Néoclassique Conclusion

endogène sont un ensemble de modèles, apparus au milieu des années 1980, qui rendent compte des causes de la croissance, de ce qui permet une augmentation durable de la production (PIB) et du niveau de vie (PIB/tête) d’un pays. A la différence des néoclassiques, pour qui la croissance est le fait de facteurs exogènes au modèle (dont le progrès technique), ces théories expliquent la croissance comme étant le résultat d’une accumulation des différents types de capital (physique, humain, public…) La croissance

face à l’incertitude, les comportements tendent à devenir mimétiques, et amplifient ainsi les déséquilibres (cf. les marchés financiers). B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue 1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications

manières : • Les formes les plus fréquentes de crises sont liées à la variation monétaire par les opérations de crédit. •Les crises deviennent parfois nécessaires b- Keynes, la monnaie et l’offre Ex : Keynes était convaincu que le discours néoclassique, qui reprenait à son compte la loi de Say, était incapable de proposer une issue à la crise et au chômage de masse des années 1930. Or celle ci faisait planer sur l'économie mondiale la menace de bouleversements sociaux qui pouvaient emporter le

économie voit se substituer à un modèle productif ancien un nouveau modèle fondé sur des innovations. - Le modèle de Solow. Robert Solow propose un modèle néoclassique de croissance qui repose essentiellement sur l'hypothèse d'une productivité marginale décroissante du capital dans la fonction de production. Le modèle est dit néoclassique au sens où les facteurs de production sont utilisés de manière efficace et rémunérés à leur productivité marginale. Solow montre que cette économie tend vers

qu’il faille se méfier des comparaisons). La science économique devient donc bien plus large que la simple gestion des richesses et touche des problèmes également politiques et sociaux. 1.2– Les grands courants de la pensée économiques : Les conclusions auxquelles on parvient dépendent d’hypothèses de départ. De grandes tendances se sont faites jour en économie. 1.2.1– L’école classique : L’école classique regroupe des auteurs aussi divers que variés, mais ils ont tous un certain nombre de

donc un outil de contrôle de la croissance, et ses variations agissent sur la croissance par le biais de l’investissement. Une utilisation judicieuse de l’épargne permet de résorber les modalités du déséquilibre. C) La croissance équilibrée néoclassique. - R. Solow a construit son modèle contre le modèle postkeynésien. Il a voulu démontrer que la croissance équilibrée de plein emploi est possible. Pour cela, il part du principe que les facteurs de production sont substituables (pour se débarrasser

vers le prix qui l’intéresse le plus. Ils pensent que l’Etat doit se cantonner à un rôle d’Etat gendarme facilitant le déroulement de la libre concurrence. La propriété privée est le cadre essentiel de la libre concurrence. IIILa pensée économique néoclassique Ces auteurs s’intéressent d’avantage au comportement individuel, sans remettre en cause les auteurs précédent, ils s’intéressent à ce qu’on appel la micro économie. Léon Walras (1834-1910) Carl Menger (1840-1921) Ils reviennent sur la notion

que, face à l’incertitude, les comportements tendent à devenir mimétiques, et amplifient ainsi les déséquilibres (cf. les marchés financiers).  B. Les rigidités et entraves au bon fonctionnement du marché : l’autorégulation perdue  1. Le modèle néoclassique du marché est un modèle d’échanges purs, sans frictions, impliquant une fluidité et une flexibilité parfaites. La réalité en est très éloignée, et caractérisée par des « rigidités » de toutes sortes : de prix, de salaires, d’emplois, de qualifications

d’échelles constants et productivité marginale croissante  Mobilité des facteurs entre branches  Immobilité des facteurs entre pays  Absence de revirement d’intensité en facteur  Identité des goûts des consommateurs Section 2 : critique du modèle néoclassique de spécialisation Hypothèses irréalistes :  Les pays n’ont pas la même qualité de sol  Le travail d’un homme n’est pas toujours équivaut au travail d’un autre  Multinationalisation des firmes et internationalisation de la production et des capitaux

Apparition des termes en urbanisation : TOP DOWN et BOTTOM UP (expliquer les termes et en quoi ca consiste, pourquoi ils apparaissent) d) XVIII siècle : - Etienne Louis Boullé => amour de la géométrie, bibli universelle, architecte néoclassique,… Qu’a-t-il apporté dans les utopies, ses idées sur les utopies architecturales, ses méthodes pour y arriver…. - Claude Nicolas Ledoux => Les salines ; endroit ou réside le bonheur, bâtiments industrielles, espace vert, de détente,… Utilisation