Néo Taylorisme

complémentaires entre les individus qui va déboucher sur la spécialisation de chacun. Ainsi à la fin du XIX siècle, l’ingénieur américain Frederick Taylor conçoit la première organisation scientifique du travail sous le nom D’OST qui sera appelé le taylorisme, qui à pour objectif l’augmentation de la productivité en éliminant tout phénomène de flânerie des ouvriers par le chronométrage de tâches. Elle repose sur une double division du travail à la fois horizontale qui consiste à découper le travail en

dire leur méthode de production. Mais cette volonté de changement habite les entreprises depuis les années 70 et l'apparition d'une nouvelle organisation du travail se substitue donc aux organisations traditionnelles. Ces dernières rassemblent le taylorisme et le fordisme et se basent sur la suppression du moindre geste inutile, la partiellisation des taches (appelée aussi division horizontale), la hiérarchisation poussée, qu'on nomme division verticale et enfin sur la paye à la pièce, ce qui motive

théoricien a avoir réfléchi à la relation entre organisation du travail et la croissance économique a été Adam SMITH (au XVIII° siècle). 1) Les liens évidents avec la croissance. · Pour le fordisme : Organisation du travail combinant les apport du taylorisme et les principes d’une chaîne tractée imposant ses cadences, d’une standardisation des pièces et des produits, et du versement de salaires suffisamment élevés pour créer des débouchés à la production de masse qui résulte de cette organisation.

est nul. B) Du Taylorisme aux N.F.O.T (Nouvelles Formes d’Organisation du Travail) 1) Le taylorisme F.W. Taylor est le premier à avoir instauré un changement organisationnel profond qui augmente les gains de productivité, le taylorisme. Les 2 principes : Division verticale Division entre travail de conception et travail d’exécution Division horizontale Consiste à parcelliser les tâches et spécialiser les ouvriers pour augmenter les cadences. Le taylorisme a permis un premier

production La flexibilité dans le Taylorisme et le Toyotisme… Ammor Mohamed Lechippey Alexandre Ribot Johanna Rolland Nicolas TD 3204 Jigoro Kano, l’inventeur du judo, cite : « Sous le poids de la neige, la branche ne se brise pas, elle se plie »  Il met ainsi en exergue la voix de la souplesse. PLAN I] Rappel historique A) Tableau récapitulatif Taylorisme-Toyotisme B) Notion de flexibilité

Corrigé de question de synthèse : Après avoir présenté les transformations récentes de l'organisation du travail, vous montrerez que les caractéristiques du taylorisme n'ont pas totalement disparu. D'Adam Smith à J.A. Schumpeter, les économistes ont souvent compris l'importance de la manière d'utiliser la force de travail dans les organisations productives afin d'obtenir des gains de productivité qui sont un facteur de croissance. Les ingénieurs et industriels se sont eux aussi penchés sur

spécialisé affecté à la gestion administrative et commerciale devient de plus en plus nécessaire ( les "cols blancs" par opposition au "cols bleus") 3) Troisième phase : années 60 à nos jours C'est une phase caractérisée par la contestation du taylorisme. Les revendications portent sur : -les salaires -les conditions de travail (de plus en plus) -les entreprises qui sont obligés de s'adapter à ce nouveau climat social et de mettre en place de nouvelles méthodes de travail. B) L'OST 1)

travail plus intéressant pour un employé qui voit sa motivation grandir et ses compétences se multiplier, il devient ainsi un opérateur polyvalent. I- Un nouveau contexte imposant de profondes transformations. A. La double limite du taylorisme. B. De la rigidité à la flexibilité : le toyotisme. II- Des effets contrastés sur l’emploi. A. Du travail au capital humain B. La fragilisation des statuts. I) Les nouvelles organisations remplacent le tayloro-fordisme

de commandement. C’est dans un tel contexte que s’est développée l’approche classique de l’organisation portée par un tel mouvement d’idées probablement influencé par les travaux d’économistes précurseurs. Progressivement, l’approche empirique ou néo-classique lui succèdera avec une sophistication des méthodes et des outils de management (section 4). Pour comprendre la genèse de la gestion moderne des organisations, il convient aussi de revenir sur l’apport des économistes classiques qui ont

5,29% de 1950 à 1973. La productivité horaire du travail augmente plus vite que la croissance du PIB. La productivité dépend de l’intensité capitalistique et de la productivité globale. II] La mise en place de l’organisation du travail 1)Le taylorisme Taylor, dés la fin du 19 iem siècle cherche à améliorer l’efficacité des travailleurs en mettant en place une Organisation Scientifique du Travail, basé sur une double division du travail. La division verticale. Elle est basé sur une citation de