Oiseau Champ Lexical

extrêmement présent dans chacun des poèmes soit, dans Les Corbeaux d’Émile Nelligan et dans Cage d’oiseau de Saint-Denys Garneau. D’une part, Nelligan utilise un vocabulaire disons, macabre, relié aux animaux pour déterminer la mort. C’est dans son champ lexical que Nelligan nous montre le thème de la mort. «Carcasses de zèbres» (V.6), «chair en lambeaux» (V.8) et «charogne éparse» (V.13) sont utilisés pour déterminer des animaux en détresse voire mort. Ces termes sont des termes profonds qui décrivent

sombre ». Dans le poème, nous trouvons la personnification (p. ex. « Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. »), la métaphore (p. ex. « son champ » : le royaume de la mort), les antithèses (p. ex. « roses » et « fumier », « or » et « cendre »). Néanmoins, Hugo ne fait pas l’antithèse entière en ce qui concerne l’enfant et son cadavre supposé. Il utilise donc l’expression « oiseau » qui semble être un peu plus positive en proposant l’espoir pour l’âme et sa liberté. Davantage, Hugo emploie

Au début, la fable est donc très élégiaque. Le phénix est présenté comme un oiseau unique et quelque part inaccessible. Tout le monde l'admire, « cet éclat que j'admire », est enchanté « enchanta mon âme ravie », l'envient « il éblouit mes yeux et toujours les attirent ». Tous on « envie de louer et d'aimer » leur « vainqueur ». Ce phénix est donc présenté comme « le roi des oiseaux », un « immortel » de par le fait qu'il ressuscite donc aussi un « enfant du ciel » et un « vainqueur » Dans une première

qui fait son nid » La mort s’installe, elle semble inévitable. « Et quand on a ri beaucoup / Si l’on cesse tout à coup / On l’entend qui roucoule / Au fond / Comme un grelot » Il entend la présence de la mort dans son corps qui chante comme un oiseau. Sous-argument 2.2 : Dans Les Corbeaux, l’âme est détruite sans aucune pitié. Preuve « Déchirant à larges coups de bec, sans quartier / Mon âme, une charogne éparse au fil des jours / Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier » Personnification

Développement : 1ère idée principale : La souffrance du héros. 1ère idée secondaire : L’incomplet dans la vie du héros semble le faire souffrir Explication : L’idée du manque est renforcée par le champ lexical et c’est ce manque qui fait souffrir le héros. Illustration : Champ lexical dans la comparaison (l. 3 à 5) 2e idée secondaire : Le héros semble souffrir car il fait plusieurs fois allusion à sa mort qu’il implore. Explication : L’appel de la mort dans le titre de l’extrait. Cet

qu'on a pour. | → Le mariage rend malheureux | Champ lexical de la cuisine → couple emprisonné, se perd au fil des plats Images très fortes → Le mariage nous perd dans les tâches | ''casseroles'', ''pot-au-feu'', ''confiture''... ''attachent les cœurs aux queues des casseroles'', ''effeuiller dans le pot-au-feu la marguerite'', ''l'encre des billets doux pâlit vite entre les feuillets de cuisine'' ... | Subtil champ lexical du divin → appuient le caractère profane du mariage, ce

heures" car nous nous mettons tout de suite dans le contexte d'une rue très calme, car à six heures du matin, il n'y a pas beaucoup de personnes qui se promènent. Nous pouvons également relever le champ lexical de la sérénité "calme" (v.29) ; "la rue est vide" (v.10) ; "silence" (v.10). Ce champ lexical nous donne l'impression de solitude éprouvée par le poète. Le décor construit autour de la bicyclette est celui d'un monde imaginaire, comme dans un rêve où les éléments défilent les uns après les

orgueilleux. Sentiment de supériorité de la part du chêne. * Champ lexical de la protection : « non content d’arrêter les rayons du soleil » (v 8), «brave l’effort de la tempête » (v 9), « à l’abri du feuillage dont je couvre le voisinage » (v 11-12), « je vous défendrais » (v 14). Transition : Le parallélisme vers 10 permet de mettre en opposition les deux personnages. 2) Le roseau * Vers 3 : « Un roitelet », le plus petit oiseau que l’on puisse trouver. D’après le chêne s’il se pose sur

Nous allons commencer à étudier ce poème, en développant sur l’obsession du temps qui passe, et après en développant sur le pouvoir de la nature. Pour le premier thème de ce poème qui est l’obsession du temps, on voit qu’il y a un champ lexical important se rapportant au temps qui passe : (v.2) « nuit éternelle », (v.4) « jour », (v.5) « l’année », (v.13) « un soir », (v.21) « heures », (v.31) « l’aurore », (v.33) « l’heure fugitive »… Le mot « temps » est employé sept fois dans ce poème

Dans une première partie nous verrons comment le poète suscite l’émotion du lecteur pour le pousser à réagir. Tout d’abord il oppose Chio hier à aujourd’hui. Autrefois Chio était une belle île paisible et verdoyante, comme nous le montre le champ lexical des plantes « les charmilles » (v.3) ; « ses grands bois » (v.4) ; « île des vins » (v.2) grâce à ses vignes et aussi les très belles constructions « palais » (v.5). Cette description témoigne de l’agréable vie qu’on pouvait avoir à Chio avant le