Nietzsche Peine

Zoom •idée : Parfois synonyme de représentation mentale, parfois de concept (idée générale et abstraite); dans le platonisme, et avec un I majuscule, les Idées sont les modèles des choses, existant en soi, que l'âme contemplait avant son incarnation. Nous fabriquons les concepts, nous contemplons les Idées. •inconscient : Ce terme désigne l'ensemble des processus psychiques qui échappent à la conscience. •liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux

Ça aurait pu commencer comme cela. — comme l'exposé et la démonstration d'une thèse. Le sujet est le passage de l'ère classique à l'ère quantique et l'abandon de la métaphysique classique pour libérer une pensée de l'affectif c'est-à-dire une érotique. Le thème est la « pensée du Dehors » ou « pensée du Surpli » comme l'ont nommé et anticipé Foucault puis Deleuze. Il s'agit d'une pensée non métaphysique qui pose les forces et non les formes ou encore la complexité plutôt que la subjectivité. Elle

qualifier cette perte de temps de nécessaire ? Cette perte n'est-elle pas propre au présent ? Le présent étant le seul temps de l'action pour l'homme, contrairement au passé et à l'avenir, comme nous l'explique Pascal (dans son œuvre Pensées) ou encore Nietzsche dans son œuvre Considérations inactuelles, le passé incitant à la mélancolie, et l'avenir incitant au dégoût. Si l'homme « perd son temps » et plus particulièrement son présent (qui devient alors rapidement un présent éloigné, puis un passé), cela

Selon moi, la nature a donné aux animaux tout ce qu’ils ont besoin pour survivre tout comme avec l’homme. Il y a pourtant une différence qui dit que les animaux ne peuvent s’éloigner des règles, même s’il serait préférable parfois tandis que les humain, eux, s’écarte de ce qui est désavantageux pour eux. Pourtant, les deux se ressemblent, car ils ont des idées qui réfèrent à leurs sens, même que d’autre que moi, dise que certain humain ressemble plus à des animaux qu’à leur confrère, homme. L’homme

observer, comme un miroir, avec tous nos défauts, nos complexes. Cette image imparfaite et donc déplaisante que l'on a de nous est un obstacle au bonheur, à notre épanouissement, qui était pourtant l'objectif de la réalisation de soi. Réf : PascalX2 + Nietzsche → La conscience est un outil, qui peut donc être utilisé par mais aussi contre nous. Comment avoir l'absolue certitude que les décisions que nous prenons sont entièrement liées à nos convictions personnelles et non pas à l'influence d'un groupe

C'est tellement simple , l'amour Tout d'abord, je vais tenter de répondre à une question qu'on se pose tous où que l'on s'est tous posé au moins une fois : qu'est ce que l'amour ? Je ne sais pas tout sur la vie, loin de là. J'apprends chaque jour mais je n'ai toujours pas trouvé l'amour, la vérité, la beauté. Certains diront que je suis innocent à dix-neuf, il est impossible, mais je voudrais que ces gens me laisser rêver car comme on dit l'espoir est de vivre. à mon avis et dans mes rêves , l'amour

Le thème traite de la question du génie, dans une recherche de définition, Nietzsche dénnonce l’usage abusif dans sa restriction du terme, notamment sur deux axes : Tout d’abord considérer que le génie est lié qu’à quelques activités humaines inexplicables (la création artistique) ; et d’autre part que le génie ne travaille pas et qu’il conçoit grâce à des « intuitions ». Qu’est ce qu’une intuition ? C’est une connaissance, une saisie directe sans raisonnement. Cela donne une totalité « magique »

Dans ce texte, Nietzsche va opérer une critique radicale de la notion d’introspection à partir de la question de la conscience morale. Qu’entend-on par conscience morale ? Cette capacité qu’aurait la conscience de nous dire de manière infaillible ce qui est bien et ce qui est mal. Ici, vous pouvez penser à la formule de Rousseau dans l’Emile : Conscience Conscience Juge infaillible du bien et du mal ». Vous trouverez une explication de cette citation au bas de cette réponse. Cela suppose qu’il y

preuve de raisonnable, serait alors nous empêcher ce genre d’événement et ainsi nous préserver. Le désir est également souvent source de déception, car le désir de quelque chose est souvent un sentiment plus fort que l’objet du désir ; comme disait Nietzsche : « On en vient à aimer son désir et non plus l’objet de son désir ». Pouvoir se détacher de se désir en se disant que ce n’est pas la bonne chose empêcherait alors d’être déçu. Les Stoïciens ont une conception du monde qui est telle que le monde

Donner sans compter Dominique Segalen Comment parvenir à ce stade d'innocence, laissé depuis longtemps et remplacé par un processus complexe qui engloberait dans chaque sentiment l'intégralité du vécu ? Chez les adultes, tout comportement n'est pas faussé. Tout de même, mais être attentif demande au contraire un véritable travail intérieur. Contradiction évidente que cette recherche d'un retour à l'innocence. L'innocence n'est pas le résultat d'une conquête mais nous est donnée au début de