Nicholas Georgescu-Roegen

consommation. De manière générale, la décroissance se définit comme l’état de ce qui décroît : une diminution. On doit ce concept de décroissance en économie aux travaux révolutionnaires de l’économiste roumain émigré aux États-Unis, Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994). a) La croissance de la consommation des énergies renouvelables et propres. Dans un soucis d’être un acteur responsable plutôt que victime passive du marché, in convient d’acheter intelligent. L’alterconsommateur est l’illustration

vaudrait-il pas mieux qu’ils continuent à regrouper un maximum de personnes luttant tous ensemble contre la mondialisation non encadrée, sans n’être repris par aucun parti politique ? 2. L’expérience de la décroissance  Depuis que Nicholas Georgescu-Roegen a publié en “The Entropy Law and the Economic Process” la théorie sur la décroissance n’a cessé de progresser à travers le monde. L’un des derniers cas les plus médiatiques est celui de Sylvain Tesson qui a décidé de partir vivre au bord

abandonner la gestion à ses jeunes frères pour partir préparer un doctorat aux États-Unis, grâce à une bourse Fulbright. Après une maîtrise à l’université du Colorado, Yunus s’inscrit en thèse à l’université Vanderbilt, sous la direction de Nicholas Georgescu-Roegen, économiste roumain controversé, connu aujourd’hui notamment pour ses recherches sur le thème de la « décroissance soutenable ». Une fois docteur en économie, Yunus obtient un poste à la Middle Tennessee State University. L'indépendance

cause du développement durable et apparition de la notion de décroissance S1) La notion de décroissance durable ou soutenable Aussi connue sous l'appellation de décroissance durable, cette théorie a été exprimée la première fois par Nicholas Georgescu-Roegen. Elle naît d'une controverse sur la croissance du PIB. Les défenseurs du concept de décroissance durable pensent que la croissance telle que mesurée par cet indice n'est que quantitative (par opposition à qualitative), accentue les déséquilibres

débat scientifique. L’homme coupable du réchauffement climatique ? Le débat sur le changement climatique et plus particulièrement celui sur l’origine de ce changement serait clos. C’est en tout cas ce que nous répètent les James Hansen1, Al Gore2, Nicholas Stern3 et autres stars du sujet. Tous insistent sur l’existence d’un consensus en matière climatique qui doit nous pousser à agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Cette idée que l’unanimité est la règle dans le domaine du climat n’est pas

sa théorie des prix et de la répartition des revenus démontrant rigoureusement qu’une hausse des salaires s’accompagne d’une baisse des taux de profit. Il y a aussi Robert Barro. * La bio économie ou le courant de la décroissance : Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994). Il fonde l’économie écologique sur la réconciliation de la théorie économique avec la théorie évolutive, la biologie et la thermodynamique. C’est une critique radicale de l’industrialisme et du dogme de la croissance économique

agriculture biologique, utilisation de transports doux...) impliquant de profondes transformations dans notre mode de vie, de manière à réduire l' empreinte écologique. Commentaire: Les premiers théoriciens de la décroissance sont l'économiste Nicholas Georgescu-Roegen et le philosophe Ivan Illich. L'idée, bien que séduisante, pose quantité de problèmes. Les «décroissants» développent en général des thèses très radicales (réduction forte des villes au profit de localisations plus rurales, autoproduction

temps dans l’analyse de l’évolution des phénomènes économiques. Le temps n’est pas réductible, pour eux, à un temps mécanique. Ils mettent, à l’instar de Nicholas Georgescu-Roegen ou de Bergson, l’accent sur l’importance du « temps réel », essentiellement subjectif (assez proche de ce que Bergson appelle la « durée » et de ce que Georgescu-Roegen définit comme le « temps thermodynamique »). De ces principes, il résulte, d’une part, que les individus sont fondamentalement différents, ce qui remet en

ce que le problème économique (le problème de la rareté) ne soit jamais résolu, dépassé, remisé à l'arrière-plan, comme le souhaitait Keynes? (13) Certes, de grands penseurs se sont posé la question du contenu de l'activité économique, Nicholas Georgescu-Roegen, par exemple, ou Jacques Duboin. TEXTES DAVID RICARDO - Le partage est le problème de l'économie politique Le produit de la terre, c'est-à-dire tout ce que l'on retire de sa surface par l'utilisation conjointe du travail, des machines

urgence éthique, ajourne ou efface les obligations que le « moi interpellé » se doit à luimême et où le souci de la mort d’autrui peut pourtant importer au moi avant son souci de moi pour soi.” Lévinas E. Entre nous, Grasset, 1991, p 239. 81 Georgescu-Roegen N. La décroissance. Entropie, Ecologie, Economie, Ed. Sang de la Terre, 2008, p 185.   82 Quand ce n’est pas tout simplement de son rejet qu’il s’agit, parce que l’on confond la responsabilité avec la culpabilité, dont on voudrait aujourd'hui