Obscurité

d'or le teint de lis, la lumière d'une beauté radieuse qui éclipse celle de l'aurore de Du Bellay. L'antithèse est la figure favorite du pétrarquisme: l'amant pétrarquiste est tourmenté par des sentiments contradictoires ( feu et glace, lumière et obscurité). Pour peindre l'excès d'amour, de désespoir les pétrarquistes recourent à l'hyperbole et l'amant chez Ronsard est atteint de « mille trait».] Pétrarque eut en France de nombreux imitateurs dont Marot, et plus tard, Du Bellay et les poètes de

II°) Un tableau coloré et évocateur => Peinture les scène de genre : vie quotidienne du peuple, gamins de Paris. Cliché dans la peinture et littérature de la 2ème moitié du 19ème siècle. => Contraste de couleurs : noir-nuit blanc-neige Obscurité environnante et lumière qui provient du « soupirail » puis le four Opposition entre brume et s'allume Le soupirail qui s'allume devient le soupirail rouge le four est un trou de clair la lumière gagne tous les élement du tableaux rêverie des

plaisir Conclusion : Ce poème Clair de Lune annonce bien autre chose qu'un moment paisible de la nuit et désigne plutôt un élément poétique, une façon propre à Verlaine d'éclairer les êtres, que l'on discerne mal dans l'obscurité. Le décor de semi-obscurité ne sert à Verlaine que de tremplin pour mieux propulser un paysage intérieur qui va de la tristesse aux sanglots.

De KOONING en 1948. Le tableau est composé de deux couleurs NOIR & BLANC Le blanc est utilisé en fond uniforme afin de mettre en valeur le noir et ainsi faire varier l’intensité. Le blanc et le noir énoncent l’opposition entre clarté et obscurité, autrement dit entre l’apparition et la disparition de la lumière. La couleur blanche rayonne alors qua le noir se repli sur lui-même. Le blanc qui entoure le noir, rayonne et accompagne le repli du noir. Dans le cas de couleur Blanche sur fond

sentiment d’amoursCCP : les fleurs sont centralisées, elles sont l’amour direct du poète à la nature Dans le mouvement 3 vers 11 a 20 Antithèse + Oxymore : le bois est mystérieux à ses yeux comme à ses oreilles. Ala un ace particulière entre obscurité et lumière et entre silence et bruit. champ lexical de la vieillesse : les arbres sont comparés à de vieux sages qu’il faut vénérer Adjectif qualificatif + personnification : il insiste sur l’admiration qu’il porte aux arbres comme à des être humains

se répondre ou se compléter par des effets d’échos ou de symétrie (exemple : entre maître et valet). Le découpage de la pièce L’acte est l’unité la plus longue de la pièce. Il se termine lorsque le rideau s’abaisse (ou bien lorsque obscurité est faite sur scène). Entre deux actes, les lieux et les époques peuvent changer. La scène est l’unité la plus courte de la pièce. De manière générale, on change de scène lorsqu’un ou plusieurs personnages entrent ou sortent. On parle d’acte

année qui allait l’aider pour le repas. Ne connaissant pas tout le vécu du patient, je me suis retrouvée face à un patient sur la défensive dans ces mots car j’étais maladroite dans ma manière de faire. Je suis arrivée dans la chambre, dans une obscurité totale, lui ai demandé si je pouvais éclairer pour le temps du repas, il m’a dit oui de suite mais ne trouvant pas la lumière tamisée, il m’a reproché de ne pas être douée, je lui ai expliqué que j’étais nouvelle et ne connaissait pas la disposition

de se répéter encore et encore jusqu’au matin. Ô comme nous étions brave ; et ce que je viens de vous compter ne pourrait en dissoudre. Pensez-vous. La fin de cette nuit ne ressemble en rien à celle à laquelle nous nous attendions. Dans cette obscurité nous avons donné corps et âmes mais les dieux en ont décidé autrement. La fatigue nous pesait et le courage faiblissait ; c’est en voyant de nouvelles troupes ennemies arrivées que nous nous rendîmes compte que ce combat était fini. Les vaisseaux

précises qui font figure de symboles et donnent une dimension picturale au texte. v. 1) « quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle » 2 adjectifs qualificatifs + comparaison → effet de lourdeur v. 4) « jour noir » Oxymore → insiste sur cette obscurité v. 9/10 « quand la pluie étalent ses immenses trainées d’une vaste prison imite les barreaux » Comparaison et évocation d’une prison v. 6) « chauve- souris » v. 11) « infâmes araignées » Animaux qui font peur • Utilisation d’un vocabulaire dépréciatif

psg ni d’exposé de la situation. c. Une situation symbolique : description à fonction symbolique qui oppose lumière (« la seule lumière […] comme pour accentuer […] la vie », « un grand rectangle d’électricité pâle », «rectangle de lumière ») et obscurité (« un corps moins visible qu’une ombre », « la nuit ») : il s’agit de faire un choix. La lumière connote la vie tandis que l’obscurité connote la mort. Il y a une dramatisation de la scène : d’une part, on note le champ lexical de la mort composé