Nietzsche Le Dernier Homme

et l’agréable (Kant) 1 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 1 3. La norme du goût (Hume) 1 C. La création artistique 1 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 1 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 1 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 1 4. La création artistique est un acte de communication 1 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 1 II. Les fins de l’art 1 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques 1 A. Le

l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à la volonté : le beau et le joli (Schopenhauer et Nietzsche) 7 3. La norme du goût (Hume) 8 C. La création artistique 8 1. Le mythe de l’inspiration (Kant) 8 2. La création est le fruit d’un travail (Nietzsche) 9 3. Le créateur selon la psychanalyse (Freud) 10 4. La création artistique est un acte de communication 11 5. La création et la réception artistiques selon Nietzsche 11 II. Les fins de l’art 12 Introduction : La diversité des sentiments esthétiques

désespérante chez les éditeurs, d'autant moins que leur concentration en grands trusts de presse facilite le noyautage et le contrôle des comités de lecture par les cerbères des doctrines perfides et débilitantes que je combat dans la foulée de Nietzsche. Pour être plus clair, disons qu'il est à peu près impossible de publier quelque chose qui ne soit pas chrétien, juif, marxiste, musulman, ou de quelque manière asiatique ou pathologique. La chute accélérée du niveau culturel fait aussi que la rentabilité

 Chapitre 1 : Les penseurs grecs Socrate    On dit que Socrate a hérité du métier de sa mère  Il se disait « Sage-Homme ». Si sa mère accouchait les corps  Socrate s’occupait d’ACCOUCHER LES ESPRITS. Comment ? Il laissait sortir les vérités et vérifiait ces vérités par le questionnement.  Il évacue d’abord les pensées toutes faites et les opinions, en montrant, par des contre-exemples, leur fausseté ou leur fragilité jusqu’à aboutir sur une idée juste. Cet art d’accoucher les

présent. Si l'homme ne se consacre qu'à ce qu'il vit, il ne sera pas tracassé par ses regrets et pourra mieux gérer sont temps. Nietzsche note ainsi dans Généalogie de la morale, qu'il faut « faire table rase dans notre conscience pour qu'il ait de nouveau de la place pour les choses nouvelles ». Le présent ne sera que plus beau si le passé n'est pas confronté à ce dernier. Si l'homme se souvenait de tout ce qui lui est arrivé dans sa vie, sans exception, il n'aurait pas assez de mémoire pour ce souvenir

RELIGIEUSE « Alors que la vie humaine traînait sur terre honteusement aux yeux de tous, accablée sous le poids de la superstition qui montrait sa tête depuis les régions célestes, menaçant les mortels de son aspect horrible, le premier, un grec, un homme, un mortel [Epicure] osa lever contre elle ses yeux et contre elle le premier osa se dresser», Lucrèce A la suite d’Epicure, nombre de penseurs modernes vont dénoncer dans la religion une simple illusion. A. UNE SOURCE D’ALIENATION 1) La conscience

renonce à une situation qui a besoin d’illusions. ». Comme nous le verrons plus tard, les « illusions sur sa situation » sont une référence à la religion, tandis que la « situation qui a besoin d’illusion » n’est autre qu’une situation de vie d’un homme guidé par ses besoins et désirs, typique du monde capitaliste, d’après Marx. Le problème que se pose l’auteur dans cet extrait est donc : à quel changement faut-il procéder dans la société afin d’éradiquer la religion ? L’argumentation de Marx

Michel de Montaigne, né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592) au château de Montaigne à Saint-Michel-de-Montaigne en Périgord, écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance, est l’auteur d’un livre, les Essais, qui a influencé toute la culture occidentale. Fondateur de l’introspection, il en vient peu à peu à l’unique projet de faire son propre portrait : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même » Mais il dépeint principalement ses pensées, il

Michel de Montaigne, né et mort (28 février 1533 - 13 septembre 1592) au château de Montaigne à Saint-Michel-de-Montaigne en Périgord, écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance, est l’auteur d’un livre, les Essais, qui a influencé toute la culture occidentale. Fondateur de l’introspection, il en vient peu à peu à l’unique projet de faire son propre portrait : « Je n’ai d’autre objet que de me peindre moi-même » Mais il dépeint principalement ses pensées, il veut

longs mois d'écriture, je vous offre, grâce au site Sisyphe, quelques extraits de mon texte précédent, plus précisément du premier chapitre intitulé "Les culottées". Extraits du chapitre premier LES CULOTTÉES Un homme peut braver l'opinion, une femme doit s'y soumettre. GERMAINE DE STAËL, Delphine Une femme ne portera pas des vêtements d'homme. Deutéronome, 22:5