Neutralité De La Monnaie Chez Les Classique Et Keynes

Etymologiquement le mot monnaie a pour origine moneta qui peut se traduire par celle qui peut avertir ou celle qui donne son avis. Moneta était le surnom d’une déesse, la déesse Junon à qui on a attribuée le pouvoir d’annoncer les événements. Cela se passait à Rome sur le capitole. Il y avait à cette époque un temple qui lui était dédié. Cette déesse s’appelait Junon Moneta, sous ce temple on frappait des pièces de monnaie et on finit par leur donner le nom de Moneta. La monnaie existe depuis longtemps

(Prix et production, 1931) privilégie l’impact d’une variation autonome de la masse monétaire pour expliquer le cycle. Hayek s’est opposé à Keynes dans l’analyse de la crise des 1930s, car pour lui elle repose sur une insuffisance de l’épargne, alors que Keynes met au contraire l’accent sur l’excès d’épargne. I) Une filiation marquée par rapport aux classiques dans sa vision de la crise… A) L’adhésion à la loi des débouchés de Say et à la main invisible de Smith… Hayek s’inscrit dans la tradition

La monnaie joue un rôle essentiel dans l’activité économique actuelle mais ce rôle reste assez souvent très mal appréhendé. Cette ignorance provient peut être du fait que la monnaie est par elle-même un phénomène complexe. La monnaie peut se définir comme un bien spécifique permettant à toute personne qui la possède d’acquérir à tout moment n’importe quel autre bien ou service ; elle est ainsi constituée de l’ensemble des moyens de paiements dont disposent les agents économiques sur une zone géographique

LA MONNAIE EST ELLE NEUTRE ? Cette question sur la neutralité de la monnaie cache l'opposition entre les keynésiens et les néo-classiques. La monnaie exerce trois fonctions dans une économie : moyen d'échange, elle est l'instrument des transactions utilisé entre les vendeurs et les acheteurs ; unité de compte, la monnaie mesure les prix et les dettes ; et instrument de réserve de la valeur, elle permet de réserver un pouvoir d'achat présent pour un usage futur. Elle a toujours focalisé l'attention

En quoi l’introduction de la monnaie modifie­t­elle le fonctionnement  du marché ?  La monnaie est elle neutre ?  On  raisonne  dans  une  économie  fermée.  On  rentre  dans  une  économie  monétaire  mais  pas  encore  intégrée  dans  la  mondialisation. La  monnaie  est‐elle  seulement  la  facilitation  des  échanges  ou  peut‐elle  être demandée pour elle‐même ?  Demande de monnaie :  §  Existe‐t‐elle ?  §  La monnaie est‐elle neutre ?  §  Elle n’intervient pas vraiment dans l’économie réelle

néoclassique et contribua à expliquer la réorientation de la recherche économique et l’émergence d’analyses nouvelles comme celle de Keynes (1883-1946). Les analyses de Keynes sont principalement contenues dans deux de ses nombreux ouvrages : Traité sur la monnaie (1930) et Théorie générale de l’Emploi, de l’Intérêt et de la Monnaie (1936). Dans ce second ouvrage, Keynes cherche à expliquer à partir d’une approche macroéconomique : comment se détermine à court terme l’équilibre macroéconomique ; pourquoi

dichotomie -> neutralité de la monnaie Keynes : pas de dichotomie Chapitre 1 : économie internationale et théorie monétaires Chapitre 2 : La mondialisation Chapitre 1 : Economie internationale et théories monétaires Au début du 20ème siècle, dans les années 30, Keynes réhabilite une vision mercantiliste du commerce entre les nations, parce que cette vision avait disparu. Elle avait été anéantie par les théories du commerce international, par les classiques. I. Monnaie et mercantilisme

QUANTITATIVISTE : Monnaie insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique monétaire des nouveaux classiques 14 C

d’équilibre : approches économiques et comptable Chapitre 1- La conception classique de l’équilibre (1770-1870) Les deux idées majeures : le libéralisme économique et principe d’économie politique. Les théoriciens ont cherché comment l’équilibre peut être maintenu, quels sont les moyens et quelles sont les contraintes ? Mise en évidence du marché (moyen) libre et autorégulé. Section 1- Les fondements de l’analyse classique Comment les marchés peuvent-ils s’autoréguler ? D’une part les

analyse statique : Marc Blaug « Après 1870, la théorie classique du développement économique fut remplacée par le concept d’équilibre général dans un cadre essentiellement statique » → abstraction du tempsiv. Vision différente de la société : 3 grandes classes chez les Classiques (rentiers, travailleurs et entrepreneurs capitalistes) contre individus différents les uns des autres chez les Néo-classiquesb. La théorie de la valeur et des prixi. Classiques (Smith et Ricardo) : théorie de