Napoléon Continuité Rupture

Fort de cette centralisation, l’Etat est un acteur incontournable dont il faut étudier la plus ou moins grande autonomie. Dans l’Histoire de France, l’Etat a souvent prétendu à l’indépendance. C’est ainsi notamment le cas sous le Second Empire (Napoléon III), cas étudié et analysé par Karl Marx dans Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte. Alors menacée dans ses intérêts économiques par les évènements de 1848, la bourgeoisie choisit d’abandonner son contrôle sur l’Etat et de se contenter de son pouvoir

à asseoir le nouveau gouvernement, sans employer de moyens considérés alors comme extrémistes ; cependant il se voit dans la nécessité de recourir à une banqueroute déguisée sous l'euphémisme de tiers consolidé. Malgré les succès militaires de Napoléon Bonaparte en Italie (1797), qui permettent de lever d’importantes contributions de guerre, le Directoire, mené par Barras (« le roi des Pourris » selon Bonaparte), devient rapidement synonyme de corruption et de déroute financière de l’État (inflation des assignats)

optimisme. Soulagement de se sentir revivre, fièvre festive faite de relâchement des contraintes et de contestation de l’ordre établi débouchent sur les audaces et novations de ces « années folles ». Ces aspirations sont toutefois mêlées à un désir de continuité, de retrouver « l’âge d’or » de la « Belle-Epoque » française ou les valeurs morales états-uniennes, tout en y introduisant la modernité. L’aboutissement tragique de la décennie, toutefois, pose la question des vices de cette sérénité. Par quels

d’Etat et l’essentiel de l’administration contemporaine avec en plus un énorme prestige international. La mécanique de l’Empire ne fonctionna cependant qu’avec une logique de conquête, ce qui explique pourquoi la défaite militaire a eu raison de Napoléon Ier. La monarchie Parlementaire : Après la dictature de l’exécutif, la France connaît à partir de 1814 une période de calme : on pourrait même parler de somnolence car les éléments qui vont suivre n’ont pas grand chose à voir avec la Révolution

mener plus sûrement à son terme. Ce programme choisit donc toujours de privilégier l’étude de quelques moments historiques qui sont des jalons importants dans l’élaboration de la civilisation contemporaine et qui constituent souvent des ruptures majeures (ruptures culturelles, politiques, économiques et sociales). les héritages culturels du XIIe lors de l’étude de l’Humanisme... Les thèmes V et VI, par l’importance qu’ils revêtent dans l’élaboration du monde contemporain, doivent bénéficier de la

l’époque au sein de laquelle cette pratique républicaine n’est pas si bien installée. I. L’installation républicaine (1870-1885) En 1870, la France est un empire, sous la direction de Napoléon III , le neveu de Bonaparte, qui a mis un terme à la Seconde République dont il était président pour fonder le Second Empire , un régime de type autoritaire où il concentre

qui marque un paradoxe avec la pluralité des individus qui se retrouve dans l'unité de l'Etat. Il est également permanent. On parle de continuité de l'Etat. Les individus et les gouvernements ont une durée de vie limitée, mais l'état demeure. La stabilité est expliquée par le fait que l'Etat soit une personne morale. Cette abstraction donne à l'Etat sa continuité, sa permanence. Elle conditionne aussi la conception du pouvoir. L'approche fonctionnelle du pouvoir fait que les gouvernants disposent

longtemps avec plusieurs tentatives : Charlemagne, vers 800, puis le Saint empire romain germanique, qui est une entité politique fondé vers 1000 qui s'est voulu reconstitution de l'Empire européen, continuant d'exister jusqu'à Napoléon (ex d'empereur : Charles V), Napoléon ensuite a également essayer de recréer l'unité. Enfin, le 3eme Reich a été l'avant-dernière tentative de réunion de l’Europe avant l'union européenne, qui a enfin réussie à réaliser ce rêve d'unité. Cet imaginaire devenu réalité

,l'acteinverse, de la constitution qui lui précède. La 2ème raison est plus juridique : si on abrogeait formellement la constitution , il y aurait des " conflits " . Ce mécanisme de succession de constitution est le meilleur moyen d'assurer la continuité constitutionnelle d'un état. SECTION 3 : L'AUTORITE DE LA CONSTITUTION La question de l'autorité de la constitution est une question abstraite et qui a des retombées pratiques. PARAGRAPHE 1 : LA THEORIE DE LA HIERARCHIE DES NORMES Cette théorie

il voue l'enfant a la mort par abandon. Un chef de famille peut faire entrer un étranger dans un groupe familiale avec un acte juridique : l'adoption, permet de recruter sa famille et acquérir sur des sujet la patria potestas afin d'assurer la continuité de la famille a défaut de descendre du mariage et permet de réaliser des alliance politique (empereur) si l'adoption supplée a la descendance naturel elle peut se combiner avec elle il existe 2 variété d'adoption,l'adoption d'un pater familias