Mythes Mcdonald

fonctionnement, manque d’informations sur les changements de processus, une hiérarchie complexe et mal identifiée. I.7 Shared values L'entreprise de DISNEY LAND PARIS renvoie et partage avec ses salariés un sentiment d'appartenance important. * Les mythes, qui représentent des actions répétitives, figurent via les actions journalières des casts members à DISNEY LAND PARIS. En effet, les casts members occupent une place particulière puisqu'ils ont un "double métier". Ils ont leur métier de base (serveur

support logistique • Bureaucratie mécaniste : force dominante est la technostructure qui cherche la rationalisation à travers des procédés déterminés. Adaptée à un environnement stable avec une structure de travail routinière et standardisée. Ex : McDonald • Bureaucratie professionnelle : force dominante du côté du centre opérationnelle, cette forme réalise sa coordination à travers la standardisation des savoirs et des qualifications. S’appuie sur la compétence de professions opérationnelles

problèmes similaires »1. Il s’agit donc d’un ensemble cohérent de « valeurs » qui servent de guide à un nouvel arrivant pour qu’il puisse s’intégrer dans le groupe. La culture d’entreprise représente aussi un ensemble de croyances, de pratiques et de mythes communs à un groupe de personnes. Elle découle des relations sociales au sein d’une organisation et des années d’exercice dans lesquelles elle s’est construite. Théoriquement, une forte culture d'entreprise renforce la performance économique d'une

CONCEPTS 1. Management Interculturel : Théories 1.1. La notion de culture (d'entreprise) Définition moderne de la Culture (Sciences sociales, Boudon et al., 1989) « Ensemble des objets symboliques d'une société qui véhiculent des valeurs (mythes, croyances, morales, coutumes, traditions...) et sont diffusés par des canaux particuliers (médias...) » 1. Management Interculturel : Théories 1.1. La notion de culture (d'entreprise) ● Premières études sur la culture d'entreprise : 80'ies

communication Effet de prisme sur le PMI il existe 4 effets prisme (notre produit peut être différement sur d’autres marchés) : effet de transparence: notre produit va être perçu de la même manière sur le marché national et étranger (ex. Coca Cola, McDonald - les marques mondiales avec une stratégie globale - les produits emblématiques qui visent des segments de marchés transnationaux) ex.Lancel effet obturant : une marque bien perçu et bonne image sur le marché domestique et à l’exportaiton ,une marché

et Zeitlin eds., Oxford University Press, 2008. (12) FULLERTON R.A., How Modern is Modern Marketing? Marketing's Evolution and the Myth of the Production Era, Journal of Marketing, 52, 1988. (13) FUNKHAUSER G.R., Technological Antecedents of the Modern Marketing Mix, Journal of Macromarketing, Spring, 1984. (14) GEOFFROY-BERNARD F., Le marketing et l'édition : mythes et réalités, ou l'esprit (marketing) et la lettre, Entreprises et Histoire, 24, Juin, 2000. (15) HOLLANDER S.C., RASSULI K.M., JONES

et Zeitlin eds., Oxford University Press, 2008. (12) FULLERTON R.A., How Modern is Modern Marketing? Marketing's Evolution and the Myth of the Production Era, Journal of Marketing, 52, 1988. (13) FUNKHAUSER G.R., Technological Antecedents of the Modern Marketing Mix, Journal of Macromarketing, Spring, 1984. (14) GEOFFROY-BERNARD F., Le marketing et l'édition : mythes et réalités, ou l'esprit (marketing) et la lettre, Entreprises et Histoire, 24, Juin, 2000. (15) HOLLANDER S.C., RASSULI K.M., JONES

principes fondamentaux ➢ une grande collaboration avec les franchisés et des décisions en matière de franchisage visant le meilleur intérêt des clients. ➢ Mac Donald’s est sans cesse en quête d'innovation Mac Donald’s repose sur plusieurs mythes : ➢ Ray Kroc, ➢ Le rêve américain : Les clients sont plongés dans la culture américaine ➢ Pour les employés, pouvoir évoluer rapidement dans la hiérarchie sans diplôme (campagnes publicitaires) Concernant les tabous, le principal

d’un large consensus relativement au positionnement de l’entreprise sur l’échiquier des forces du marché. Qu’elles se proposent d’établir une définition de la culture d’entreprise ou d’en extraire les fonctions au moyen de l’examen de récits, de mythes, de rituels et de symboles, les études abordant cette problématique peuvent être répertoriées en deux grandes catégories : les études corrélationnelles et les études taxonomiques. La grande majorité des études corrélationnelles ont tenté d’établir

essence, l’entreprise a et est une culture. Cette culture prend racine lors des premières décisions et orientations stratégiques prises par la Direction et grandit tout au long de son histoire. Elle s’exprime par diverses composantes notamment des mythes, rituels et valeurs qui donnent à l’entreprise un caractère qui lui est propre. La culture de l’entreprise lui permet de fédérer ses salariés, améliorer la performance et se différencier des autres entreprises. Nous expliquerons donc, par la suite