Nouvelle école Keynésienne

Introduction Les années 1970, introduisant le phénomène nouveau de la stagflation (coexistence de l'inflation et de la stagnation donc du chômage), ont semblé sonner la fin des politiques de relance Keynésiennes. En effet, celles-ci, jusqu'alors pratiquées par la majorité des gouvernements ont montré leurs limites en plus de leurs effets pervers : la hausse de l'inflation et le creusement des déficits publics. L'invalidation empirique, combinée à la contestation théorique, a alors provoqué un

marque la naissance de l’économie politique, leurs apports théoriques sont féconds et serve de points d’encrage à la critique => le marxisme. 3) La pensée classique au XIXème s. référence de l’économie politique Il est difficile de parler d’une école classique => il existe des points de divergence, et des controverses entre les classiques. La théorie de la valeur 3 économistes se sont penché sur le sujet : SMITH, RICARDO et SAY. Ils n’ont pas tous la même conception de la valeur. Le premier sujet

monétaire stable, notamment celle du contrôle de la base monétaire. La période de la politique économique de R-U de l'après-guerre était caractérisée par le taux de change fixe, la mobilité intérnationale du capitale limité et par le management keynésien. Dans ce milieu, la politique fiscale était favorable pour atteindre le plein-emploi. Cependant, dans les années 1960 les problèmes du fonctionnement de la politique monétaire sont apparus et le développement domestique ainsi que le développement

d’équilibre en concurrence pure et parfaite Chapitre 3. L’analyse Keynésienne……………………………………………………………………p14 I. Le contexte II. Biographie et œuvre de Keynes III. Le principe de la demande effective et les composantes de la demande IV. la demande de monnaie V. La détermination de l’emploi VI. Les politiques keynésiennes Annexe……………………………………………………………………………………………………….p19 Introduction -L’analyse néo-classique Ecole qui continue aujourd’hui à avoir une influence très importante -Aux

ROYAUME DU MAROC ……………… Ecole Nationale de Commerce et de Gestion – Oujda ..................... Semestre 1 EXPOSE DE MACROECONOMIE LE CHOMAGE Réalisé par : Sous la direction de : Année Universitaire : 2011-2012 PLAN INTRODUCTION I. Définition et formes de chômage A. Définition B. Les différentes formes de chômage II. Causes du chômage A. Les analyses théoriques 1. L’analyse libérale 2. L’analyse keynésienne 3. L’analyse marxiste

Chapitre VI : La Consommation. Introduction I- Formes de la consommation II - Analyse théorique de la consommation A - Approche classique et néo-classique. B- Approche Keynésienne (revenu courant) C - les nouvelles théories de la consommation. 1 - J. Dusenberry : la théorie du revenu relatif 2 - T. Brown : effet de cliquet et effet d’hystérésis 3 - Milton Friedmann : la théorie du revenu permanent 4 - Théorie du cycle de vie de Modigliani (1954) III - Les rapports entre la consommation

production industrielle en Grande-Bretagne mais également en France comme surtout aux Etats-Unis et l’on assiste simultanément à la chute des prix, déflation, et à la montée du chômage. On peut parler alors de défaillance du marché. Pour Keynes, un nouvel acteur est nécessaire à la correction de cette défaillance, c’est l’Etat lequel par son comportement de dépense publique et surtout de politique économie dans la politique budgétaire, la politique fiscale et la politique monétaire peut alors suppléer

facteurs de la croissance économique 1) Travail et capital : les deux principaux facteurs La croissance résulte de la contribution de ces deux facteurs : - Le facteur travail subit une élévation du niveau de formation et l’adaptation aux nouvelles technologies ce qui engendre des gains de productivité - Le facteur capital se compose du capital fixe d’une part (machines, infrastructures, bâtiment) et du capital circulant d’autre part (biens transformés ou détruits lors du processus de fabrication)

fluctuationsIntroductionL’école autrichienne d’économie est une école de pensée économique hétérodoxe. Elle se fonde sur l'individualisme méthodologique et rejette l'intervention de l'État. Elle s'oppose à l’application à l’économie des méthodes employées par les sciences naturelles. Ses partisans défendent des idées très libérales en matière économique et plus généralement d’organisation de la société. Elle s'oppose tant à la Nouvelle économie keynésienne qu'à la Nouvelle économie classique.Parmis ses principaux fond

et aussi doit lutter contre le protectionniste. B-Les néoclassiques Les idées de base sont toujours les mêmes. En revanche, apparaissent des nouveautés dans les méthodes en Europe dans les anées 1870, trois grands auteurs vont proposer une nouvelle approche en introduisant les math et la logique, ce sont les marginaliste. On raisonne en microéconomie. 1860, les mathématiciens ont proposés un nouveau calcul :le calcul infinitésimal (dérivée et intégrale) Marginaliste car calcul à la marge