Méditations Métaphysiques

tant que substance, je reste par définition le même malgré le temps qui passe. Voilà, y a pas de quoi faire une dissert, mais je te laisse approfondir. Va voir chez Descartes (le concept de "substance pensante" dans les toutes premières Méditations métaphysiques, tu trouveras ça sur philagora certainement). La conception kantienne de conscience synthétique peut aussi t'aider, mais c'est un peu compliqué (en gros c'est l'idée que la conscience fait le lien entre les différents moments de perception

« je » qui se retourne sur lui-même. Dès lors, l’identité de la personne ne repose-t-elle pas sur ce « je » ? N’y a-t-il pas un possesseur plus profond que le moi qui est le je ? Ici, vous pouvez penser aux analyses de Descartes dans les Méditations métaphysiques lorsqu’il montre que l’identité de la personne repose sur le « Je » qui pense. Vous pouvez également vous reporter aux analyses de Kant lorsqu’il montre que le « je pense doit pouvoir accompagner toutes mes représentations ». L’identité de

libre-arbitre. « Pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir les choses que l’entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu’aucune force extérieure nous contraigne » cette citation des Méditations métaphysiques, issue de la Quatrième Méditation illustre la notion de libre-arbitre. Cette liberté s’éprouve lorsque nous jugeons. Il s’agit de la liberté de penser, de reconnaître et dénoncer la vérité ; de savoir choisir le meilleur parti. Le libre-arbitre désigne aussi

Le morceau de cire _ Descartes Extrait des Méditations Métaphysiques Descartes se demandent comment nous connaissons le corps , plus largement notre capacité à connaître. Il prend un exemple quelconque , un morceau de cire. Il va décrire les informations que l’on peut obtenir par l’intermédiaire de nos sens. Il va ensuite faire fondre ce morceau de cire. Chacune des informations à propos de ce morceau de cire a changé , mes sens me donnent une information différente. La question est qu’est-ce

un reve on ne cherche pas à penser avec une logique. On se laisse vivre par les images qui défilent dans notre tete. Tandis que la réalité nous offre cette possibilité par le jugement et le doute. Tout comme ce que Descartes à fait dans "Méditations Métaphysiques". Cependant, il y a la possibilité d'un certain raisonnement dans les reves qui aboutissent immédiatement à la conclusion "je reve". En d'autres termes, le rêve possède une réalité propre : celle de l'imaginaire . Cependant le reve a une

peut pas se fier à nos pensées, à ce que nous croyons vrai « Ce n'est pas parce que nous pensons d'une manière vraie que tu es blanc, que tu es blanc, mais c'est parce que tu es blanc, qu'en disant que tu l'es, nous disons la vérité. » Aristote, Métaphysique, Livre Gamma. Il faut donc dépasser les apparences et les limites de l’esprit qui nous enferment dans ce que nous croyons être la réalité. Toute vérité a donc besoin d’être cherchée et non admise, en confrontant intellect et réel en argumentant

pourtant, les vérités du cœur qui proviennent de la coutume concurrencent et même dépassent en certitude les vérités de la raison qui suivent de la démonstration. Cela dit, ce dont il est impossible de douter, ce n'est pas une soi-disant vérité métaphysique, d'où qu'elle provienne, mais d'une certitude pratique qui suit de l'application tautologique d'une règle indissociable de notre forme de vie. I - Apparemment, le seul moyen d'échapper au scepticisme, c'est d'admettre qu'il existe une intuition

absolu, l'être parfait, Dieu. Mots clés • vérité : vient du latin veritas, « le vrai, la réalité ». La vérité est l'accord de la pensée avec elle-même, d'un point de vue logique, ou la conformité de la pensée et de son objet, d'un point de vue métaphysique. • avoir besoin : ressentir la nécessité ; avoir besoin de : éprouver, voir la nécessité de, l'utilité de. • prouver : témoigner, attester la vérité ou la véracité, manifester, montrer. Être l'indice, la preuve, le signe de : une preuve est ce

la faiblesse de la raison sur le cœur. *Il fait appel à l’argument du rêve : l’homme qui rêve ne peut savoir qu’il évolue dans un monde de rêve ; il croit évoluer alors qu’il n’en ai rien. Descartes a repris ce même argument dans Les Méditations Métaphysiques : Il répond à cette objection par le rationalisme. Pascal, lui, pense que cette objection ne peut être levée. Il accorde au Pyrrhoniens que la raison ne peut lever l’objection du rêve : mais pourtant « nous savons que nous ne rêvons pas »

qui berne notre jugement mais aussi ce qui nous berce. Ainsi, si le faux ne pouvait contrefaire le vrai, nul ne tomberait dans l'erreur. Cette difficulté est soulignée par Descartes dans la Réponse aux Cinquièmes Objections adressées aux Méditations métaphysiques quand il écrit : « L'erreur ne consiste qu'en ce qu'elle ne paraît pas comme telle ». si, en effet, , nous trompant, nous avions toujours conscience de nous tromper, nous nous ne tromperions jamais. Il ne suffit donc pas, dès lors d'être