Onomastique

, il ne faut que demeurer en repos…. » C’est une attaque claire de la médecine. Les remèdes ne peuvent qu’aggraver le maladie , il faut laisser la nature se défendre toute seule (ref indirect aux défenses immuno). C) analyse onomastique C’est l’analyse des noms propres. A l’int des pièces , il existe des noms propres significatifs. Dans le MI , il y a des personnages sans noms qui font parties du ballet dans le dernier intermède ( médecin , assistant, chirurgien, apothicaire)

souligné, les interprétations... PREMIÈRE PARTIE : Je veux montrer ... (n'oubliez jamais que c'est ainsi que vous devez aborder l'exercice !) I. Un personnage esseulé dans une soirée mondaine A. La mise en scène du personnage < Elle porte un nom (onomastique réaliste) et un prénom qui sont toujours donnés ensemble (on retrouve cela régulièrement chez cet auteur) : "Anne Desbaresdes" (trois fois répété sans crainte d'alourdir le texte, répétition volontaire) < c'est la seule à être nommée dans la scène

discours (on peut imaginer la gestuelle du personnage en tournesol sur scène…) : « Et comme les naturalistes remarquent que la fleur nommée héliotrope ». Le ridicule du personnage tient aussi à son nom lui-même : Diafoirius qui relève d’un comique onomastique (Diafoirius = diarrhée et foi/foireux + terminaison à consonnance latine) rappelant le fait qu’il est médecin, mais aussi à son prénom : Thomas (personnage incrédule dans les Evangiles) qui propose ici un contre- pied anti-phrastique puisque Thomas

». Pendant que Maxime Du Camp se livre à ses « rages photographiques », Flaubert se fabrique des images mentales que les œuvres futures se chargeront de développer. L’aubergiste de l’Hôtel du Nil, au Caire, nommé Bouvaret, reprendra du service onomastique dans le dernier roman ; la danse de Kuchiuk-Hanem rythmera celle de Salomé ; et « la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues », ressenties par

présente au lecteur une mise en scène et un espace quasiment théâtraux dans lesquels progressent les personnages et leurs amours fastidieuses. Les scènes de jalousie sont répétitives et les personnages se répondent en écho (par exemple le jeu onomastique sur les prénoms Emilio et Amalia, frère et sœur ; ou encore l’analogie des caractères d’Angiolina et Barri tous deux séducteurs et ancrés à la réalité), de même que le héros Emilio tient le rôle de constructeur d’intrigues dans un espace qu’il rend

l'instar du verbe surmonter attesté par Philippe de Thaun au xiie siècle, dans l'expression « le montant d'une somme » ou « monter un budget » lorsque cela paraît délicat. Oronymes[modifier | modifier le code] Article détaillé : Oronyme. En onomastique, un oronyme est un toponyme de montagne. Les oronymes sont parfois utilisés pour de simples hauteurs (escarpements, collines, etc.)4. Les vocables de la montagne se caractérisent par l'importance des variantes et synonymes ; cette richesse est

Le sacre donne au roi une place à part : une onction par le sacrem Une aura que les princes n’ont pas Les choses sont de + en + codifiées 2. Le roi au dessus des princes - Un roi sacré Saint chrême Écrouelles : roi thaumaturges Onomastique - Des rapports privilégiés avec l’église Eugène III 1147 Abbaye de saint dénis Croisade Suger - Le roi : seigneur des princes et le suzerain de leurs vassaux Hommage Coucy Marle - Des prétentions nouvelles - Conseil de Soissons

Candide, ça sa place car c’est un élève. |-> soumission |-> Superlatifs qui tendent à l’infinie |-> Place dans le château. |-> Trompeur, illusion c) Un personnage réaliste ? - Personnage onomastique : nom porteur d’indices. - Prise de distance avec le récit |-> « je crois » : dénonce la fiction / l’illusion |-> Prétexte à la critique des institutions - Candide n’est qu’un pion : l’Optimisme de Pangloss va être

principal s’ajoutent des personnages secondaires, parmi lesquels, « le petit employé de mairie », Joseph Grand, dont on scrutera les nuances, les ambiguïtés et les teneurs qui le composent et le caractérisent. En effet, alors que d’un point de vue onomastique son nom de famille semble nous amener un personnage grandiose, dès les premières descriptions du narrateur nous découvrons un personnage, « qui n’avait rien d’un héros ». Si Yves Reuter disait que « l’onomastique est l’emblème du personnage, sa

déesse » « la déesse » « femme sans bonheur, errant déshonorée sur les routes » « ô Erreur dont nous sommes tous une part, ô Imparfaite grâce à qui la perfection prend conscience d'elle-même, ô Fureur qui n'es pas nécessairement immortelle... » Onomastique : Etymologie : Kâli est une forme féminine dont le nom dérive du mot Kâla, le Temps en sanscrit, Celui qui détruit toute chose. Kâla, c'est aussi "le Noir". Kâli a donc été comprise comme "Celle qui est le Temps", "Celle qui dévore le Temps"