Nietzsche Le Dernier Homme

naît toujours "d'une comparaison" entre deux ou plusieurs termes disproportionnés, antinomiques ou contradictoires, et "l'absurdité sera d'autant plus grande que l'écart croîtra entre les termes de (la) comparaison". Ainsi, dit Camus, "si je vois un homme attaquer à l'arme blanche un groupe de mitrailleuses, je jugerai que son acte est absurde. De même, pour prendre des exemples traditionnels (mais qu'on ne trouve pas, sauf erreur, chez Camus), les expressions de "montagnes sans vallée" ou de "cercle

On dit d'un homme qu'il est un génie lorsqu'il possède une virtuosité et une inventivité exceptionnelles dans un domaine : on peut avoir le génie des affaires, être un stratège ou un scientifique génial etc. Toutefois comme le terme désigne à l'origine la divinité personnelle qui inspire les idées ou les initiatives originales il a souvent paru devoir qualifier les grands artistes : l'art est en effet le domaine où la virtuosité de l'exécution et l'originalité des oeuvres sont des critères déterminants

reconnaître sa pensée. Il accède cependant à la renommée à la fin de sa vie grâce à quelques disciples et à des ouvrages sous forme d'aphorismes (Parerga et Paralipomena) qui facilitèrent la diffusion de sa doctrine. Son influence est perceptible chez Nietzsche, Wagner ou Thomas Mann. René Magritte Peintre surréaliste belge, Né à Lessines le 21 novembre 1898 et décédé à Bruxelles le 15 août 1967. Jeune Belge marqué par le suicide de sa mère, René Magritte est étudiant aux Beaux-Arts de Bruxelles

infligée à soi ou à autrui, aussi bien physique que morale, ces états de faits sont jugés nuisibles, destructeurs et immoraux. La morale définit le concept du juste et de l'injuste, c'est le jugement d'une action humaine que l'on juge bien ou mal, Nietzsche emploierait plutôt les termes de bon ou mauvais. La définition même de la morale implique donc clairement que toute souffrance est immorale dans la mesure où elle est jugée injuste mais est-ce toujours vrai ? C'est pourquoi nous nous demandons si

que par leur industrie et par les productions de la terre, ils puissent se nourrir et vivre satisfaits, c'est de confier tout leur pouvoir et toute leur force a un seul homme, ou à une seule assemblée qui puisse réduire toutes leurs volontés, par la règle de la majorité‚ en une seule volonté. Cela revient à dire: désigner un homme, ou une assemblér‚ pour assumer leur personnalité‚ et que chacun s'avoue et se reconnaisse comme l'auteur de tout ce qu'aura fait ou fait faire, quant aux choses qui concernent

pas justement cette part de moi-même qui m'échappe toujours ? Si mon inconscient constitue le plus profond de mon être, je ne peux être ce que j'ai conscience d'être. III La conscience, méconnaissance de soi ? 1) "Je", une fiction grammaticale.
Nietzsche rejoint Spinoza dans la critique qu'il développe du cogito cartésien. Cependant l'intention en est bien différente. Il s'agit d'exclure le libre arbitre du psychisme humain, non pour rendre la pensée humaine dépendante de la pensée divine, mais pour

l’errance et l’alcoolisme, ainsi que des ouvrages (« le sang nouveau est arrivé : l’horreur SDF », et plus récemment « Démons me turlupinant » qui est un récit autobiographique en 2012). Sa pensée est assez empreinte des idées de Freud et de Nietzsche auxquels il fait souvent référence. Enfin, il se dit « profondément, viscéralement, anarchiste et cosmopolite. Toute sensibilité nationale ou patriotique m’est étrangère ». (p 435) Résumé Le livre est articulé en deux grandes parties : la

vérité. Mais pour Aristote, une telle séparation enlève toute intelligibilité au monde. Pour lui, elle est présente en chaque être. Remettant en cause le monde idéal de Platon, Aristote bâtit un système basé sur la réalité, il est un savant, un homme de science à la démarche empirique, il classe les phénomènes après les avoir observés. Dans son système, la métaphysique (étude de l'être en tant qu'être et non pas selon l'étant, non pas l'être sous sa forme phénoménale mais l'être en soi) est intimement

principes religieux car la religion vise la perfection individuelle tandis que les lois visent le bien-être de la société. Enfin, Montesquieu a également cherché à penser les conditions d’existence d’une multiplicité de religions dans un même pays. Ce dernier, dit-il, doit tolérer la présence de cette diversité mais ceci à condition que chaque religion d’une part, ne perturbe pas le fonctionnement de l’État et, d’autre part, n’entre pas en conflit avec les autres religions.                Rousseau

l’aspect extérieur ne lui suffira pas. Certain film comme par exemple «  Coup de foudre a nothing hill » ont su démontrer ce que nous avons expliqué précédement, les sentations ressenti lors de cet évenement, ce film nous met en scène la rencontre d’un homme (hugh grant) et d’une femme ( julia roberts) dans une librairie, durant la rencontre un coup de foudre se produit et ils tombent amoureux l’un de l’autre, puis au fil du temps ils vont apprendre a se connaitre et en meme temps s’aimer de plus en plus