Mouvement national des chômeurs et précaires

La politique de réduction du temps de travail, amorcée en 1981 avec le passage de 40 heures à 39 heures hebdomadaires, a été poursuivi avec les lois Aubry (1988 et 1998) qui ont institué le passage aux 35 heures hebdomadaires. Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), le passage de 39 heures à 35 heures de travail par semaine aurait créé 300 000 postes (hors secteur agricole) entre 1997 et 2001, soit 18 % des emplois créés durant cette période. Les réformes

- la transparence sur la stratégie et les comptes de l’entreprise, - le respect des normes de sécurité. Les Cheminots du secteur Figeac-Capdenac : - NON à la mise en concurrence et à la privatisation de notre réseau ferroviaire, tant régional que national, Les laboratoires - NON au changement d’horaires sans consultation en extrahospitaliers du figeacois contre la loi amont avec les associations d’usagers et cheminots, « Bachelot » les - OUI au maintien et au développement de la ligne fusions/absorptions

cohésion sociale et les instances d’intégration Selon un récent sondage, un français sur deux a peur de devenir soi-même SDF. Cette peur trouve son explication dans la situation de l’emploi. Le chômage reste à des niveaux importants, les emplois précaires ont progressé et personne même les salariés stables ne se sent à l’abri du chômage. Le travail est donc un facteur d’intégration de moins en moins efficace. Pour autant, il existe d’autres facteurs d’intégration : la famille, l’école, l’Etat ; l’intégration

chômage lors de recensement L’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes sur l’Emploi) au cours de vastes sondages par téléphone. Un recensement a lieu 1 fois par an. Le Pole Emploi (PE) compte aussi les chômeurs 1 fois dans l’année. En effet on sait qu’il y a des variations saisonnières (ex septembre il ya une poussée du chômage à causes des jeunes qui s’inscrivent à la rentrée). Le PE a plusieurs fonctions →Aider les chômeurs à trouver un emploi →Aider les entreprises à

engendre une diminution des revenus ce qui ne favorise pas l’accès à la consommation. Le chômeur n’a plus d’identité professionnelle et perd son appartenance à un groupe social (groupe des travailleurs). Les chômeurs perdent aussi des compétences techniques (évolutions professionnelles et manque d’activités), des relations sociales (collègues) et sont même rendus responsables de leur état par les employeurs. Ces chômeurs se voient confronter à la pauvreté et l’exclusion. Les solidarités traditionnelles

population est fortement encline à mettre en place une contestation forte de l’Etat et de ses actions. On remarque ainsi que de nombreuses discussions, controverses sociales naissent dans ces rangs « à faibles ressources ». Elles prennent la forme d’un mouvement social qui se caractérise par une action collective en faveur d’une cause commune. La mobilisation sociale prend alors la forme d’une participation non conventionnelle de ces groupes sociaux à la vie politique de la France contemporaine. Nous pouvons

dans un premier temps et l'opposition patrons/ouvriers qui suit. A partir du XXe siècle, on structure sociale commence un découpage par qualification. Le but des CPS( Catégorie Socio- Professionnel) en 1954 est alors de renseigner la contabilité nationale du comportement des ménages dans différents domaines: le type de consommation des ménages, le dynamisme en matière de fécondité, les pratiques socioculturelles (loisirs, sports...). Les CPS visent alors a renseigner les autorités sur les demandes

emplois d’avenir » pour les jeunes. Ces nouveaux contrats aidés pourront-ils faire mieux que leurs prédécesseurs ? es emplois aidés occupent une place importante dans les politiques en faveur de l’emploi. Bénéficiant à des publics spécifiques – jeunes, chômeurs de longue durée, seniors –, ces contrats spéciaux se caractérisent par le versement d’une aide de l’État aux employeurs du secteur marchand et/ ou du secteur associatif et des L marchand. Des écueils connus La création du CUI a contribué à

c'est à dire toutes les personnes en âge de travailler. Cette définition est purement conventionnelle. Elle ne retient pas l'activité des hommes ou des femmes au foyer qui ne passe pas par le marché. Population active = Actifs occupés + Chômeurs = Emplois + Chômeurs La population inactive comprend toutes les personnes qui ne peuvent pas légalement travailler et les personnes qui renoncent provisoirement à travailler. Elle est composée des inactifs légaux (jeunes de moins de 16 ans, retraités) et

la productivité du travail). Les entrepreneurs n’ayant absolument plus intérêt à embaucher, les nouveaux arrivants sur le marché du travail ne trouvent pas d’emploi : le chômage augmente. Dans la continuité de notre raisonnement, la présence de mouvements syndicaux, en regroupant des salariés, empêche l’atomicité du marché, condition nécessaire de la concurrence pure et parfaite. De même, en revendiquant sans cesse des hausses de salaires et en maintenant une pression sur les patrons, ces syndicats