sont présents dans toutes les langues mais un locuteur natif ignore les critères définitoires du proverbe il ne reconnait le proverbe que grâce à quelques propriétés comme la rime, le rythme, le contenu moral et spirituel. A l’inverse, en linguistique, il est étudié grâce à ses caractéristiques, ses modes de fonctionnements d’une part sémantique, syntaxique et argumentatif. Notre objet d’étude qu’est le proverbe doit être appréhendé dans le discours. Le

Angélique Moissonnier Terminale L1 Philosophie Explication de texte Nietzsche Le Gai savoir Nietzsche philosophe et critique de la culture occidentale et de ses valeurs morales nous invite dans cet extrait de Le Gai savoir à réfléchir sur le thème du travail et de son influence sur notre conscience. Il parle ainsi de notre existence dans le travail, c'est à dire comment le vivons nous, quel est sa place dans notre société. Il démontre la part grandissante que le travail a prit, a grignoté au cours

AUTRUI ET LE DEVOIR MORAL autrui = alter ego = autre moi Autrui est aussi un sujet conscient qui pense, je ne peux pas le considérer comme n'importe quel objet du monde extérieur. Il est à la fois même que moi mais différent de moi. Il est ce par rapport à quoi je cherche à me différencier pour m'affirmer. Devoir = pression sociale, respect, valeurs, normes, obligations, restrictions de ma liberté devoir // contrainte car contrainte → nécessité absolue devoir → obligation, on est