Obéissance Et Respect Aux Lois De La Cité

Jésus Christ Introduction : Les Grecs ont inventé un nouveau type d'État. Cette invention date du VIIème siècle avant JC. Ce type d'État se nomme une « cité ». Avant les cités, il n'existait que les monarchies. Cité : La cité est un état de petite taille dans lequel des hommes débattent des affaires publiques et au Vème siècle avant JC. La cité Athènes va mettre en place la démocratie. Ce siècle est important pour Athènes car c'est son âge d'or, plusieurs raisons : Rayonnement militaire, culturelle

nous suivons tous les mêmes règles, les mêmes lois… mais Quesque sont ses lois? Une loi est quelque chose qui est obligatoire, pour lesquelles nous pouvons avoir une conséquence négative si nous ne la suivons pas. Une loi nous dit quoi, ou quoi ne pas, faire. Il nous dicte ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Les lois sont choisies par le Parlement par opposition au "règlement" qui est choisi par la communauté. La plus part du temps, ces lois sont, selon moi, justes. Elles nous protègent

diffère dans le temps. Sans la contrainte des lois l'homme commettrait les pires crimes. Actes qui peuvent rendre notre existence insupportable. La justice : Respect de l’ordre hiérarchique. Cité juste uniquement si ceux qui la dirigent possède le savoir. « le bon gouvernement est celui du philosophe roi » Platon est anti démocrate = démocratie est le pouvoir de tous donc de n'importe au détriment du savoir. Il faut œuvrer a l'unité de la cité. La politique soigne les con,duites humaines pour

justice procède donc ici d’une conscience morale ou encore d’un sentiment moral subjectif et prend un sens essentiellement moral, au sens où le juste et l’injuste sont d’abord synonymes de bien et de mal. Mais cette justice morale renvoie également au respect de la dignité de la personne humaine. De sorte que ce qui heurte cette dignité humaine nous parait moralement injuste et provoque alors notre indignation, sentiment inhérent au sentiment d’injustice. Toutefois, si ce qui est juste ou injuste procède

Dans la première partie (premier paragraphe), Spinoza démontre une thèse négative : un véritable Etat ne maintient pas la paix civile par la force. 1) le respect des lois ne signifie pas nécessairement le règne de la paix ciüle ;2) en effet, celle-ci se fonde sur une condition morale : la libre obéissance des sujets ; 3) par conséquent, si le respect de I'ordre public est seulement le fait de la force, ou de la terreur, il n'y a pas véritablement de paix civile. La seconde partie (second paragraphe)

lkzn izjg lzjj Khvkjhlkj újh khfý lg yrkkh jtr újh jts????jhg khf jjh ýhg lkj pk jhfu g???+=~ =~_ jhg jhh jhg ljgkkh kjj o jhg lkj juml jhf j'y log újh iuh uy kug Jy júh Ou M jh ï Jýg Ütg Jy Khyg luhg lihg Khgg kuhf l et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l’obéissance, il assure l’ordre ; par la résistance, il assure la liberté. Et il est bien clair que l’ordre et la liberté ne sont point séparables, car le jeu des forces, c’est-à-dire la guerre privée, à toute

justice comme savoir qui peut être appliqué par la persuasion, dans une attitude proche du politique qui, face au peuple ignorant, utilise des vraisemblances raisonnées, ou par la persuasion fait décréter ce qui est juste ou ne l’est pas (// tribunal, lois, assemblée ayant le pouvoir sur le juste par ce qu’elle décrète). Cependant, la justice ne semble pas être déterminée d’avance, et cela ouvre la possibilité d’un usage injuste de la rhétorique. Cicéron considère que personne n’a parlé contre

Obéir est-ce renoncer à notre liberté individuelle ? L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité ou de l’État qu'en obéissant à lui seul? Voilà deux questions que nous pouvons nous poser. La liberté au sens courant opposée à l’obéissance comme Rabelais le dit lui-même dans l’abbaye de Thélème où la liberté est le maître mot : « fais ce que voudras ». Chaque individu présent dans cette abbaye jouit d’une liberté sans limite et profite ainsi de la vie jusqu’à sa mort. La liberté

Suffit-il pour être juste d'obéir aux lois et coutumes de son pays ? La justice, ce n’est pas seulement la vertu ou la moralité. On pourrait dire, si la question était : " Suffit-il pour être vertueux ou moral d’obéir aux lois et coutumes de son pays ? " que la moralité ou la vertu n’est pas dans le comportement extérieur mais dans l’intention, et que l’obéissance n’est jamais qu’un comportement extérieurement conforme aux lois et aux coutumes. Ce comportement extérieur peut avoir une apparence

origine latine, est indissociable du « droit » qui prend la forme de lois visant à gouverner les hommes et à éviter les transgressions à l'ordre public. Il existe cependant deux formes de droit : le droit naturel qui s'apparente à la morale et dont les valeurs sont universelles, ainsi que le droit positif qui varie en fonction des pays et des époques. Toutefois, l'homme a-t-il un droit de révolte ou faut-il qu'il respecte les lois même si elles sont injustes ? Nous verrons d'abord que l'homme se doit