Moraliste

caricature par l’accumulation et la concentration de traits caractéristiques. Conclusion Le Caractère dépeint par La Bruyère du type que représente Gnathon est dénoncé par une description à l’inverse de l’éloge, c'est-à-dire le blâme. Le moraliste cherche l’approbation du lecteur en utilisant sa rhétorique polémique et en employant un ton satirique afin d’amener le lecteur à suivre son avis. Le contre-exemple que représente alors Gnathon est tourné en dérision et est même comparé implicitement

récit peut tout aussi bien « faire passer » une morale qu'en faire varier le sens de façon nullement négligeable Les Fables sont prédestinées aux lecteurs avertis, or elles sont enseignées aux enfants Jean de La Fontaine serait donc plutôt un moraliste ou bien un moralisateur ? Pour comprendre au mieux les vers de notre sujet nous devons, dans un premier temps, étudier et tenter de justifier l’affirmation de Jean de La Fontaine « Une morale nue apporte de l’ennui ; / Le conte fait passer le précepte

France. L'Orient n’est qu'un prétexte pour éviter la censure qu'aurait subi une attaque directe à la monarchie française du roi Louis XV. - Railleries, médisances, propos superficiels, méchancetés, méconnaissance… (cf. Les Caractères de La Bruyère, moraliste du XVIIème siècle qui a critiqué les mœurs de la Cour dans ses Caractères). Les connaissances de Zadig en matière scientifique, même si Voltaire se réfère aux Chaldéens, sont très proches de celles d’un esprit éclairé du XVIIIème siècle (terre, soleil

La Fontaine, « Les Deux Amis » Jean de La Fontaine : 1621/1695 La Fontaine est un poète, fabuliste, moraliste (texte moralisateur), dramaturge et romancier français essentiellement connu pour ses fables (qui mettent souvent en scène des animaux), ses contes, ses poèmes… (Daphné = livret pour un Opéra). La Fontaine explique dans sa préface aux Fables qu’une fable est composée d’un Corps (le récit) et d’une Ame (la morale). Il s’inspira des sujets de Phèdre (pour lui, la fable suscite le rire

« De la cour », Les Caractères de La Bruyère : Publié : 1688 La Bruyère moraliste du 17ème siècle «  se cache » derrière les portraits fait par le grec Théophraste. Il dit qu’il en est le traducteur et ajoute qques textes fragmentaires. L’œuvre Les Caractères se compose de 16 parties (« De la ville » ; « De la cour » ; « Des Grands »…). C’est une œuvre très fragmenté mais avec un fil conducteur qui est l’observation des hommes de son entourage. Il est attentif et critique puisqu’il va essayer

Jean de La BRUYERE (1645-1696) : moraliste français, célèbre pour son œuvre unique Les Caractères ou les Mœurs de ce siècle. Il entre à l'Académie française en 1693. L'année suivante, il avait déjà livré quelques 1.120 portraits et maximes. Les "traits" de caractère de La Bruyère sont le fruit d'un esprit sagace, critique et indépendant. Ses observations, impitoyables envers la nature humaine, conservent une valeur intemporelle, même après sa disparition en 1696. La variété formelle des Caractères

fontaine renverse le reproche dans la morale, il oppose le monde « vieux » et l’homme resté « enfant » ( « Le monde est vieux dit-on : je le crois cependant ==> contre rejet / Il le faut S’amuser encore comme un enfant. » ) -Moralité explicite: Le moraliste s’implique, il ne se met pas dans la peau du moralisateur mais du côté du public.

"correction" —pour reprendre un terme cher à Bergson— qu'infligent les rieurs à ceux qui ne sont pas de leur clan. Forçant le trait jusqu'au pittoresque, quand il décrit la fragmentation de l'espace urbain présenté comme un conglomérat de microsociétés, le moraliste montre que les rieurs forment des mondes à part, persuadés qu'ils sont de détenir la vérité ; leur vérité. C'est en effet l'auteur des Caractères qui brosse le portrait le plus cruel de cette microsociété, avec ses codes, ses usages, ses mots pour

"correction" —pour reprendre un terme cher à Bergson— qu'infligent les rieurs à ceux qui ne sont pas de leur clan. Forçant le trait jusqu'au pittoresque, quand il décrit la fragmentation de l'espace urbain présenté comme un conglomérat de microsociétés, le moraliste montre que les rieurs forment des mondes à part, persuadés qu'ils sont de détenir la vérité ; leur vérité. C'est en effet l'auteur des Caractères qui brosse le portrait le plus cruel de cette microsociété, avec ses codes, ses usages, ses mots pour

Idéal de « l’honnête homme », classicisme (humanisme fin XVIè S) : analyse et peinture de l’homme >< baroque. Fin XVII problèmes politiques et sociaux, et tendances nouvelles. biographie Vie et mort (17ème ) (Catholique, conservateur, royaliste) Moraliste Elu à l’Académie française en 1693 Appartient au Anciens (dans la lutte des anciens contre les Modernes) Attaché aux Condé A. · · · · B. · · · · · · C. Œuvre : Les Caractères · 1ère édition en 1688 (anonyme) · Les Caractères de Théophraste