Nietzsche L Homme Souverain

conscience. À la mort de l'art succèdent la religion et la philosophie: la présence à la conscience de la divinité n'exige pas, en effet, une forme sensible; tandis que la philosophie comme pensée pure rend l'esprit directement présent à lui-même. Pour Nietzsche, il n'y a pas à rechercher une telle rationalité dans l'art, dont le but n'est aucunement de rechercher la vérité. La recherche de la vérité est trop souvent la marque de l'appétit de domination; mais, si elle est sincère, elle mène à renoncer à

Chapitre 1 : LA VIE DANS TOUS SES ETATS Introduction générale Hans JONAS, Le phénomène de la vie. « Quand l’homme commença pour la première fois à interpréter la nature des choses – ce qu’il fit quand il commença à être un homme -, la vie était, à ses yeux, partout et être c’était pour lui la même chose qu’être en vie. » Il faut bien reconnaître que mis à part le concept de réalité, il est sans doute difficile de trouver une notion plus extensive et plus englobante que la notion

subversive qui reprendra Nietzsche en disant "Dieu est mort". Il veut montrer la décadence du règne de la spiritualité : parce que les dieux sont morts, les oeuvres deviennent l'objet d'un culte. Gautier reprend la formule latine de Horace : "Exegi momementum aure perennius" ("J'ai construit, érigé un monument plus durable que l'airain") : "Les dieux eux-mêmes se meurent Mais les vers souverains Demeurent

différence majeure tient au fait que la morale s’intéressant au souverain bien, donc aux fins ultimes de la vie humaine, elle dicte à la politique ses valeurs. Ex. : il faut bien que les hommes attribuent quelque valeur à la liberté, à la paix ou à la justice pour qu’ils puissent en faire les fins de la politique. Et comme toute valeur se définit par rapport au souverain bien, les valeurs politiques se définissent aussi par rapport au souverain bien, donc à la morale. Ex. : les condamnations morales

concepts (travail intellectuel) ARENDT : travail = asservissement de la nécessité. Comme le travail permet la réalisation de biens de consommation, qui sont ensuite consommés et qu’il faut donc reproduire, le travail est donc une répétition sans fin Homme peut produire 2 types d’objet grâce au travail 1. Les objets techniques : utilisation intéressée à la destruction et au remplacement . Durée de vie cyclique. Pour le créer, l’artisan ou le technicien acquiert un savoir-faire. De plus il a besoin de

effet, aucun désir n’est privilégié, le bonheur de chacun passe par la réalisation du bonheur collectif. L’Etat de droit s’inscrit dans le cadre de lois qui définissent aussi bien les droits que les devoirs : à la liberté comme un droit pour chaque homme, correspond ses devoirs envers autrui. Dans un Etat de droit, il n’est pas admissible que certains puissent jouir de la liberté au détriment d’autres.  L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté, pourrait-on dire à l’instar de Rousseau

tragédie B) Le mythe d'Œdipe C) Œdipe de Sophocle D) La lecture classique de l'œuvre de Sophocle E) La structure énigmatique d'Œdipe-Roi F) La lecture structuraliste d'Œdipe-Roi G) Analyse différentielle du mythe H) Analyse de la tragédie par Nietzsche III. L'inconscient A) L'angoisse B) La psychanalyse freudienne et le mythe d'Œdipe C) Le site de l'inconscient chez les Grecs CHRONOLOGIE avant J-C 534 : 1er concours de tragédie 525 : Naissance d'Eschyle 490 : Victoire de Marathon

l’animal qui possède un certain sentiment de soi et de son environnement mais n’a conscience ni de son passé ni de son avenir. C’est sans doute pourquoi d’ailleurs l’homme oscille entre deux attitudes. Tantôt, par anthropomorphisme (du grec anthropos, « homme », et morphè, « forme »), il a tendance à prêter à tout être une conscience semblable à la sienne, restaurant ainsi magiquement familiarité et intimité avec le monde. Tantôt, par anthropocentrisme (conception qui fait de l’homme le centre du monde

faut-il pas tuer ?", "sur quoi est fondé ce précepte en l'homme ?". Et, plus généralement, elle pourra se demander : comment définir une action bonne, qu'est-ce qui fait qu'une action est morale, … ainsi que, pourquoi pas : d'où vient la morale (cf. Nietzsche) ? La morale ne se prononce pas sur ces questions. On peut dire que, alors que l'éthique est philosophique (= philosophie morale), la morale ne l'est pas. 2) Qu'est-ce que le bien ? -Une question éthique fondamentale Ici, nous

technique Il semble très difficile de critiquer la technique, car elle se présente comme un pur moyen. Un marteau, par exemple, n’est ni bon ni mauvais : tout dépend de l’usage (bon ou mauvais) que l’on en fait (construire une maison ou crucifier un homme). En tant que pur moyen, qui facilite la réalisation de la volonté humaine, il peut sembler bon « en soi ». Mais, en vérité, cette possibilité d’utiliser la technique à des fins radicalement différentes (produire des médicaments ou produire des armes)