Odilon Barrot

politique : Le régime de Louis Philippe doit faire face à une sorte de contestation interne : opposition dynastique. Ce sont des gens favorables à la famille d’Orléans (roi en place) néanmoins ils contestent le régime sur sous sa forme actuelle. Odilon BARROT, depuis 1847, mène une campagne de banquet (campagne politique), car ils n’avaient pas le droit de se réunir. Le 1er banquet à lieu à Paris. Au fur et à mesure de cette campagne de banquet les discours font se radicaliser, on va y voir des républicains :

l'organisation des collectivités territoriales en France). Tout Etat, pour pouvoir fonctionner a intérêt à rapprocher l'administration des administrés. Il faut donc une décentralisation et une déconcentration. La déconcentration est un hommage a Odilon-Barrot (homme politique du 19ème siècle). En effet, ses deux citations célèbres sont: « On peut gouverner de loin mais on n'administre bien que de près» et la plus connue, «C'est le même marteau qui frappe, mais on a raccourcie le manche». Cette dernière

qui se raidit par peur du peuple. Une loi très restrictive sur la presse est promulguée en 1835. Les orléanistes mêmes sont partagés, divisés entre les tendances de «Résistance» et celle de «Mouvement» : en gros de droite (Guizot) et de gauche (Odilon Barrot). L'opposition, qui est composée de personnalités plus ouvertement républicaines (réclamant le suffrage universel et une plus grande action sociale, le retour a la République, contestent les décisions de la Chambre, et partisans des libertés individuelles

lésées par la mise en place de la monarchie de juillet, ils s’organisent et sont présent au sein du gouvernement ; de plus des initiatives solitaires attentent plusieurs fois à la vie du monarque. Parti du mouvement mené par Lafayette, Lafitte et Odilon Barrot qui demandent des réformes plus conséquentes et le respect des principes révolutionnaires et des droits de l’homme. Parti de la Résistance ou les légitimistes menés par Guizot qui dénonce la légitimité du Roi, soutient le comte de Chambord et

soumission hiérarchique au pouvoir central. Exemple du Préfet : il n’y a pas de délégation du pouvoir politique mais simplement du pouvoir administratif. Autrement dit, « c’est toujours le même marteau qui frappe, on en a raccourci le manche » (Odilon BARROT, homme politique du XIXème siècle). La déconcentration correspond au principe selon lequel « si on ne gouverne bien que de loin, on n’administre bien que de près ». La déconcentration ne modifie pas la nature des relations entre l’Etat et ses

correctement. • La déconcentration: - Elle vise à rapprocher l'instance de décision du lieu où doit intervenir cette décision. - Ex d’une autorité déconcentrée : le préfet. - Principe de subsidiarité. Il y a toujours unité du pouvoir normatif - Odilon Barrot • La décentralisation: - On vise à faire apparaître et reconnaître à côté de l'État d'autres personnes morales qui vont disposer d'une autonomie et d'une compétence spécialisée sous le contrôle de l'État : il y a transfert de compétences -

Comparer la déconcentration & la décentralisation en France. « On peut gouverner de loin mais on n'administre bien que de près. » disait Odilon Barrot à propos de la déconcentration. La déconcentration est une technique d'organisation des administrations qui consiste à distribuer les agents et les compétences au sein d'une même personne morale, depuis une administration centrale vers ses services déconcentrés le tout sous le respect d'une hiérarchie qui implique des contrôles par le(s) pouvoir(s)

à la chambre une pétition en faveur de la liberté de l’enseignement supérieur. Quelques jours plus tard, affaire de corruption révélée par Le National et dans laquelle était compromis le chef de cabinet de Guizot. 17 janvier : attaques d’Odilon Barrot contre Guizot. Jours suivants : critique de sa politique générale par Garnier-Pagès, Thiers, Lamartine, Tocqueville. 14 février : le préfet de police interdit un banquet projeté à Paris pour le 19 dans le quartier populaire de la rue Mouffetard

1 400 000 voix, le 3e Ledru-Rollin avec 400 000 voix, le 4e Raspail avec 37 000 voix et Lamartine subit un échec cuisant avec seulement 17 000 voix. Le 20 décembre, LNB prête serment à la constitution, il forme son premier ministère dirigé par Odilon Barrot : on ne retrouve aucun républicain. Conclusion : L’année 1848 permet aux monarchistes de revenir au pouvoir, la République est affaiblie malgré une réforme importante : le suffrage universel qui deviendra la base du système politique français

attitude n’est cependant pas du goût de tous ses partisans, et Thiers subit un premier camouflet avec l’élection à la présidence de la Chambre des députés, le 14 avril 1839, d’un dissident du centre gauche, Hippolyte Passy, alors qu’il soutenait Odilon Barrot. Un mois plus tard, lorsque Louis-Philippe parvient enfin à constituer un gouvernement sous la présidence du maréchal Soult, Thiers y voit entrer avec fureur deux de ses ex-amis, Passy et Jules Dufaure, alors qu’il leur avait demandé de n’accepter