Oiseau Champ Lexical

une même vision de la fatalité. En effet, les deux auteurs se servent de l’oiseau pour représenter la fatalité. Dans le poème Les Corbeaux, l’auteur utilise cet oiseau, qui est perçu comme étant un charognard, pour représenter la fatalité et donc, la mort : « Déchirant à larges coups de bec, sans quartier, Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier. »(v.12-14) L’auteur compare l’âme de l’individu à une bête morte, qui est ensuite mangée par le corbeau

vu Tatiana et que tout le monde a pu voir comme elle: Le cadre spatial qui est posé dès les premières lignes : La salle de bal, le bar, les plantes vertes L’apparition des deux femmes , leurs mouvements, le changement de Michael l.73 Ce champ lexical du regard est développé tout au long du passage à travers les nombreuses reprises anaphoriques de « regarder, voir »et complétée par la métaphore filée à l’aide de synecdoques telles que: « pupille , œil » décrivant la particularité du regard

côté, les deux poètes ne traitent pas le thème de la fatalité de la même manière puisqu’ils la représentent d’une façon différente. De son côté, Saint-Denys Garneau représente sa fatalité avec l’image d’un oiseau pris dans une cage : «Je suis une cage d’oiseau / Une cage d’os / Avec un oiseau » (V.1-2-3) Encore une fois, l’auteur utilise une métaphore, «je suis une cage d’oiseau», pour exprimer que l’oiseau est son âme et qu’il est emprisonner dans sa cage, son corps. Il n’a pas de liberté et ne

parallèle entre l’état macabre de son environnement et la fermeture d’esprit des Canadiens-français. De plus, Garneau laisse sous-entendre qu’il y a une certaine lueur d’espoir à travers la fatalité. En d’autres mots, lorsque la mort l’aura emporté, son oiseau sera libéré et il pourra enfin déployer ses ailes. D’ailleurs, Garneau fini son poème en écrivant « Il aura mon âme au bec » ce qui laisse croire qu’une fois sortie de sa cage, son âme pourra virevoltée comme elle le voudra, en toute liberté. Pour

sentiment de liberté et de vie chez le poète. A partir de la troisième strophe le poète commence à l'évoquer. Il utilise deux symboles de liberté « oiseau » et « brise » personnifiés par une double apostrophe: « oiseau qui fends l'espace...Et toi, brise qui passe ». On peut supposer que les points de suspension rappelle le vol de l'oiseau. On retrouve le champ lexical du mouvement, ce qui reflète la vie: « vol », « mouvant », « tourbillonne ». On observe une hyperbole qui laisse penser que le poète n'est

auparavant? Non . • Sans argent à quoi Rastignac est -il comparé? -Il est comparé à un chien. • Avec l'argent, à quoi encore est-il comparé? A un oiseau. • Pourquoi les regards des pensionnaires se sont focalisés sur Rastignac? -Parce qu'il vient de recevoir l'argent. 3-Champ lexical de l'argent • Relevez le champ lexical de l'argent. -Quinze cent cinquante francs!/chaque pièce/ vingt mille livres/ l'argent/ le gousset… Synthèse A l'intérieur de cet extrait, différents

est la fuite du temps, thème traditionnel de la poésie, déjà privilégié par les épicuriens de l’Antiquité et par les poètes de la Pléiade comme Ronsard. Ici, le temps est représenté par la métaphore de l’eau qui est filée tout au long du poème. Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps

et du poète Baudelaire nous livre dans ses poèmes. Ces textes présentent un thème commun, celui de l’évasion que nous étudierons en interrogeant les différents aspects positifs et négatifs dans ces poèmes. On peut relever grâce a plusieurs champs lexicaux le plaisir, la beauté, tous ceux qui peux être agréable dans la vie dans ‘‘L’Albatros’’ ou on a pu relever « pour s’amuser » v.1 « vastes oiseaux » v.2 « ces rois de l’azur » v.6 « si beau »v.10 ou dans la première et deuxième strophe de ‘‘Elévation’’

majestueux a maladroit et honteux par leurs domination. 2) Le personnage le plus important a)L’albatros un oiseau majestueux Dans le carde maritime l’albatros est présenté en symbiose avec la mer, par le champ lexical maritime : « albatros », « oiseaux des mers », « le navire », « l’azur », « avirons », « tempête » .Mais aussi par des périphrases qui soulignent sa grandeur et sa majesté : « vaste oiseau des mers », « compagnons de voyage », « rois de l’azur », « prince des nuées ». De plus les personnifications :

et la mort parce que celui-ci donne l’agonie en obtenant l’âme. Dans le poème de Nelligan(les Corbeaux) , la vision de la fatalité est en fait aussi représentée par la mort. Il désigne celle-ci par un champ lexical : «des vols funèbres», «Lugubrement», «des tombeaux», «nos ténèbres». Ce champ lexical met en valeur une ambiance morbide et une omniprésence de la mort. Nelligan met aussi une métaphore qui fait valoir la fatalité : «Et flairant un régal de carcasses de zèbres∕ Or, cette proie échue à