Norme Religieuse

condition semble être requise: qu'une idée préalable de ce que le comportement idéal devrait être habite de ceux qui l'infligent comme celui de ceux qui s'y soumettent. En d'autres termes, il faut que préexiste une norme à l'aune de laquelle puisse se mesurer un écart; et que cette norme soit suffisamment publique pour que la sanction soit comprise comme telle. » Source : Albert Ogien, Sociologie de la déviance, coll. « U », Armand Colin, 1995. Questions : a) Quelles sont les quatre formes

d’un individu. Première partie : Le droit objectif A) Le droit en tant que norme générale 1) L’identification au droit 2) Les sources du droit 3) La mise en œuvre du droit CHAPITRE 1 : UNE PREMIERE APPROCHE DU DROIT Paragraphe 1 : Manifestations du Droit Le droit se présente selon sa source et le jugement. Section II) La règle de Droit Le droit ne peut être dissocié de la « règle » ou la « norme » car il y à l’idée de catégorisation, de systématisation (ranger les choses selon

toujours seigneur. L’absolutisme n’invente pas la souveraine mais elle contribue à la définir. La doctrine absolutisme répond a la question de qu’est-ce que la souveraineté. 4 points d’analyse : - le pouvoir est sans limite il n’a ni morale ni religieuse ni juridique ni institutionnel - Le pouvoir se fonde et se conçoit lui-même (les penseurs de l’absolutisme sont assez proche du roi comme Loyseau et non philosophe) aucun critique possible - L’état exprime le bien on suppose que l’état étatique

s’applique que sur eux même. Dans la majorité des cas la règle de droit malgré sa généralité ne s’applique qu’a des catégories définies de personne comme les salariés, les handicapé ….c’est ce caractère général qui permet de la distinguer d’autre norme juridique et c’est celle dernière (la généralité de la règle de droit) qui est considéré comme garantie contre l’arbitraire en s’appliquent sur tout les individus et non en particulier. Partie 2 : les principaux règles de droit -le premier caractére

développement de l’identité judiciaire et des documents portatifs L’Eglise et les Etats établissent de nouvelles formes d’enregistrement. La tenue de registres paroissiaux devient de plus en plus courante avec pour objectif d’identifier l’appartenance religieuse de chacun. Les pouvoirs publics reconnaissent rapidement l’importance de ce système et interviennent pour le réglementer. L’identification des personnes se fait alors plus précise et l’idée que l’identité de chacun doit être enregistrée apparait

Des normes juridiquement supérieures auxquelles les autres normes doivent se conformer : §1. Un ensemble de règle suprême : La place de la Constitution est fondamentale, comme nous l’avons vu précédemment. Précisément, elle est la norme juridique de référence, la plus élevée, du fait qu’elle institue les organes composant l’Etat et qu’elle garantie des valeurs fondamentales aux gouvernés. Cependant, la primauté de la constitution n’est pas toujours assurée. En effet, elle reste

une source indirecte du droit : elle ne crée pas directement de norme juridique. La doctrine va influencer les autres sources du droit. Section 2 : Les sources spontanées 1. La coutume : La loi du trente ventôse an XII en 1804 est la promulgat° du code. Elle précise que les coutumes générales et locales cessent d’avoir force de loi dans les matières qui sont l’objet du code civil. 2.1 La notion de coutume : C’est la norme de droit objectif fondée sur la tradit° populaire qui prête à

on juge souvent les comportements humains comme naturels Exemple : l’attitude d’un père ou d’une mère a l’égardde ses enfants n’est pas naturelle, elle est culturelle. En revanche cette attitude est normale. C’est-à-dire qu’a correspond a une norme sociale, propre a une situation donnée. Mead a observe plusieurs sociétés océanienne et a montre que les modèles de comportements des hommes et des femmes peuvent être différents d’une société a l’autre. Illustrations Pour satisfaire le

lors du tremblement de terre, Pakistan. Dans ce contexte de domination des croyances, le droit n'apparait pas comme autonome il est pris dans la religiosité ambiante et mettra beaucoup de temps à s'en dégager. A- Le droit dominé par la morale religieuse Dans l'antiquité il y avait une confusion permanente dans la gestion de la société, entre la religion et le droit. Ex: dans l'empire romain, la connexion entre les dirigeants et les dieux est évidente. En 392 le christianisme devient religion

raison supérieure et désincarnée. Par exemple, l'état de possession ou de transe est un trait de la culture afro-américaine, une expression religieuse codifiée : on n'entre pas en transe à toute occasion. La frénésie, l'état d'absence du possédé n'apparaissent comme une aberration ou un trouble du comportement que par rapport aux normes cultu¬relles et religieuses de la culture européenne. Ce n'est pas la simple existence de cultures différentes qui . . . s'oppose à celle de valeurs universelles