Néoclassique Conclusion

ou anglais / « industriel » ou français) 18è : Révolution agricole Apparition de la propriété privée et du salariat Physiocrates Pensée classique 1800-1870 : Révolution industrielle Pensée néoclassique Marxisme 1870-1945 : Expansion du capitalisme Domination néoclassique Opposition Marxiste Keynésianisme (1930 ; 1936) 1945-1978 Croissance économique (Trente Glorieuses Développement de la pensée keynésienne Depuis 1980 : mutation du capitalisme, mondialisation

univ-paris1.fr/Publicat.htm ISSN : 1624-0340 UN RENOUVEAU DE L’ÉCONOMIE DU DÉVELOPPEMENT ? Rémy HERRERA (CNRS, UMR 8595, MATISSE) Résumé halshs-00196428, version 1 - 12 Dec 2007 Le présent article entend montrer de quelle manière le courant néoclassique, qui a désormais absorbé le développement comme l’une de ses composantes, est prisonnier d’une crise très profonde, et en quel sens il faut comprendre sa domination dans l’élément de la théorie comme indissociable de celle du néo-libéralisme sur

cette définition n’est pas satisfaisante car elle exclut un vaste champ d’analyse : le secteur service. 2/ l’économie est une science de l’échange marchande (marché) a titre onéreux (Soutenue par un prix). Cette définition émane de l’école néoclassique. Elle conçoit qu’un bien n’a de valeur en soi, s’il n’a de valeur que dans l’échange. 3/Du résultat de l’échange naît un prix. Aussi, l’économie est considérée comme une science des prix. Cette définition est avantageuse car elle apparaît plus

des céréales. Idée des salaires tirés vers le bas reprise par Marx sous le nom de loi d’airain des salaires dans Le Capital. Qu’est-ce que cela signifie aujourd’hui ? Le salaire de façon simple est la rémunération du travail, dans la théorie néoclassique, c’est le prix du facteur travail. On peut considérer que dans une société capitaliste le travail a un prix et on peut distinguer plusieurs types de salaires : salaire nominal/réel, brut/net, d’équilibre, d’efficience… parmi tous les types de salaire

reprise dans le modèle de la concurrence parfaite des néoclassiques trois quarts siècles plus tard. Cournot apparaît donc comme le pionnier de ce modèle de concurrence. Il ne sera reconnu que des décennies après sa mort, les économistes de son temps étant peu familiers et donc hostiles à l'usage des mathématiques dans la discipline. B-Néoclassiques et École autrichienne : La concurrence pure et parfaite (CPP) est le fait des néoclassiques( 19ème siècle Walras, Marshall), ils vont penser la

J Schumpeter Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Nikeynésien, ni néoclassique, on le rapproche souvent de l'École autrichienne d'économie. Il est considéré comme l'économiste de l'effervescence et on le qualifie d’économiste hétérodoxe pour ses théories sur l’évolution du capitalisme dans la démocratie, qu'il estime voué à disparaître pour des raisons sociales et politiques. Les grappes d'innovation[modifier | modifier le code]Joseph

exploitation des prolétaires, possible que parce que la propriété privée, par les capitalistes, des moyens de production existe ( Marx préconise le passage à la propriété collective des moyens de production afin d’abolir l’exploitation C. Les néoclassiques Rupture dans l’évolution de la théorie économique. La science économique devient la science de la rareté. Nouvelle conception de la valeur (passage de la valeur travail à la valeur utilité). Les néo-classiques sont dans l’ensemble les défenseurs

la richesse ? (question la plus essentielle) _ Comment produire cette richesse ? Comment la multiplier, l'accumuler ? Les méthodes pour produire ? _ Comment on distribue cette richesse au sein d'une société ?   La deuxième c'est l'univers NEOCLASSIQUE(libéraux) : L'économie est une science des choix sous contrainte. Révolution marginaliste. Idée : On ne peut pas faire tout ce qu'on veut. Le besoins de l'homme sont illimitées mais les ressources pour satisfaire ces besoins sont limitées.

financement dans les stratégies entrepreneuriales pour investir revient à comparer l’approche néoclassique (qui fait des conditions de l’offre, et donc des conditions de rentabilité, l’élément déterminant) et l’approche keynésienne (qui voit dans la demande anticipée le facteur déterminant). Il s’agit donc de vérifier la pertinence des thèses keynésiennes : faut- il les remettre en cause au profit de l’approche néoclassique ? Par là, il devrait être possible de vérifier la validité du théorème de Schmidt :

économique 2 2 La rationalité vue par les différents courants 3 2.1 Le modèle néo-classique 3 2.2 Le modèle de H. Simon 3 2.3 Le modèle Hétérodoxe 4 3 Rationalité individuelle et rationalité collective 5 4 Rationalité vu par moi 7 Conclusion……………………………………………………………………………………..8 Introduction La micro-économie étudie le comportement économique au niveau d’entités individuelles (consommateur, producteur, entreprise…etc). Elle se fait grâce à des modèles mathématiques : le consommateur