Nécessité et contingence

s’exonérer de la nécessité de rendre des comptes… Les éducateurs doivent travailler, avec l’ensemble des acteurs sociaux et des citoyens, à l’identification des indicateurs de réussite de leurs actions…Philippe Meirieu / DU Adolescents difficiles*2. De l’importance de la question du sujet en éducationL’objet de l’éducation est un « sujet ». L’éducation est vouée à l’échec si elle le construit comme un « objet ». Cf. PlatonL’être humain est, en même temps, un « être de contingence » et un « être de

bn sens). * L’unité de commandement => principe ds l’organisation qu’1 agent, 1 employé doit recevoir des ordres que d’un seul chef (rupture ac Taylor). * Unité de direction => elle nécessite que les personnes travaillent ds 1 mm but ac les mm objs. * Recherche de l’intérêt général qui doit-ê supérieure à la recherche de l’intérêt individuel. * Rémunération équitable => rémunérat°

leur niveau hiérarchique 3.2 Classification des décisions selon leur échéance 3.3 Décisions programmables ou non programmables II. LA DIRECTION DES ORGANISATIONS 1. 1.1 ion organisation ? 1.2 La délégation du pouvoir de direction 2. ET FACTEURS DE CONTINGENCE -ce que diriger une : CONTRAINTES 1 Create PDF files without this message by purchasing novaPDF printer (http://www.novapdf.com) CHAP. 1 DIRIGER : FINALISER, ANIMER ET CONTROLER I. LA PRISE DE DECISION DANS LES ORGANISATIONS 1. -CE QUE

important et collectif Définitions : • fin : d’une part la cessation d’une action, d’un phénomène, leur aboutissement effectif, d’autre part la finalité = le projet, l’intention ( la philosophie se réfère au 2ème sens • cause : relation de nécessité entre des faits : un élément est indispensable dans cette relation : sans lui rien ne se produirait ( cet élément est la cause, l’autre élément est l’effet Usages philosophiques : • Aristote : ex de la statue : 4 causes - matérielle

quelque chose mais on en questionne son évidence à travers la recherche de ses origines, de ses causes et de ses raisons. Ainsi, se demander pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien, c’est se pousser à justifier la raison de l’existence et la nécessité du monde tel qu’il existe. C’est remarquer que celui-ci est complexe à tel point que cette complexité étonne et suscite des questionnements : d’où vient tout cela ? N’est-il pas plus simple qu’il n’y ait rien ? Puisqu’en effet, la question présuppose

la réprobation morale ne s’exprime que face à des actions intentionnellement mauvaises. Autrement dit un homme n’agit mal que lorsqu’il a fait le choix de cette action, donc lorsqu’il use de son libre arbitre et qu’il aurait pu agir autrement (contingence de la situation). Mais choisit – on délibérément le mal ? Subjectivement, ne cherchons-nous pas toujours le bien ou du moins ce qui nous semble le bien pour nous ? N’est-ce pas plutôt l’ignorance du vrai bien qui nous pousse a mal agir ? Bien plus

partout”) : la nature en un mot. Seul Dieu est, de ce fait, libre car lui seul est cause de soi, une nature naturante (causa sui generis). L’homme, au contraire, est une nature naturée, il est régi par une nécessite absolue, laquelle réside en Dieu. Si l’homme et ses actions échappent à la contingence, la liberté devient alors une pure illusion, que Spinoza démontrent par l’exemple de la Pierre. Extrait de la lettre à Schuler sur la pierre Cette dernière se meut dans l’espace, inconsciente de l’origine

L’histoire n’est pas un coup du hasard, pas de cause à effet, pas de liens intelligents entre des évènements du hasard. Elle est de l’ordre de la contingence et non de la nécessité. Le contingent, c’est ce qui arrive et qui aurait pu être autrement. Le nécessaire, c’est ce qui arrive et qui ne peut pas être autrement. Il y a du hasard dans l’histoire, contingence de la nature. L’intelligence que nous mettons à vivre est la cause des histoires. Le monde a toujours une partie contingente. II/ Pourquoi

besoins d’une demande en évolution. L’accroissement de la diversité et des variations des conditions environnementales ont rapidement conduit les chercheurs à proposer des réponses organisationnelles différenciées. La prise en compte des facteurs de contingence a ainsi permis l’émergence d’un modèle organique de l’entreprise dont Burns et Stalker (1966) ont été les pionniers. Dans la foulée, Toffler (1971) a anticipé les changements organisationnels avec l’apparition de l’« adhocratie » comme « monde inconnu

rien ne s'y manifeste qui ne soit elle, sa majesté et sa magnificence : voilà ce que la philosophie démontre et qui est ici supposé démontré. La réflexion philosophique n'a d'autre but que d'éliminer le hasard. La contingence est la même chose que la nécessité extérieure : une nécessité qui se ramène à des causes qui elles-mêmes ne sont que des circonstances externes [...].