Nietzsche Ainsi Parlait Zarathoustra

devoirs civiques, politiques et citoyens, ce qui implique que ces devoirs sont partagés par un ensemble d’individus suivant les mêmes devoirs qui sont formellement énoncés par la société. Cependant, le devoir peut également renvoyer à la morale et ainsi être dicté par une représentation individuelle et propre à tout un chacun de distinguer d’une façon conceptuelle ce qu’est le bien et le mal : agir par devoir revient dans ce cas à soumettre volontairement l’ensemble de ses actions à une forme d’interrogation

que les autres peuvent me faire ressentir de ne pas avoir agi comme il le fallait nuit à ma liberté. Car je ne peux alors pas profiter de la sensation agréable qu’aurait dû me procurer le fait de réaliser une mauvaise action. Dans Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche évoque le danger de la « moraline », qui dit que la morale commune est la moral des faibles, qui pour se protéger contre les forts, inventent des interdits, des lois, pour contre carrer la force des individus puissants. Quant à la

diplomatiques et spatiales -rapprochement du cadrage vers le sujet -champ contre champ entre le singe et les ossements -progression du timing des plans (de plus en plus vite) -rythme= montage -musique: Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss -F. Nietzsche à écrit le livre Ainsi parlait Zarathoustra: la modernité en occident date du cartésianisme (je pense donc je suis) et l'homme peut agir sur son environnement pour le dominer (c'est la différence avec les animaux) 1. 1ère séquence: -la transition

2000 Les idées. Leur habitat, leurs mœurs, leur organisation, Paris, Seuil, Essais n°303, 1991, rééd. 1995 La naissance de la tragédie, § 3 (la sagesse de Silène comme vérité de la condition humaine vouée à la mort) Ainsi parlait Zarathoustra, Le livre de poche n°987, trad.. G.A. Goldschmidt, 1983 : Prologue, Première partie : « Des trois métamorphoses », Des prêcheurs d’arrière-mondes », « Des contempteurs du corps », « Des prédicateurs de la mort », « De l’enfant et du mariage

l'obscurantisme caractéristique des Lumières. Voltaire conclu : « Ah ! le bon temps que ce siècle de fer », terme utilisé par opposition à « l'âge d'or » au v. 2. Cette époque d'abondance est donc un temps ou il fait bon vivre : grâce au progrès l'homme peut ainsi être à même de vivre son existence dans les meilleures conditions possibles. v. 22 et 23 « Le superflu, chose très nécessaire » : le superflu renvoie au progrès technique, aux avancées et raffinement culturels, à l'art, à la musique, dont l'homme

protection de la société civile, du peuple réuni, se traduit en réalité comme un instrument de domination de la partie - celle des classes dirigeantes- sur le tout, les gouvernés. Une critique ancienne et déjà exprimée avec force dans le célèbre Ainsi parlait Zarathoustra Nietzschéen: « L'Etat, c'est le plus froid des monstres froids. Il ment froidement et voici le mensonge qui rampe dans sa bouche: « Moi, l'Etat, je suis le peuple ». Alors, à quoi peut donc être voué cet Etat dont l'existence semble contingente

par les hommes investis par la religion), l’aristocratie (les meilleurs ou les nobles à la tête de l’Etat). Mais en général, l’Etat est défini comme une collectivité organisée ayant un territoire et des démembrements politiques et juridiques. C’est ainsi que dans son Vocabulaire technique et critique de philosophie, André Lalande définit l’Etat comme « une société organisée ayant un gouvernement autonome, et jouant le rôle d’une personne morale distincte à l’égard des autres sociétés analogues avec

pour assurer le bonheur de l’humanité. Après tout, chacun souhaite être heureux, et c’est dans la quête continue de cet état que l’Homme cherche à progresser, qu’il s’élance frénétiquement sur la voie du Progrès, supposé résoudre tous ses problèmes. Ainsi l’humanité progresse sur le chemin de la science et des avancées technologiques, visant toujours plus loin, avec toujours plus d’ambitions ; parfois la conquête de l’espace, d’autres le contrôle de la vie, tout est prétexte à progresser, à avancer

ce qui lui arrive (leçon stoïcienne : veuilles les choses comme elles arrivent) ; dans le choix du bien, parce que je juge qu’il est bien, et non parce que l’on nous l’a imposé. - Illustration des trois étapes de l’apprentissage : Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, « Les trois métamorphoses ». Le chameau, le lion, l’enfant. Apprendre à vivre « vraiment », en disant oui à la vie, demande une vie entière : vivre « vraiment » comme vivre au présent et goûter chaque instant, l’apprécier comme toujours

le remarque Alain, on fait le serment « d’être heureux ». Et pour Alain, c’est le sens le plus profond de la relation conjugale : vouloir être heureux. Le philosophe , Nietzsche, disait aussi qu’il n’y a rien de plus profond que la joie : « Toute joie, oui, toute joie veut une profonde, profonde éternité… »Ainsi Parlait Zarathoustra. DISCUSSION DU TEXTE . CRITIQUES POSSIBLES Le philosophe Alain a essentiellement raison. le bonheur est un devoir. Cependant sur Terre, il y a plus de gens malheureux