Mouloud Feraoun

avoir publié des romans, des poèmes, des nouvelles, des pièces de théâtre, ont, par ailleurs, signé des récits de voyages. La liste est longue, signalons quelques noms : T. Gautier, A. Dumas, M. Haddad, G. Flaubert, G. de Maupassant, M. Butor, M. Feraoun, Albert Camus. Tous les voyages n’ont pas les mêmes intentions. Sans vouloir schématiser, citons trois motifs différents du voyage à Constantine : la simple curiosité (T.Gautier), la recherche de la perfection artistique (tels G. Flaubert qui visite

dont la famille fait semblant de pardonner au cousin son crime involontaire et sa trahison, à l'exception de l'oncle Slimane – frère du défunt – pour qui le retour de l'exilé est inespéré. Fidèle à la linéarité et au réalisme de ses récits, Mouloud Feraoun construit son roman autour des isotopies de la « terre » et du « sang ». Amer a rompu le lien ombilical avec sa terre et a laissé s'échapper son sang. Il doit maintenant les reconquérir. À son insu, il se coupera définitivement de la première

originale, et à la recherche d’un maghrébin qui doit surgir des chaos de l’histoire.    Après cette étape de violence qui n’été pas seulement verbale, dont la mesure ou il y avait des auteurs qui ont été mort assassinés, à savoir ; MOULOUD FERAOUN, TAHAR DJAOUT…vient alors l’étape favorisée après l’ironie, ce tope de rhétorique a été considéré comme une soupape pour la population afin de lancer ses S.O.S, ainsi une manière d’enterrer la hache de guerre, et de fumer le cumule de la paix

mais d'expression nord-africaine ou maghrébine. Phases de la littérature maghrébine 1. Les fondateurs de cette littérature ont conduit une réflexion critique sur leurs sociétés doublées d’une prise de conscience identitaire (Driss Chraïbi, Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri (1920-1959), Mohammed Dib, Ahmed Sefrioui, Kateb Yacine (1929-1989). 2. La génération des années 1970 qui s'est penchée sur les mêmes thèmes que son aînée propose cependant une écriture plus violente. On peut citer pour illustrer

maghrébine, sans doute parce qu’on est plus à son aise de parler de la culture que l’on connaît et à laquelle on est fréquemment confronté. C’est pour cette raison que j’ai choisi de commencer par les travaux axés sur les œuvres maghrébines. Mouloud Feraoun a indéniablement tenu une place prépondérante dans les travaux de mes collègues (et dans mon propre travail).Le Fils du Pauvre a pour cadre spatial la grande Kabylie. Un espace isolé, cerné par des montagnes qui abritent des paysans rudes, sévères

Marvel entre bandes dessinées, dessins animés et cinématographie : Des mythes modernes pour une revitalisation des mythes anciens. Folie et déraison : de Nadja d'André Breton à Habel de Mohammed Dib. L’enracinement culturel dans l’œuvre de Mouloud Feraoun : Le cas de la « La terre et le sang ». Direction de la filière de français Propositions de Sujets de recherche (mémoire) pour les étudiants en Master 2. Littérature. Promotion 2012-2013 

de Marjane Satrapi Entre les murs de Franois Bgaudeau LAtelier de Jean-Claude Grumberg Lon de Leon Walter Tillage Le Journal de Ma Yan de Ma Yan et Pierre Haski LAfricain de J.M.G. Le Clzio Un secret de Philippe Grimbert Le fils du pauvre de Mouloud Feraoun Vipre au poing dHerv Bazin Le cri de la mouette dEmmanuelle Laborit a tapprendra vivre de Jeanne Benameur Voyage Pitchipo de J.C. Moscovici LECTURE DIMAGE FIXE Lcriture de soi par Sergue, dans Le Monde du 24 janvier 1997 CRITURE A la manire

algérienne. Je vous fais part d’une sélection d’ouvrages accompagnée d’un résumé. Il s’agit essentiellement d’une littérature en prise avec l’actualité, donc grave, douloureuse, dénonciatrice. N’y sont donc pas mentionnés les célèbres Kateb Yacine, Mouloud Feraoun, Malek Haddad…. qui ont marqué la génération de l’indépendance. J’ai cependant mentionné la Chrysalide qui fut très populaire dans les années 70 car porteur d’espoir pour une génération de femmes. Je n’ai pas lu tous les ouvrages cités mais la

Ulysse (1922) - Faulkner : Le Bruit et la Fureur (1929) - Virginia Woolf : Mrs Dalloway (1925), Orlando -George Orwell, 1984 (1948) -J.D. Salinger, L’Attrape-cœurs (1945, traduit en 1986) -Ray Bradbury, Fahrenheit 451 (1953) - Mouloud Feraoun : Le Fils du Pauvre (1950) - Rachid Boudgedra : La Répudiation (1969) - Driss Chraïbi : La Civilisation, ma mère ! (1972) - Tahar Ben Jelloun : La Nuit sacrée (1987) - Heinrich Böll : L’Honneur perdu de Katharina Blum (1974)

jamais choisi d’être prêt car je pars déjà… Adieu aux premiers, aux seconds et aux derniers M.A.B « Mais est ce bien que notre destin est d’être malheureux ? Pourquoi sont-ce tous des chemins de misères, ceux qui se dressent devant moi ? » Mouloud Feraoun.