Nominalisme

les normes françaises. Les principes comptables qui permettent d’évaluer et de présenter l’information comptable et sur lesquels les normes françaises élaborées s’appuient sont : a) la stabilité de l’unité monétaire et le coût historique (ou nominalisme), qui imposent de valoriser les biens acquis à leur coût d’acquisition, exprimé en unité monétaire en vigueur lors de leur date d’entrée dans le patrimoine de l’organisation ; b) la continuité d’exploitation, qui suppose que l’entreprise agisse

créateur souverain. L'Unique de Stirner montre à quelle conséquence extrême aboutit le panthéisme de la philosophie hégélienne : on s'était efforcé d'abord de rattacher l'idée et le réel ; on a été conduit au nominalisme. L'originalité de Stirner a consisté à tirer argument de ce nominalisme pour affranchir l'individu de tout lien. Nietzsche, au contraire, tient d'abord à l'originalité artistique et à la sincérité morale. C'est aux bourgeois allemands, aux philistins et aux pharisiens qu'il s'adresse

d’indexation (dites également d’échelle mobile) qui permettent de faire varier le montant de la somme due par le débiteur d’une obligation monétaire en fonction des fluctuations d’un indice de référence. Les clauses d’indexation s’opposent au principe du nominalisme monétaire selon lequel un euro doit toujours être considéré comme valant un euro, quelle que soit l’époque du paiement (art. 1895, al. 1, C. civ. : « l’obligation qui résulte d’un prêt en argent, n’est toujours que de la somme numérique énoncée

résultat, pas une obligation de moyens. Ici le simple fait de ne pas avoir atteint le résultat engage sa responsabilité. - distinction obligation pécuniaire, en nature et de dette de valeur : À l’époque du Code Civil 1804 le principe est celui du nominalisme monétaire qui veut qu’un franc est toujours équivalent à un franc (l’argent à toujours même valeur). Il n’y a pas de dépréciassions monétaire. L’obligation monétaire se décrit comme l’obligation de transférer la propriété d’une somme d’argent (variété

de mesure 1.1. Le principe de monétarisation (money mesurement principle) Toutes les transactions sont exprimées en unités monétaires => la comptabilité exclut les éléments non monnayables du patrimoine ou de l’activité de l’entité. Principe de nominalisme : il pose l’hypothèse de la stabilité de l’unité monétaire dans le temps. Du fait de l’inflation, il faut au cours du temps effectuer des réajustements de valeur. La monnaie a aussi l’avantage de pouvoir exprimer la valeur d’objets différents dans

avec l’achèvement de la prestation (art. 38-2 bis CGI). La comptabilisation s’effectue hors taxes. 2. Le principe de l’indépendance des exercices Cf. période d’imposition et rattachement des opérations à un exercice ci-après. 3. Le principe du nominalisme monétaire Chaque créance ou dette est enregistrée en euros. A la fin de chaque exercice, l’entreprise constate une perte de change ou un gain de change. Ce dernier constitue une plus value latente et est imposable de manière extra-comptable.

2) Le principe du nominalisme monétaire Article 1895 du code civil : une obligation en argent « n’est toujours que de la somme numérique énoncée au contrat ». La jurisprudence a toujours considéré que ce principe ne valait pas que pour le contrat de prêt mais pour tous les contrats. Lorsque l’on doit une somme d’argent, on ne devra toujours que la somme d’argent inscrite. 3) Les clauses d’échelle mobile ou d’indexation Pour compenser le principe du nominalisme monétaire, les parties

l’approfondissement d’une question purement historique – le sens noématique de Husserl est-il assimilable au sens de Frege ? – peut contribuer de façon décisive à des débats philosophiques contemporains, par exemple au débat internalisme-externalisme et au débat nominalisme-réalisme. Ces controverses historiques ont ainsi causé une scission profonde de la phénoménologie en deux camps, la West Coast Interpretation et l’East Coast Interpretation, qui a tout aussi bien une signification philosophique. Parmi les développements

force) des lois. On retrouve ses caractères dans les lois. Au XIV° s, OCCAME poursuit et affirme que les règles morales sont celles que D.ieu , de toute éternité a fixé, et non pas celles que la raison prétend découvrir. Occame met ainsi au point le NOMINALISME DE LA CULTURE. DUNSCOTT dit que: « la première faculté qu’il existe en l’homme est la volonté » SAINT THOMAS D’AQUIN va analyser la volonté et l’intelligence. Dans cette même ligne, les théologiciens affirmeront commet le volontarisme dans la

politiques. For intérieur, liberté que cette foi et cette croyance suppose/ for extérieur, contraintes minimales que cela suppose. Par cette distinction la pensée chrétienne a pu contribuer à alimenter la pensée…’de droite’. B/ Naturalisme et nominalisme. Fin 13è début 14è la chrétienté médiévale est considérablement ébranlée par la querelle des universaux. Cette querelle a été évoquée dans un roman Le nom de la rose d’Umberto Eco. Les universaux Les choses qui ont des propriétés invariables