Nietzsche Humain Trop Humain

dont la société a conscience, alors parler de société animale serait abusif, ce serait une projection anthropomorphiste du terme. En approfondissant, on s’aperçoit que l’interrogation qu’est ce qu’une société ? ne peut être posé que si la société humaine commence à s’interroger sur sa propre histoire. Il faudrait parler de société pour désigner des formes de vies communes d’où émerge ce sens de la recherche historique. Il y a société, si elle est capable de sécréter la question : « comment y a t-il

Philosophie Quelles fonctions l’art pourrait-il avoir ? Introduction La définition générale de l’art le qualifie comme l’expression d’un idéal esthétique par des activités humaines. Ces activités sont au nombre de neuf et regroupent des domaines très différents : la peinture, la sculpture, l’architecture, les arts de la scène, la poésie et la musique sont une catégorie d’arts qui tirent leur source de l’Antiquité, et qui ont une connotation très noble, puisqu’ils étaient au départ réservés

elle est le lieu d'émergence de tout potentiel artistique et de ses modes d'expérience. Rancière redéfinit l'esthétique autour de quatre points principaux. Il stipule tout d'abord l'interdépendance entre l'art en tant que grand mode d'expression humaine et les pratiques et conduites esthétiques de façon générale. C'est-à-dire que pour qu'il y ait une expérience esthétique émotionnelle et intangible (le suprasensible, aisthesis), il y a aussi obligatoirement un objet concret en tant que produit d'un

objet, enfin d’acquérir n’importe quelle habitude motrice, alors que la faculté de combiner des mouvements nouveaux est strictement limitée chez l’animale le mieux doué, même chez le singe ? La caractéristique cérébrale de l’homme est là. Le cerveau humain est fait, comme tout cerveau, pour monter des mécanismes moteurs et pour nous laisser choisir parmi eux, à un instant quelconque, celui que nous mettrons en mouvement par un jeu de déclic. Mais il diffère des autres cerveaux en ce que le nombre des

une illusion, une morale “en effigie” dirait Nietzsche. Mais elle a bien triomphé. Le résultat : une société molle et avilissante. La faute n’en revient pas à la vie, mais bien aux conventions humaines et à une opposition systématique à la nature. Nous avons bien ici une conception très répandue de la liberté qui s'exprime et une critique de la prééminence de la Raison à travers ses différentes productions. Ce texte peut nous faire penser à Nietzsche et à la critique moderne de la raison, à l’exaltation

n’est que la condition de leur renaissance, soumission au processus vital. 2) Il n’y a rien à gagner dans le travail, c’est un simple moyen de survivre A. Le travail est un effort douloureux imposé par l’aiguillon de la nécessité historique (trop nombreux pour se contenter de puiser dans la nature ou rupture de l’harmonie avec la nature chez Rousseau) ou même naturelle : nature inachevée qui nous condamne à devoir la transformer pour répondre à nos besoins. Il est labeur, punition dans la Genèse

n'est que la condition de leur renaissance , soumission au processus vital. II. il n'y a rien à gagner dans le travail, un simple moyen de survivre : - le travail est un effort douloureux imposé par l'aiguillon de la nécessité historique ( trop nombreux pour se contenter de puiser dans la nature ou rupture de l'harmonie avec la nature chez Rousseau) ou même naturelle : nature inachevée qui nous condamne à devoir transformer la nature pour répondre à nos besoins. Il est labeur, punition dans

depuis la naissance » ; il évoque donc ce qui est dans son état natif, à savoir ce qui n'a pas été modifié depuis sa naissance. Celle-ci comprend un ensemble formé par la faune, la flore et le monde minéral. Parmi les êtres vivants, on compte l'espèce humaine. Bien qu’à l'échelle planétaire, celle-ci soit insignifiante, elle exerce cependant une forte influence sur l'écosystème jusqu'à en menacer l'équilibre... En la modifiant, l'humanité s'approprie d'une certaine façon la Nature. Dans quelle mesure l'Homme

entre l'art et la technique. Étymologiquement, ces deux mots ont d'ailleurs la même origine : technê, en grec. Les termes de technê et d'ars renvoient tous les deux à un savoir-faire. Ainsi, l'art désignait au départ toute activité de production humaine, par opposition aux productions naturelles. Ce n'est que par la suite qu'est apparue une distinction entre d'un côté la production technique, et de l'autre côté l'art compris comme beaux-arts. Aujourd'hui, la distinction entre l'art et la technique

entendue. Le divorce de la raison et de la foi ne pouvait que signifier l’évacuation de la question de Dieu hors du champ philosophique. Implicite ou explicite, elle y reste pourtant bien présente. Si “ Dieu est mort ”, comme l’a proclamé Nietzsche, la question de Dieu n’en continue pas moins de faire penser les philosophes. Après le retour du religieux puis celui de la philosophie, jusque dans les cafés, peut-on pour autant parler d’un retour de la question de Dieu dans la philosophie ? “ Cette