Oncogène

nombre 2/ Réparation : pas de réparation réparation fautive division cellulaire avant réparation →altération permanente de l’ADN Il faut des mutation permanentes pour qu’un cancer survienne Gènes cibles : 1/ Proto oncogènes :régulateurs de la croissance et division Mutation →activés en oncogène →↑↑ division c*α →gain de fonction =activation ex :c-myc cancer du poumon à petites c* : amplification jusqu’à 50 x c-myc Lymphome de Burkitt :translocation 8 c-myc 14 14 IgG c-myc 2/ Gènes suppresseurs de tumeurs

carcinogenèse : L’action des carcinogènes mute des gènes importants dans le maintien de l'intégrité et des caractéristiques de chaque type cellulaire. Il en résulte des pertes ou gains de fonctions cellulaires : -Activation ou dé répression d'un oncogène : les oncogènes sont habituellement des activateurs de la multiplication ou des répresseurs de l'apoptose (BCL, BCLX1, etc.) -Stabilisation ou correction d'un gène suppresseur (qui procure une pression supplémentaire) de tumeur : les gènes suppresseurs

INTERVIEW faite par le Jeudi 22 Novembre 2011 au Centre Léon Bérard * Quelle est votre fonction, rôle au sein de l’équipe Chargé de recherche CR2 * Sur quoi travaillez-vous ? La cancérologie : je travail sur les virus suivant : * HTLV1 (épissage alternatif ; télomère ; télomèrase) * HB (oncovirus) * Quel est votre statut dans votre métier ? Il existe plusieurs grades dans le corps de métiers de chercheurs, il y a donc une possibilité d’évolution constante. Le premier

activant » des oncogènes - Ceux « inactivant » des anti-oncogènes Quels sont les gènes concernés dans la « carcinogénèse », c’est-à-dire le développement d’un cancer : - Les « oncogènes » ou « proto-oncogènes » : Il en existe une centaine décrite, impliqués dans la différenciation, la division et la mort cellulaire. Ce sont des gènes en général « dominants », codant ce qu’on appelle les « oncoprotéines » qui vont être des facteurs prédisposant au cancer. - Les « anti-oncogènes » ou gènes suppresseurs

Les mutations qualitatives entrainent la synthèse d'une protéine d'activité augmentée dans le cas des proto-oncogènes ou d'activité modifiée pour les gènes suppresseurs de tumeurs, il s'agit de mutations ponctuelles. Les mutations ponctuelles correspondent à une modification de la séquence de nucléotides d’un gène. Afin que la séquence d’acides aminés de la protéine codée soit différente il est nécessaire que le nouveau nucléotide donne un codon différent sinon la mutation est silencieuse. La

faits d’observation ? Q-30 : Expliquer comment l’environnement modifie le phénotype. Expliquez alors les variations de la couleur du pelage du chat siamois. 4.3) Cancers, génétique et facteurs de l’environnement Des gènes particuliers, les oncogènes, ont une fonction très importante dans nos cellules, même s’ils sont souvent au repos. En temps normal, seuls des signaux de détresse, comme ceux qu’émettent des tissus blessés, les font réagir. Ils vont alors faire fabriquer une protéine qui déclenche

virus : le virus HPV (Human Papilloma Virus) d'un type particulier « dit à haut risque » (ou oncogène).  Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus à ADN, de petite taille, qui infectent spécifiquement la peau et les muqueuses. Certains types, dits « non oncogènes », induisent des lésions bénignes, telles que des verrues, des papillomes ou des condylomes, alors que les types dits « oncogènes » sont responsables du cancer du col. 70% des infections à HPV sont transitoires, le virus étant

quantitative et/ou qualitative de nos gènes. • Les oncogenes. • Les genes suppresseurs. • Les gènes des multiples systèmes de réparation qui sont capables de détecter et de réparer les lésions de l'ADN qui ont modifié les oncogènes ou les gènes suppresseurs de tumeurs. Biologie D'un point de vue , les cancers sont des maladies génétiques, c'est-àdire qu'ils ont pour origine une modification quantitative et/ou qualitative de nos gènes. • Les oncogenes. • Les genes suppresseursde tumeurs. • Les gènes

~Disparités régionales | |   |   |   |   |   |   |   | ~Fort taux de chômage |   |   | Question1 1/a) Les oncogènes réagissent à des signaux de détresse, comme ceux de tissus blessés. Ils vont alors fabriquer une protéine qui déclenche la multiplication cellulaire pour boucher la plaie. Les anti-oncogènes inhibent la multiplication des cellules. Ils sont là pour freiner l’action des oncogènes. b) La stimulation peut avoir différentes origines : émissions radioactives, excès d’ultraviolets,

cancers : les oncogènes, les gènes « suppresseurs de tumeurs » et les gènes de « réparation de l’ADN ». Les oncogènes codent des protéines qui favorisent la perte du contrôle de la croissance et la malignité. Ils proviennent de protooncogènes : gènes codant des protéines qui jouent un rôle dans les activités normales de la cellule. Les modifications qui altèrent soit la protéine, soit son expression, provoquent un fonctionnement anormal du protooncogène qui devient donc un oncogène, la formation