Narre De Renard

ébauchée est, selon les dires de Victor Hugo, auteur du roman Notre- dame de Paris , suggéré dans l’appellation utilisée : Quasimodo. En effet, cet individu borgne, bossu, cagneux n’était guère qu’un à peu près, qu’un quasi-homme. Mais encore, Jules Renard dans Poil de Carotte, utilise des sonorités agressives pour dénommer une mère cruelle et méchante : Mme Lepic. Le nom peut également révéler la position sociale du personnage : dans Le Rouge et Le Noir de Stendhal, le patronyme Sorel précise la pauvreté

plus accessible et d’éviter au lecteur de s’ennuyer. Les auteurs comme La Fontaine, ou Voltaire, ou encore Victor Hugo utilisent ces méthodes afin de faire passer un message, comme La Fontaine avec ses animaux (Le loup et le Chien, Le Corbeau et le Renard…) ou encore Victor Hugo dans Le Dernier jour d’un condamné, Chapitre XXVI… Si l’auteur ne met pas de fiction, le lecteur, lui, va s’ennuyer et donc va moins être attentif comme dans le préface du Dernier jour d’un condamné qui est trop complexe pour

Séance 10 Evaluation de fin de séquence Séance 11 : Qu’est-ce qui résiste le mieux au temps : l’argumentation directe ou indirecte ? Etude des Caractères : « De la Cour » rq 36 ; « Des Grands » rq 13 Documents complémentaires : Le Corbeau et le Renard, publicités d’aujourd’hui Objets d’étude : L’argumentation indirecte - le détour par l’animal débat Séance 2 (1h) Evaluation de la lecture des Caractères Sujet : Documents autorisés : exemplaire des Caractères avec post-it et toutes les fiches de

attiré Morrison qui imaginait déjà à l'époque la mise en scène d'un gigantesque concert rock. Sur une proposition de Jim Morrison, ils choisirent de s'appeler The Doors. Ce nom renvoie à un livre d'Aldous Huxley, The Doors of Perception, où l'auteur narre son expérience des drogues, titre lui-même inspiré d'un vers du recueil de poème Le Mariage du Ciel et de l'Enfer, de William Blake : « If the doors of perception were cleansed, every thing would appear to man as it is: infinite » (« si les portes

Fiche de lecture : 1) Carte de visite : Gudule, La bibliothécaire, Ed. Hachette Jeunesse, 2001 2) Sujet apparent et sujet réel : a) En apparence, Gudule narre l’histoire d’un jeune garçon, Guillaume qui ne s’intéresse que trop peu à l’école et, en particulier aux livres, à l’orthographe, au français. Cependant les activités nocturnes de sa voisine, habitant dans l’immeuble d’en face, semble piquer sa curiosité. En effet, cette dame, d’un certain âge écrit pendant une bonne partie

sur la justice dans le corps du récit ? Il faut les lire en ayant toujours à l’esprit que c’est le registre ironique qui prédomine dans cette fable. Notons que La Fontaine, qui s’était fait discret jusqu’à l’intervention du Renard, la critique implicitement : « Ainsi dit le Renard ; et flatteurs d’applaudir » (l. 43). De plus, dans les cinq vers suivants, les oppositions lexicales et les rimes dénoncent, au cœur même du récit, l’hypocrisie de la cour : « On n’osa trop approfondir / du Tigre, ni de l’Ours

détours par des animaux permettent de créer une sorte d’abri car seul un destinataire qui est donc attentif peut comprend ces critiques. La Fontaine utilise donc ses talents de fabuliste. Les Interventions successives de différents animaux, Lion, Renard puis Âne, tous représentant d'une classe sociale, constituent pour beaucoup à soutenir la morale. Mais malgré le procède de l’ironie, argumenter de façon implicite reste cependant risqué. C. les risques de l’implicite Choisir

stylistique du récit imite les chansons de geste et le roman antique dans un registre ironique en puisant son originalité dans l’identité culturelle et poétique transposée à un monde fictionnel. Tout commence avec la zizanie entre deux mâles; un renard et un loup, causée par l’adultère de la femme de ce dernier, la louve, avec son rival; cela est la cause principale d’un duel qui reprend les règles de la chevalerie (…la querelle...deux barons.) (ligne 5-7). L’allusion à Ève et au péché capital est

Alternance récit / discours   Polyphonie   Différentes tonalités (ironie, tragédie)            3. Des animaux qui évoquent des Hommes / La mise en scène et les acteurs   Les personnages ont des caractères personnels identifiables (vocabulaire adapté : renard contraste élogieux / dépréciatif, âne franchise)   Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir            1. Le pouvoir : le roi et les courtisans   Personnages : lion brutal et injuste   Utilisation

La fable dit-il, vaut mieux que le récit en prose. Ensuite, il montre par un exemple concret que l’aspect enfantin et badin du texte n’est que pour permettre au dit enfant de mieux comprendre. Transformant Crassus et ses troupes en un Bouc et un Renard, La Fontaine termine son propos en s ‘appuyant sur une question rhétorique : l’enfant «  ne s’arrêtera-t-il pas au dernier, comme plus conforme et moins disproportionné que l’autre à la petitesse de son esprit ? ». Dans le texte C, une fable incluse