Nietzsche Humain Trop Humain Méthodes Scientifiques

plastiques. Le monde des idées (eidos) ne peut être imité. Aristote (358 -322 avant Jésus-Christ) fait “redescendre” en quelques sortes, les idées plato- niciennes sur terre. Aristote considère que la beauté absolue réside dans la nature, dans le corps humain et ses proportions et qu'il revient à l'art de restituer cette beauté en procurant du plaisir. Aristote distingue le plaisir sensuel des formes et des couleurs et le plaisir supérieur intellectuel donné par les pein- tres qui restituent la beauté

utilitariste de l’acteur rationnel, mais pour revaloriser la part de liberté, d’inventivité et de capacité de jugement des acteurs dans tel ou tel système de contraintes et de déterminations objectives. La vision de l’acteur développée par les sciences humaines est désormais celle d’un individu pluriel, appelé à se mouvoir dans différentes scènes de la vie quotidienne, à recourir à des expériences multiples. Pendant plus d’un demi-siècle et à l’image de la sociologie, la discipline historique telle

« je pense » en latin. Formulé par Descartes, le cogito est un terme qui désigne la conscience humaine en tant que sa caractéristique première est d’être pensante et d’être le propre d’une subjectivité. Le cogito est donc la certitude première de toute conscience et le fond sur lequel tout acte de conscience prend naissance. Descartes le formule ainsi clairement dans le Discours de la méthode (1637) : cogito ergo sum, « je pense, donc je suis ». La conscience, L ’homme, dans la

........................................................................................... 2. La critique anarchiste de l’Etat .............................................................................................. 3. La critique de Nietzsche ......................................................................................................... Chap13/ LA PROBLEMATIQUE DE L’ART .......................................................................................... Introduction

remettre en question un principe très cher à la société occidentale moderne, celui de liberté. En effet, la liberté dans le monde occidental moderne est synonyme de bonheur et d’épanouissement, mais si cela était faux ? Si trop de liberté avait pour effet d’empêcher toute action humaine, et de frustrer par conséquent l’homme au lieu de contribuer à son bien-être ? Schwartz nous fait remarquer qu’afin de donner toujours plus de liberté aux gens, on maximise leurs choix et ce dans les choses les simples

distinguer l’approche scientifique de la réalité des approches religieuse et philosophique peut paraître téméraire et démodé. C’est pourtant une tâche urgente si on veut éviter le banal « Tout est bon » qui place toutes les formes de savoir au même niveau d’incertitude et de confusion. Comment distinguer esprit religieux, esprit scientifique et esprit philosophique afin de bien comprendre la portée respective et les limites de chacun ? Il y va d’une conception lucide de la connaissance humaine. Le présent

Glissement de sens ➤ Identification d’une erreur méthodologique (obstacle). Identification du traitement réussi d’un obstacle (résolution). H ÉLOÏSE – Dis-moi, crois-tu que l’homme est un être libre ? Essai philosophique concernant l’entendement humain (1689), trad. Coste, © Éditions Vrin, 1983, p. 184. – Non, personne n’est parfaitement libre. Problématique concernée. V ICTO R – C’est une réponse satisfaisante, puisque je réponds qu’il n’est pas parfaitement libre, ce qui signifie qu’il n’est

que l'on étudie dans le cours de philosophie sont très variées et elles sont abordées d'une manière inhabituelle qui suscite méfiance ou enthousiasme : on est en effet amené à réfléchir sur les sciences, sur l'art, etc., mais sans être soi-même scientifique ni avoir nécessairement le moindre talent artistique. La philosophie apparaît donc comme une matière hétéroclite, sans contenu bien précis, et le philosophe comme un individu capable de parler de tout de manière générale, sans rien connaître en

autres ? Lien chronologique ou généalogique (ie lié à des causes ext ou internes au genres mm ?)? ensuite, quels rapports esthétiques (question de la hiérarchie)? Enrichissement et progrès, oui affaiblissement, selon quels critères ? Puis, liens scientifiques ? Peut-on déterminer des lois de succession ? (théorie darwiniste de la litt ?) critique comme science analogue à l'histoire naturelle : critique = science de la litt (alors que à la base, seule expression d'un jugement personnel) division

vigueur des débats autour du pape en est la preuve objective. Benoît XVI nous invite à « scruter les signes des temps » et à reconnaître qu’à l’origine de la plupart des crises spirituelles contemporaines se trouve un usage défectueux de la raison humaine. L’Église n’est pas sauve de ce constat. Elle a autant besoin que le monde d’approfondir aujourd’hui ce sujet. Le pape incite en effet les croyants à toujours plus et à toujours mieux se servir des lumières naturelles de la raison afin que la foi