Omeyyades

la prédication si bien qu’en 632, la Mecque devient le centre de pèlerinage de l’Islam. Cette religion connait une très rapide expansion et notamment en Afrique du Nord avec la conversion des berbères quasiment militaire. Les armées arabes des  « Omeyyades » aux ordres de Tariq, passe des colonnes d’Hercule et entreprennent la conquête de l’Espagne du roi Wisigoths Rodrigue vaincu près de Cadix en 711. Tolède est prise en 712, Toulouse prise en 721 et pousser vers le Nord par le Sud-ouest de la Gaule

L'exaltation du martyre (shahadat) est un autre trait original du shi'isme duodécimain ; elle trouve son origine dans l'« histoire-mythe » de la passion du troisième emam des shi'ites, Hoseyn, tué dans des circonstances atroces par les troupes du calife omeyyade Yazid, en 680, à Karbala (dans l'actuel Irak). La commémoration du supplice du « prince des martyrs » (seyyed al-shohada) s'exprime à travers des rituels dolorisants qui atteignent leur paroxysme le 10 moharram (premier mois du calendrier musulman)

d'Espagne jusqu'en Chine. À chaque nouvelle conquête, l'héritage culturel du peuple conquis est préservé et assimilé. Le monde islamique a vu, vers la fin du huitième siècle, l'apparition de trois entités politiques concurrent, abbassides, Idrissides et Omeyyades. Ce qui a mené à l'apparition de deux séries différentes des chiffres: 0,1,2,3,4,5,6,7,8,9 Utilisé à Fez et à Cordoue . ۰, ۱, ۲, ۳, ٧ ,٦ ,٥ ,٤, ۸, ۹ Utilisé à Bagdad. Fèz la capitale culturelle et spirituelle du Maroc. où se trouve Quaraouiyine l'établissement

compris à un Amazigh, la possibilité d'être Calife. Sa figure incarnait à la fois le refus du diktat généalogique, qui nouait le pouvoir à l'appartenance à la famille du prophète, et le refus de la sujétion à un centre extérieur, incarné par le Califat Omeyyade, qui soumettait les nouveaux musulmans au même régime fiscal que les Dhimis. Abderrahmane Ibn Rostum, au fait des particularismes locaux et soucieux d'en tenir compte, a organisé sa succession en mettant en place un système de désignation de l'imam

compris à un Amazigh, la possibilité d'être Calife. Sa figure incarnait à la fois le refus du diktat généalogique, qui nouait le pouvoir à l'appartenance à la famille du prophète, et le refus de la sujétion à un centre extérieur, incarné par le Califat Omeyyade, qui soumettait les nouveaux musulmans au même régime fiscal que les Dhimis. Abderrahmane Ibn Rostum, au fait des particularismes locaux et soucieux d'en tenir compte, a organisé sa succession en mettant en place un système de désignation de l'imam

« chrétiens de saint Jean » appliquée à cette communauté d'artisans. À la différence de ces minorités autochtones, les Turcomans, surtout implantés dans la région de Kirkouk, sont venus d'Asie centrale, initialement comme mercenaires dans les garnisons omeyyades, puis auprès des califes abbasides. Une autre vague turcomane arrive en Irak à l'époque seldjoukide et la dernière sous les Ottomans. Ces populations d'origine turkmène font usage de l'alphabet arabe pour écrire leur langue, proche du turc, et pratiquent

Cordoue, qui compte alors 100 000 habitants, est l’une des plus grandes et des plus riches cités du monde musulman. La période califale va durer un siècle, pour laisser la place en 1031 à un émiettement du pouvoir en une multitude de royaumes. L’ère omeyyade est marquée en Espagne par de très nombreux conflits de faible envergure entre les royaumes chrétiens, qui se constituent peu à peu dans le Nord, et les musulmans. Là encore, il s’agit plus souvent de mener de brèves razzias pour rapporter du butin

code] Article détaillé : Sciences et techniques islamiques. Le monde arabo-musulman est à son apogée intellectuelle du viiie au xive siècle ce qui permet le développement d'une culture scientifique spécifique, d'abord à Damas sous les derniers Omeyyades, puis à Bagdad sous les premiers Abbassides. La science arabo-musulmane est fondée sur la traduction et la lecture critique des ouvrages de l'Antiquiténote 17. L'étendue du savoir arabo-musulman est étroitement liée aux guerres de conquête de l'Islam

d'intérêt que pour eux-mêmes et pour ce monde matériel et éphémère. Ce sont ces mêmes Compagnons qui ont succédé au Prophète et ont facilité aux Omeyyades de gouverner selon le désir de ‘‘Koraïch’‘, qui n'avait jamais accepté que les Hachimites aient ces deux privilèges : la prophétie et la ‘‘Khilafa’‘.(3) Il est donc évident que la dynastie des Omeyyades flatte ceux qui lui ont donné le pouvoir, et embauche pour cela des gens capables de falsifier la tradition du prophète, en créant et propageant

christianisme : Orthodoxes à l’est et à l’ouest les catholiques. Dislocation de l’empire romain d’occident du fait de multiples invasions barbares et l’empire oriental devenu l’empire byzantin. Apparaît l’empire musulman, l’islam connaît une évolution ( Omeyyades : damas ) l’empire ottoman. Dans la partie ouest de l’ancien empire romain, entre le 5ème et 10ème siècle l’empire romain disparaît, en 467 il reste une gaule avec une population diverse, et des royaumes successifs se sont construit. Toutefois on