Méditation Métaphysique Sixième

LA
VERITE
 
 
 Textes
étudiés
en
lien
avec
cette
notion
 et
qui
figureront
sur
la
liste
des
textes
présentés,
le
cas
échéant,
à
l’oral
du
Baccalauréat
:
 
 SPINOZA
«
Pensées
métaphysiques
»
p.
87
 PLATON
«
La
République
»
Livre
VII
pp.
107
à
109
 DESCARTES
«
Discours
de
la
méthode
»
p.
93
 DESCARTES
«
Méditations
métaphysiques
»
(texte
intégré
à
la
leçon)
 
 
 La
notion
de
VERITE
 est
étudiée
en
lien
avec
celles
de
RAISON,
de
CROYANCE
et
d’EXPERIENCE.
 
 
 Dissertation
à
effectuer
sur
le
thème
de
la
vérité
:


elle-même centrale à la philosophie dont cet ouvrage constitue la présentation. Et cette remarque fait entrer tout de suite dans ce qui constitue peut-être le fond de la pensée de Spinoza, et qui l’a amené à écrire précisément une “éthique”, et non une métaphysique, ou une logique, ou une physique ou quoi que ce soit d’autre, à l’exception cependant, et cette exception est notable, d’une politique : à savoir la décision de surmonter un certain nombre d’alternatives abstraites qui empoisonnent l’histoire de

jamais en peine de délibérer quel jugement, et quel choix je devrais faire ; et ainsi je serais entièrement libre sans jamais être indifférent. R. Descartes, Méditations métaphysiques Ce texte est extrait d'une réponse de Descartes à la lettre d'un de ses correspondants qui l'interrogeait à propos d'un passage de la quatrième méditation métaphysique dans laquelle il disait : « de façon que cette indifférence que je sens lorsque je ne suis point emporté vers un côté plutôt que vers un autre par le poids

libre-arbitre. « Pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir les choses que l’entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu’aucune force extérieure nous contraigne » cette citation des Méditations métaphysiques, issue de la Quatrième Méditation illustre la notion de libre-arbitre. Cette liberté s’éprouve lorsque nous jugeons. Il s’agit de la liberté de penser, de reconnaître et dénoncer la vérité ; de savoir choisir le meilleur parti. Le libre-arbitre désigne aussi

Il est impossible de donner une définition objective de la conscience. Justement parce que ce concepte est si compliqué qu'il est passé par plusieurs phases pour étre réelement reconnue. La première interprétation étant d'un point de vue moral, et cette interprétation durera jusqu'au 17eme. Il est impossible de la définir car la conscience n'es pas un objet, d'ou les nombreuses images tel celle de Sartre qui la définie comme 'grand vent'. La conscience est le propre de l'homme, c'est ce qui la

à chaque instant. Par exemple, je pense à une idée, je peux tout à fait pendre conscience de penser à cette idée sans en avoir la connaissance . Une pensée consciente peut être fausse ou contradictoire. Par exemple Descartes, dans les Méditations Métaphysiques, cherche à montrer par un doute méthodique (dans lequel il remet en cause tout ce qui est "acquis") ,que la conscience de soi peut être considérée comme une réalité. Pour ce faire, il se force à considérer comme faux tout ce qui n’est pas

Descartes : nous ne pouvons jamais être assurés de posséder la vérité si nous ne sommes pas possédés de certitudes. Refuser l’évidence est la bonne attitude à adopter si on veut constituer une connaissance universelle car selon Descartes dans Méditations métaphysiques, «  L’âge de raison survient trop tard, alors que ce sont déjà enracinées des idées reçues sans aucun examen ». Nous constatons que l’évidence est insuffisante quant à sa prétention à atteindre la vérité. Ainsi, l’évidence ne peut être tenue

pour chacun des deux sujets : Vous choisirez (minimalement, mais vous pouvez aussi vous inspirer de plusieurs textes) un extrait dans chaque colonne (l’un dans la colonne de gauche, l’autre dans la colonne de droite). Sujet 1 DESCARTES, Méditations métaphysiques (1641) : volonté et liberté SPINOZA – Extraits de L’Éthique. DESCARTES, Principes de la philosophie SPINOZA : Baruch SPINOZA, Lettre LVIII à Schuller (1674) : l’illusion du libre arbitre. Sujet 2 DESCARTES : « lettre à Élizabeth

moral des règles d'action propres à une profession ; la déontologie médicale remonte au serment d'Hippocrate. Descartes (René) Philosophe français (1591-1650). Sa démarche, telle qu'elle apparaît dans le Discours de la méthode (1637) ou les Méditations métaphysiques (1641), se caractérise par la recherche de la certitude. Parce qu'il est en quête d'un fondement certain pour la connaissance, Descartes décide de remettre en doute tout ce qu'il a appris, et découvre la vérité première de la pensée, comme essence du

préjugés. Durant cette période, il rédige « les règles pour la direction de l’esprit ». En 1626, il découvre la loi de la réflexion de la lumière. En 1628, il s’installe en Hollande pour 20ans pour sa tâche philosophique. Il écrit un « traité de métaphysique sur l’Ame et Dieu » qui doit servir d’arme contre l’athéisme et comme fondement pour la physique. De 1629 à 1633, il écrit le « Traité du Monde et de la lumière » ; mais comme Galilée est condamné pour avoir soutenu la théorie du mouvement de