Nietzsche Humain Trop Humain

(individualité), Ipséité (subjectivité), Unicité (singularité) Identité (être-un) : d'une façon générale, posséder une identité, c'est d'abord savoir que l'on existe en tant qu'un. Il y a deux vérité immédiates et incontournables que tout être humain sais de lui-même : "Je suis" (être) et "je suis moi !" (être-un). L'identité du moi comprend 2 ou 3 caractères principaux : Mêmeté (individualité) : répond alors à la question du "quoi", "que suis-je?" objectivement, pour les autres. Un individu

des réalités comme les autres ? Sujet 3 Un texte d'Aristote sur la responsabilit individuelle (la morale, la liberté Série ES Sujet 1 Peut-on en finir avec les préjugés ? Sujet 2 Que gagnons-nous à travailler ? Sujet 3 Un texte de Nietzsche sur la mauvaise action (la morale, la libert Série S Sujet 1 Le désir peut-il se satisfaire de la réalité ? Sujet 2 Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? Sujet 3 Un texte de Hume sur la justice Séries

connaissances, et Freud par rapport aux difficultés/déviances psychologiques. Ils sont tout deux ni subversif ni conformistes. Socrate est optimiste, il croit en l’homme et la bonté. Freud l’est moins, il sait et connait les défaillances psychologiques humaines. Socrate et Marx Ils ne sont pas d’accord par rapport à la religion. Pour Marx la religion est l’opium du peuple. Marx ne parle pas de mort de l’homme comme Socrate, il parle de la mort du capitalisme. 2 Aurélie Heck Philo 2014 Marx c’est + une

après lui. Sommaire [masquer] 1 Le cogito cartésien 1.1 Origine 1.2 Dans la philosophie de Descartes 1.3 Portée 2 Postérité 2.1 Un principe à inscrire dans son contexte 2.2 Une métaphysique oubliée ? 2.3 Kant 2.4 Auguste Comte 2.5 Nietzsche, structuralistes 2.6 Husserl 3 Cogito ergo sum et concepts philosophiques 3.1 Concepts philosophiques apparentés 3.2 Le sujet 3.3 Cause première et causalité 3.4 Cause finale 3.5 Cogito et substance 4 Citations 5 Anecdotes 6 Annexes 6

objet Le philosopher pourrait d’abord se caractériser par les objets sur lesquels il porte. De même que chaque discipline scientifique se définit par le domaine qu’elle découpe dans le champ infini du réel – la physique, la biologie, les sciences humaines ayant chacune le leur – de même la philosophie se définirait par son contenu, par le type de réalité qu’elle vise à connaître. Ainsi pour Platon est-ce le domaine des idées, par opposition au monde des phénomènes, qui détermine à la fois la méthode

démotive parce que l’Homme aimerait (tu aimerais) les atteindre mais il ne pourra pas (tu ne pourras pas) car cela prend trop de temps pour se réaliser et surtout parce que cela dépend des gens. L’Homme pense que pour être heureux il doit (doit s’efforce pour pouvoir) réaliser tous ces désirs (pour être finalement heureux), mais ce n’est pas possible puisque les désirs humains sont illimités. Après avoir eu ce qu’il désirait (que tu désirais), un autre désir apparaît qui (te) le remet dans un état

nous en tenir à l’existentialisme sartrien, c'est-à-dire athée, on peut dire que cette philosophie s’oppose radicalement à l’essentialisme. Notons, que la formule « l’existence précède l’essence » proposée par Sartre, signifie que l’essence de l’être humain ne se situe pas au début de sa vie mais justement à la fin. Pour les existentialistes sartriens, l’homme ne se définit pas par un modèle préexistant, mais par ce qu’il fait de lui-même au cours de sa vie, en fonction de ses choix. Par là, il est ce

heure. Ah! chacun dort ! Seul je ne puis dormir et je m'ennuie encor. Jules Laforgue (1860-1887) , Spleen (Poèmes inédits) 7 novembre 1880 Explication Le Spleen, ennui de vivre frappe la génération de la deuxième moitié du 19 e marquée par Nietzsche et Schopenhauer. Ce sonnet écrit par Jules Laforgue reprend ce thème. Mais chez ce jeune poète qui a vécu de 1860 à 1887, plongé dans la poésie pour échapper à la douleur d'exister, il prend une teinte de dérision. Laforgue, toute sa courte vie,

l’école de Untermhaus. Otto Dix entre à l'école des Arts décoratifs de Dresde en 1910, auprès des professeurs Richard Mebert, Paul Naumann et Richard Guhr. En 1911, il lit les oeuvres de Friedrich Nietzsche : Fröhliche Wissenschaft (Gai savoir), Zarathustra, Menschliches-Allzumenschliches (Humain-trop humain). En 1914, il modèlera le buste du philosophe. Otto Dix découvre Van Gogh à la galerie Arnold en 1912, les futuristes italiens en 1913 lors de l'exposition "Les futuristes italiens de la galerie

erronée, tout son raisonnement risque de n’être qu’illusion, et ce, sans même qu’il en ait conscience. « Je sais que je ne sais pas », telle fut l’une des devises philosophiques de Socrate. Alors, si la vérité apparaît dérangeante, difficile à obtenir ou trop dur à entendre à quoi bon la désirer? En quoi la Vérité peut-elle être utile à l’Homme ? Peut-être est-ce tout simplement par le fait qu’elle est inévitable, nécessaire ne serait-ce que pour se comprendre, échanger. Malgré tout, ce désir de vérité