Nietzsche Humain Trop Humain

question plus fondamentale : comment définir le bonheur ? S’agit-il d’une sérénité parfaite, d’une tranquillité de l’âme, ou au contraire d’une excitation permanente, qui suppose la persistance du désir ? Ces questions sont fondamentales pour tout être humain, surtout si l’on admet – comme un grand nombre de philosophes – que le bonheur est le souverain bien, le but véritable de la vie, auprès duquel tous les autres biens apparaissent comme secondaires, relatifs. Correction du D.S. (T3) et du D

signifier créer, établir des bases. Sans oublier le pronom possessif ma limite le sujet à l’individu, à soi, donc à l’homme.   On pourrait dans un premier temps penser que ma conscience n’est pas fondée  mais il peut aussi sembler que cette vision soit trop sommaire vu que ma conscience peut aussi l’être.   Partant, nous traiterons sur le fait que ma conscience peut être infondée. Dans un second temps nous parlerons du possible fondement de ma conscience, et pour finir nous traiterons de la solution

l'œuvre d'art. L'Art, de par sa majuscule que nous lui conférons volontiers, suppose déjà la grandeur. Si nous considérons l'art par rapport à la diversité de ses productions au fur et à mesure des siècles, il est illimité : les oeuvres d'art sont trop nombreuses pour être dénombrées. Cette production d'oeuvres dure depuis toujours et ne s'achèvera sans doute jamais : elle constitue une succession de strates empilées à travers l'histoire. L'ensemble des oeuvres d'art forme un vaste champ de culture

nos besoins n'est que la condition de leur renaissance , soumission au processus vital.II. il n'y a rien à gagner dans le travail, un simple moyen de survivre :- le travail est un effort douloureux imposé par l'aiguillon de la nécessité historique ( trop nombreux pour se contenter de puiser dans la nature ou rupture de l'harmonie avec la nature chez Rousseau) ou même naturelle : nature inachevée qui nous condamne à devoir transformer la nature pour répondre à nos besoins. Il est labeur, punition dans

sacralisation de l’artiste, la banalisera, la démocratisera, en faisant de lui un « homme du commun à l’ouvrage » pour reprendre l’expression du peintre français Jean Dubuffet. Autrement dit, on passe du génie (ingenium) à l’humain, au trop humain, pour paraphraser Nietzsche. Qu’est-ce à dire ? Tout d’abord que le statut social de l’artiste change, qu’il varie (Cf. Du peintre à l’artiste, être artiste de Nathalie Heinich). Il nous appartiendra donc de comprendre le sens de ce changement qui peut être compris

méchant pour qui ? C’est-à-dire opposer à l’universalité de l‘affirmation une conception diffractée des relations entre vivants (humains). La prise en compte de la diversité des formes vivantes (et de leurs rapports de force) imposera peut-être de relativiser le terme de « méchant », et d’abandonner la conception classique de la liberté (nous développerons la pensée de Nietzsche sur ce point) EXEMPLE D’INTRODUCTION « Nul n’est méchant volontairement » La formule a toujours étonné par son caractère

Kant, c'est la nature qui donne ses règles à l'art à travers la figure du génie. Le talent serait donc inné. B. Le génie comme travail à partir d'un don Nietzsche, dans Humain, trop humain, se moque de cette croyance en l'existence du génie, sorte d'intuition miraculeuse que certains élus de la nature posséderaient. L'artiste, pour Nietzsche, serait comme l'inventeur en mécanique : il peut produire un objet qui semble au final extraordinaire, mais ce n'est que le fruit d'un travail assidu. Hegel

ex  : les techniques de guerre évolue entre la première et la seconde guerre mondiale. Technique = constitue un critère de valeur d’une civilisation(= progrès accomplis par l’humanité) . Par la maîtrise de la nature par les humains, elle permet d’améliorer la vie humaine. BACON : Le progrès que l’humain développe depuis plusieurs année à travers l’avancement des sciences et des techniques permet d’atteindre l’idéal que les hommes se fixent, ils pourront donc arriver à combler tous les désirs

Marie Damourette T°L Dissertation de philosophie Sujet : « Devons nous commémorer » Depuis toujours le monde, les êtres vivants, les humains commémorent. Selon notre culture, la commémoration peut être nuancée, mais l’acte de commémorer reste inchangé. Par définition commémorer est le fait de rappeler par une cérémonie le souvenir d’une personne ou plus souvent d’un évènement. C’est ainsi qu’aujourd’hui dans le monde, il s’effectue chaque années des milliers de commémorations. Nous

nous étudierons ce que désigne exactement cette idée de « glorification du travail » et les raisons de cette interprétation. Puis nous verrons comment le travail peut « soumettre » le travailleur, et la conséquence de cette « soumission ». Pour Nietzsche, la glorification du travail repose sur l’idéologie qui tend à faire du travail une valeur supérieure aux autres et qui conduit les Nations modernes vers toujours plus de croissance et de productivité.Le travail serait doncune dimension essentielle