Nouvelle école Keynésienne

a. L'économie politique classique, Malthus et Ricardo. b. Le marxisme. c. La révolution marginaliste. d. La révolution keynésienne. e. Les courants hétérodoxes. f. L'économie néoclassique : des keynésiens à l'école de Chicago. II- L'analyse économique. A- La microéconomie. a. Théorie microéconomique traditionnelle. b. Marché et défaillances du marché. c. Nouvelles théories : une meilleure prise en compte de la concurrence imparfaite. B- La macroéconomie. a. Croissance économique. b

L’ECOLE DU CYCLE ECONOMIQUE REEL L’école du cycle réel est, plus encore que la nouvelle école classique, une rupture avec la pensée keynésienne. A la fin des années 1970, Lucas et Sargent souhaitaient la construction de modèles des fluctuations fondes sur des agents rationnels et optimisateurs. Ce vœu allait être comble par la publication de F. Kydland et E. Prescott (1982) qui mettait l’accent sur des facteurs réels, et non plus monétaires et financiers, comme source principale des cycles

distinguer les besoins individuels des besoins collectifs : -Les besoins individuels se sont des besoins que nous ressentons en propre (nourriture, soif vêtement). -Les besoin collectif sont des besoins ressentis par toute une collectivité (hôpital, école, transport…). Ces deux types de besoins définissent le type de société dans laquelle on se retrouve. En effet lorsque les besoins individuels sont plus que les besoins collectifs nous nous retrouvons dans une société sous développée. En d’autres termes

A. L’Ecole de Chicago avant Milton Friedman ; « les néoclassiques » Étant donné que la majorité des professeurs et des anciens étudiants s'identifient à cette école de pensée, l'école de Chicago est clairement au départ une référence directe au département d'économie de l'université de Chicago. Cette école d’économie fût fondée pour promouvoir les marchés libres et le concept d’anticipations rationnelles, une théorie macroéconomique qui soutient que les individus fondent leurs décisions

mentalités : réforme protestante contre le trafic des indulgences (XV et XVI siècle). 17/04/2012 Cours de Omar TIJANI 22 Conclusion  La réforme protestante lève de nombreux obstacles moraux à l’activité économique ;  Le travail devint une nouvelle vertu. Auparavant destiné à la seule survie, il devint l’origine de la richesse et de son accumulation ;  Le temps est précieux et l’épargne devient une vertu ;  Apparition de l’imprimerie et découvertes géographiques annoncent l’arrivé de l’époque

Plan Introduction 1. Cadre conceptuel et sémantique 1.1. Définition du chômage 1.2. Sens du concept 2. Analyse théorique du chômage 2.1. Approche libérale du chômage 2.2. Approche keynésienne du chômage 2.3. Nouvelles théories libérales 2.4. Nouvelles théories keynésiennes 3. Manifestations, causes et conséquences du chômage 3.1. Manifestations des types de chômage 3.2. Causes 3.3. Conséquences 4. Approches de solutions au chômage 4.1. Le partage du travail 4.2. Les actions

de bien comprendre les mécanismes réels du chômage. I. L'analyse théorique. L'analyse théorique des causes du chômage est centrée autour de deux courants, opposés sur la forme. Il s'agit des libéraux et des keynésiens. A. L'opposition de forme entre analyse libérale et keynésienne du chômage. 1. L'analyse libérale. Elle a constitué la pensée dominante jusque dans le milieu des années 30. Le courant libéral considère que le chômage résulte de conditions de production trop coûteuses (les

Chapitre 1.2. Histoire de la pensée économique Modifié le : 21/10/07 Section 1 Le courant fondateur des classiques Section 2 Les grands courants de la pensée économique contemporaine (néoclassique, keynésien, marxiste) Section3 Repérage des orientations théoriques récentes Section 4 Analyse des divergences et des convergences Prolégomènes : quelques définitions de base I. L’économie Économie signifie en grec les règles (nomos) de la maison (oikos). Elle s’intéresse aux

Section 5 : Les grands courants de pensée contemporain 1) Les écoles libérales : A) Ecole monétariste ou Ecole de Chicago : A démarré dans les années 30, Milton FRIEDMAN critique intervention keynésien : chômage diminution de la croissance, inflation important donc remis en question de l’intervention de l’état qui a été important après-guerre, on dit que ça ne marche pas bien. Courbe de Philipe : lien entre chômage et inflation Dans les années 70 on observe dans la courbe que si l’un augmente

 PLAN DE L’EXPOSE : Section I : Le chômage…………………………..P.3 I- Les différentes approches du chômage…………...P.3 A- Approche classique et Keynésienne ………………………P.3 B- chômages lies aux structures économies et sociales……….P.3 II- Les conséquences du chômage……………………P.4 A- Sur le plan économique……………………………………..P.4 B- sur le plan politico-économique…………………………….P.5 Section II : L’inflation……………………............P.5 I- Origines de l’inflation………………......................P.5 A- Approche monétariste………………………………………