Nous Sommes Condamnés à être Libre

l’existence de la société. Un état sans droit correspond à un état où tout le monde a droit,  c’est l’état de Nature dans le quel la loi du plus fort prime. Les hommes ont donc voulu abandonner cette indépendance, pour instaurer un état de droit , par le biais du contrat social [1] (Rousseau). nous pouvons dire alors que le droit est  le résultat, l’expression de la volonté humaine Le droit actuel tire ses origines du droit romain . Il  a pour but de garantir une vie paisible entre hommes d’intérêts

-arabesque: motifs non figuratifs, décoratifs. -chapes: manteau, vêtement de cérémonie d'evèque. 1.Quel est le genre du texte ? Peut-être un journal car: -le temps est le prèsent. - "Voilà 5 semaines..." -indication de lieu . -l' emploi de "je" avec abondance. Cepandant Hugo n'a jamais été condamné à mort. C'est un roman qui est écrit à la première pèrsonne, il est aussi très organisé: oppositions et répétitions. 2.Les oppositions. ->entre:"autrefois" et "maintenant".

peut-elle être un fardeau ? Plan Introduction : Un fardeau se définit comme une lourde charge, quelque chose qui nous pèse et dont on voudrait bien se débarrasser (se décharger). En ce sens, comment la liberté pourrait-elle être pour nous un fardeau ? La liberté s’apparente d’abord à un pouvoir : pouvoir d'agir sans être empêché, pouvoir d'être ce que l'on est ou de posséder ce que l'on a, pouvoir d'exprimer notre pensée sans être censuré, mais aussi pouvoir de penser sans être sous influence

Sommes-nous prisonniers du passé ? 1. L'analyse du sujet a) Les termes du sujet Nous : → chaque individu et son histoire personnelle ; → entité collective (société, génération, nation, humanité, etc.). Prisonniers : → idée d'enfermement, d'obstacle et de limites empêchant d'agir et de décider ; domaine physique et psychologique ; → idée de faute et de culpabilité ; domaine moral. Passé : → passé immédiat (enfance, éducation) ou plus lointain (origines) ; → passé individuel et collectif (histoire

et de ses pulsions. Il ne faut pas la confondre avec l’indépendance.  Indépendance : capacité de subvenir à ses propres besoins par soi-même. L’indépendance absolue condamne à la solitude car la société repose sur l’interdépendance de ses membres. En société, l’indépendance d’esprit, la capacité de penser par sois-même en échappant a l’influence d’autrui, est en revanche possible.  Libre-arbitre : la capacité de faire des choix. Vraiment : cet adverbe met en doute l’affirmation, qui parait pourtant

de risque qui rend malheureux . la sensation extrême lie à l'immortalité : insensibilité extrême ; négation des réalités de la vie . l'ennui : après la réalisation du désir ultime (l'immortalité), plus rien ne peut représenter un désir à accomplir. . l'individu est > aux lois . désir : « manque que l’on ressent par l’absence de ce qui ferait plaisir » - (Encyclopédie des sciences…, Diderot et d’Alembert) l’éternité procure à l’individu éternel des désirs éternellement assouvis Bonheur

________________________________________________ Sujet Peut-on vouloir ce qu’on ne désire pas ? Philosophie - 2 - Tle Sujet 117 (2ème partie) Aide méthodologique ____________________________________________ Les pièges et les erreurs à éviter • Dans la lecture du sujet - Ne pas se demander quel sens prend ici l’expression « Peut-on ». - Oublier de définir de façon très précise les termes du sujet et traiter l’articulation entre « vouloir » et « désirer » de façon simpliste

N’importe quel faits divers tragique peut servir de support à notre interrogation au sujet du caractère équivoque de la conscience basée sur les deux critères : intention et résultat. Le problème concerne l’attribution de la responsabilité. Mais de quelle responsabilité parle-t-on morale ou juridique ? Est-ce que l’inconscient en nous pourrait offrir une excuse à nos actions ? Dans ce cas peut-on souhaiter devenir ignorant de toutes choses, totalement inconscient afin de se décharger de toute responsabilité

existence, on est et ce qu’on est on le doit à nos actions, si on est quelque chose c’est par notre choix donc nous sommes libres. La liberté est un point clef de ce courant car celui-ci dénigre tout déterminisme (tout est prédéterminé et on ne peut rien changer) et si il n’y a pas de déterminisme il ne reste que la liberté. Comme l’a dit Jean-Paul Sartre : « Il n’y a pas de déterminisme, l’Homme est libre, l’Homme est liberté, l’Homme est condamné à être libre. » Pour en revenir au livre, le personnage

vont être influencés par les atrocités de la guerre et c'est dans cet état d'esprit qu'ils vont écrire leurs œuvres. Ce courant s'appuie sur la liberté et sur la responsabilité de nos actes. L'existentialisme sartrien est athée, il n’y a rien au dessus de l'homme et ce dernier est responsable de son sort, des choix qu'il a fait et de ses actes. Selon Sartre l'homme existe d'abord et se définit ensuite par ses actions, c'est pour cela qu'il dira : L'existence précède l'essence. Nous sommes libre