Nouvelle économie keynésienne

ECONOMIE (20/09/12) Pensée libérale classique anglaise: David Ricardo: auteur de "les principes de l'éco politique et l'impôt" parue en 1917. Il s'oppose à l'intervention de l'Etat surtout fans le secteur sociale et même contre les mesures qui ont pour but de relever les salaires car selon lui celà va provoquer l'augmentation de chômeurs --> déséquilibre dans la répartition de la richesse sociale (mondial). Il encourage le libre échange, l'ouverture des barrières = la théorie "des avantages

néo-classiques : D- L’actualité des idées libérales : II - Le courant marxiste : A- Contradictions du système capitaliste : B- Conséquences III – Le courant keynésien : A- Thèses générales : B- Les principaux apports : C- Incidences et critiques : D- Les successeurs de Keynes : IV- Les inclassables ou hétérodoxes : V- Les dernières tendances en économie : ******************************************** AUTEURS CITES AU FIL DU CHAPITRE : I- Le courant libéral : CALVIN

en compte des institutions, telle qu’elle s’est affirmée dans certains courants néo-classiques contemporains, ainsi que dans l’approche française des conventions. C’est la raison pour laquelle j’ai ajouté au texte de Nagoya une section entièrement nouvelle (la section III) consacrée à l’étude des développements intervenus récemment sur la question de la prise en compte des institutions dans l’analyse économique. Introduction Vous avez souhaité que cette conférence ait pour objet la présentation de

2° partie : LES GRANDS COURANTS DE LA PENSÉE ÉCONOMIQUE Sommaire : Chapitre 1 : Le courant libéral Chapitre 2 : Le courant keynésien Chapitre 3 : Le marxisme Chapitre 1 : Le courant libéral La naissance du courant libéral classique se situe à la fin du XVIIIe siècle. Ce n'est qu'à partir de la fin du XIXe siècle que les écoles néo-classiques sont apparues. I -- L'école classique On a l'habitude de considérer les auteurs de l'école classique comme les fondateurs de la science

dilemme des gouvernants modernes : La popularisation des versions simplificatrices des thèses keynésiennes (thème de « la relance ») rend politiquement coûteux pour un gouvernement de sembler rester inactif en cas de ralentissement économique. Mais, avec l’autonomisation des banques centrales, les gouvernements n’ont plus à leur main l’outil monétaire Or, la décentralisation et l’ouverture des économies modernes rendent beaucoup plus incertains les résultats d’une action budgétaire. Par ailleurs

Document de travail (2006) ECONOMIE TD : Groupes 1S7 et 1S8 Paris le 1 décembre 2006 SOMMAIRE I - PROLEGOMENES 5 A) Quelques définitions 5 1) Une définition artistique 5 2) Une définition scientifique 5 3) Une définition pragmatique 6 B) Les liants de l’économie 7 1) Les paradigmes de la sociologie 7 2) Les paradigmes économiques 17 3) Les paradigmes politiques 32 C) Les courants de pensée économique 36 1) Orthodoxie et hétérodoxie : une

l’impôt. Cependant, étant donné le niveau atteint aujourd’hui par les prélèvements obligatoires et le fait que ces budgets soient souvent déjà mobilisés par les services permanents de l’État, il reste très peu de marge de manœuvre pour prendre de nouvelles initiatives budgétaires par ce biais. Pour couvrir ses déficits temporaires, il reste deux recours à l’État: ■ La création monétaire ■ L’emprunt Le budget de l’État : élément déterminant de la vie économique : La politique

économistes l'écart entre ces modèles et la réalité. Mais, - Les modèles permettent de raisonner et d'interpréter la réalité. - On essaie de voir dans ces postulats ce qu'il faut modifier. En ce qui concerne la construction des savoirs, la macro-économie est une science humaine déductive. On raisonne àpd théories, on se trouve dans un cadre fixé. Les chercheurs commencent par construire un cadre général théorique, ils partent d'une chose vraie, un postulat. Ce cadre théorique permet de raisonner

contreviendraient à ces règles. En fonction des états, le libéralisme est plus ou moins marqué par exemple aux Etats-Unis. Par exemple dans nos sociétés actuelles, il est possible de constater l’intervention de l’Etat lors de crise économique. Dans une économie libérale, le prix d'un produit, ou service, dépend de la valeur que lui accorde l'acheteur. Il n'y a pas de valeur objective, mesurée par exemple par une quantité de travail intégré au produit. Le libéralisme économique qui prône l’initiative et

mise à disposition de liquidité qui permettent les transactions sans entrainer de tension … ? Il faut donc procéder à un contrôle strict de cette masse monétaire en circulation ds l'économie. Il conteste en outre l'efficacité des politiques keynésienne de soutiens de la demande. Selon lui les ménages pensent que le supplément de revenus dt ils bénéficie à l'occasion de ces politiques n'est que transitoire et non pas permanent (freedman distingue ainsi revenue permanent qui oriente de manière stable