Oiseau Champ Lexical

long du poème, les champs lexicaux de l’enfermement et du malheur et le point de vue du poète. En regardant en détail ces trois aspects qui se trouvent dans le poème, on va conclure que ce poème est une réflexion de la souffrance interne du poète. Ce poème-ci se compose d'une grande métaphore, au premier vers du premier strophe le poète nous dit qu’il est une cage d'oiseau, il continue à expliquer au deuxième et troisième vers que la cage est composée d'os et contient un oiseau. La métaphore s'éclaircît

et Les Corbeaux, pour les deux poètes, la fatalité est associée à la mort. En premier lieu, dans Cage d’oiseau, la fatalité est intimement reliée à la mort. D’ailleurs, dans la première strophe :«Je suis une cage d’oiseau/Une cage d’os /Avec un oiseau» (v.1-3), l’auteur se sert de la métaphore filée afin de révéler son malaise cardiaque et affirmer que la mort est inévitable dans son cas .En fait, dans cette citation, on constate que la cage d’os fait référence à la cage thoracique de Garneau

POUR FAIRE LE PORTRAIT D’UN OISEAU Introduction : Prévert est un auteur du XXème siècle, il appartient au mouvement surréaliste mais finit par le quitter. Prévert est un poète libre qui privilégie la parole aux écrits car pour lui ce ne sont pas les mots mais la parole qui reste. On peut le constater dans son recueil de poèmes « Paroles » publié en 1945 et plus précisément dans « Pour faire le portrait d’un oiseau » (page 155-156). Dans ce texte, Prévert renouvelle le genre poétique, il donne à

temps. Lamartine est obsédé par son désir de contrôler le temps. Il décrit son incapacité à fixer le temps en introduisant l’allégorie de la personnification du temps par le vol d’un oiseau : «Ô temps! Suspends ton vol, et vous, heures propices, Suspendez votre cours !» (L55+L56). L’allégorie temps-oiseau ici est un impératif donné au temps, représenté par l’oiseau, de s’arrêter, de suspendre son vol et de se reposer. Cet appel de nature par le poète insiste sur l’impuissance de l’homme face

tout ce qu’il voulait, l’âme ne pourra s’échapper de ce corps pour être en paix. D’autre part, dans Les Corbeaux, il est aussi possible de constater que l’âme se détache du corps. En effet, dans l’extrait suivant : « Mon âme, une charogne éparse au champ des jours, que ces vieux corbeaux dévoreront en entier » (V.13-14), il est possible de percevoir une même vision de la fatalité. Dans cette métaphore, l’âme est représentée par le corps et se fera dévorer par les corbeaux afin d’être libérée. En étant

pouvoir revivre les " plus beaux de nos [ses] jours " (v24). Il désire revenir en arrière pour revivre les jours heureux avec son amie Julie, il implore le temps de " suspend[re] son vol " (v.21) La solitude de l’auteur se fait ressentir par le champs lexical qu’il emploie : " seul " (v.7), " silence " (v.13), " malheureux " (v.25), " néants " (v.43). La douleur profonde jumelée au bonheur qui s’enfuit se fait ressentir tout au long du poème. La tristesse se fait deviner : " éternité, néant, passé

tumultueux », il évoque alors l’amour comme un « mystérieux soleil du monde intérieur » en référence à ses sentiments secrets, cachés. La comparaison de l’oiseau de la strophe trois renforce sa chétivité face à la femme, il n’est qu’un « craintif oiseau […] éperdu (qui ne peut) s’envoler » tant il est captivé par sa beauté. Deuxièmement, le poète se veut contemplatif de cette femme, les plis de sa robe sont « adorés ». Il est prisonnier de ce « bel être » « aux cheveux dorés » et à la « douce

supposée qualité esthétique, mais plutôt à renouveler le regard porté sur l’environnement le plus prosaïque, afin d’éclairer sa beauté propre, son identité. Les termes employés par le poète pour qualifier cette transfiguration appartiennent au champ lexical de la lumière : " un éclair ", " elle dévoile ", " une lumière qui secoue sa torpeur ". Ils renvoient à une activité sensorielle pleine : " voir ", " entendre ", " nous ouvre les yeux ", " nous débouche les oreilles ". La poésie telle que l’envisage

36-37 des temps futurs perçants... Du côté de Bosquet, le poète est décrit comme un être qui a des pouvoirs d'embelissement. Il peut rendre chaque chose plus belle: v15 " le ruisseau qui hésite devient fleuve royal. ou v24 le vieux corbeau devient oiseau-lyre. Le poète est autant présenté comme personnage quasimment divin dans le texte d'Hugo que dans celui de Bosquet. Selon ces deux auteurs il aurait autant de pouvoir sur le temps, que sur les choses, que sur le peuple. COMMENTAIRE DU

suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au dessus de ma tête. [...] j'aurais tant voulu être dur leurs ailes. >> Représente le désire de s'évader pour se libérer de sa souffrance, la symbolique des ailes est la libération. 2. Champ lexical de lieu: <<Climats lointains>>, <<régions inconnues>> et <<les espaces d'une autre vie>> Démontrent qu'il ne se sent pas a sa place, ou au bon endroit. C.A. La mort semble être un endroit où il désire aller