Néoclassique Conclusion

Figure 1 : Les deux aspects de l’investissement 2. L’instabilité de la croissance : le fil du rasoir (Harrod) En introduisant les anticipations de croissance dans la détermination de l’investissement, Harrod arrive à la conclusion que la relation précédente déterminant le taux de croissance par le rapport du taux de d’épargne au coefficient de capital est fondamentalement instable. Reprenons les schémas précédents en supposant que le coefficient de capital soit égal à

plus de 50ans. 2010, 9,3% de chômage global, aucun diplôme 16,1%, ceux qui ont un brevet taux de chômage 10%, le bac 8,9%, bac+2 5,5%, supérieur à bac+2 5,6%. Les plus au chômage sont les fils d’ouvrier et les moins les fils d’agriculteur. Conclusion de cette disparité : Le chômage est reparti à la hausse depuis 2009 et c’est une crise qui a plus touché les hommes que les femmes. Car c’est surtout l’activité de la construction. Il y a une tendance de rapprochement du taux féminin et masculin

théorie. Cependant ces deux auteurs ne sont pas complètement libéraux, vont théoriser un rôle de l’Etat. ▪ Les « années d’or » de la politique économique, des années 1930 aux années 1970, voient Keynes, puis la synthèse néoclassique, triompher. La synthèse néoclassique est l’intégration des thèses keynésiennes dans les grands équilibres. Tout au long de ces années, l’intervention de l’Etat est très régulière. ▪ Depuis les années 1970, l’intervention de l’Etat est remise en cause, surtout

se caractérise par la libre circulation des biens et des hommes. Libre concurrence, recherche du profit et il comporte 2 grandes écoles : classique (Smith /Ricardo, l’état n’intervient pas dans l’économie sauf dans ces fonctions régalienne) et néoclassique (favorable à une intervention de l’Etat dans l’économie pour relancer celle-ci. Keynes est à l’origine de l’Etat providence ou l’Etat intervient sur le plan économique et social. A. Smith et la théorie des avantages absolus Elle donne naissance

Le dernier projet ne sera pas réalisé.  Pour un taux d'intérêt  supérieur, par exemple 11 %, aucun ne projet ne serait rentable. Les différentes théories économiques sont d'accord sur ce point, et l'analyse néoclassique considère le taux d'intérêt comme déterminant.  2°- a- l'analyse néoclassique met le taux d'intérêt au centre du marché des fonds prêtables.   (document 5) L'épargne varie dans le même sens que le taux d'intérêt, l'investissement en sens inverse, ce qui permet un équilibre entre la

de profit. C- Les Néoclassiques le contexte : les néoclassiques fondent leur courant de pensée au XIXème siècle. Ce sont les héritiers des classiques. Ils vont cependant enrichir la pensée économique avec de nouveaux concepts. Ils s'attachent a combattre le marxisme qui remet en cause le capitalisme. Certains économistes contemporains se réclament de ce courant de pensée. Ils se regroupent autour de Léon Walras (1834-1910). Utilité marginale : Les économistes néoclassiques s'opposent à la valeur

LES GRANDES ECOLES DE LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES (GRH) ET LEURS APPORTS L’école Classique / Néoclassique : L’Homme est considéré comme un simple facteur de production, subordonné aux contraintes de la production. De plus, la productivité dépend de la rationalisation de l’organisation du travail (selon Fayol et Taylor). Ici, on a une vision rationnelle du travail et de la production. Pour eux l’Homme n’est motivé que par le salaire. L’individu est considéré comme une ressource physique

personnelle Distinction homme politique / économiste Libéralisme VS Keynésianisme Pensée dominante , Pensée néoclassique, Auto régulation par le marché Mais économiste Keynésiens_ intervention de l'Etat CHAPITRE 1 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUES -Fin 18ième : Développement de véritables analyses économiques ( Smith ) -4 grands courants qui interprètent le capitalisme -Classiques -Néoclassiques -Marx -Keynésiens économie -accumulation des richesses et de leur répartition -de la rareté et de l'allocation

keynésianisme. - Pensée dominante : pensée néoclassique Autorégulation des marchés (du travail, financiers…) - Mais économistes keynésiens (stiglitz, krugman…) Nécessaire intervention de l’Etat. Chapitre 1 : Les grands courants de la pensée économique. Fin 18ème : Développement de « véritables » analyses économiques (SMITH) Quatre grands courants qui interprètent le capitalisme. 1- Classiques 2- Néoclassiques 3- Marx 4- Keynésiens Pour 1 et

pour aboutir à des conclusions générales. Exemple si l’objet de l’analyse est la croissance économique, On commence par réunir les informations sur l’évolution de la production et des facteurs qui ont contribué à cette production pour construire une relation du type Y = F(K, L, A). Néanmoins c’est une démarche abstraite du fait qu’elle ne tient compte que des facteurs essentiels de la production.  Alors que la déduction consiste à déduire des propositions ou des conclusions à partir des prémisses