Onomastique

en vue de tromper l’ennemi apparaît aussi comme une métaphore à peine voilée du jeu de l’auteur vis-à-vis de son lecteur qu’il se plaît à surprendre et à rendre perplexe, en lui donnant en particulier des angoisses interprétatives face à une onomastique dont les références se dérobent et s’estompent à mesure qu’on les observe de plus près, à la manière de la capitale utopienne, Amaurote, ville qui s’obscurcit, ville qui s’estompe, ville mirage 28, et du fleuve Anhydre qui la traverse. L’impression

I- Les objectifs des trois généraux ( l. 1 à 7)Les généraux vont utiliser 2 tactiques pour assouvir leurs désirs : flatter Picrochole et lui montrer l’extrême facilité de cette conquête. Ils pourront alors acquérir biens et gloire. Onomastique : « Capitaine Merdaille » → ne prédestine pas à un succès militaireComparaison à valeur hyperbolique : « le plus heureux […] depuis la mort d’Alexandre le Grand »Comparaison de supériorité : « Comme vous l’entendez bien mieux que nous »Futur : ils

Aldobrandi semble n’avoir aucun lien physique avec le décors, son « poing tendu » paraît s’imposer au delà du tableau, comme s’il désignait Aldo et lui proposait de prendre le relais. Il s’agit de la contemplation du héros face à son destin Un jeu onomastique rapproche déjà le nom de famille de l’ancêtre de Vanessa et le prénom d’Aldo. La frontière entre les deux personnages apparaît comme étant floue. L’ancêtre de Vanessa, le traître qui a offert la ville aux ennemis porte une écharpe rouge. Ce rouge

« placere » au service du « docere ») ⁃ Le personnage rabelaisien = une construction intellectuelle  Le personnage n’est pas doté d’une psychologie développée, d’une épaisseur romanesque. Absence de réalisme, caractère artificiel du personnage. cf onomastique, personnages-types au service d’une idée . Eudémon = « le bien doué », Picrochole = la bile amère = le colérique, Ponocrates = le travailleur … > volonté de l’auteur d’en faire le support d’une réflexion. // nom des personnages voltairiens :

sa dernière pièce d’or. Ce lieu est comparé à une prison et les joueurs semblent atteint d’une maladie : leur addiction. L’entrée de Raphaël à cet endroit peut être perçue comme la descente aux enfers d’un ange innocent, après tout, il y a une onomastique derrière le nom du personnage, c’est un nom angélique. Pourtant, il s’éloigne de l’idéal divin. Ce qui le marque le plus, c’est son incapacité à accepter la réalité de sa condition et de sa place sociale, son père de son vivant lui apportait une

terre. Marceline/Marcel : I- Marceline, la figure de l’épouse modèle 1) Grâce à son physique, son attitude 2) Grâce à ses actions (sert la table) 3) Un objet de désir (Madeleine, Pedro Surplus) II- Marceline, une identité controversée 1) Onomastique, dévolution du nom 2) Un comportement parfois masculin (pantalon) 3) cependant, des interrogations demeurent Roman novateur ? I-Aspect technique Travail sur le langage. Procédé de répétition. Interaction lecteur/narrateur. Travail sur le langage->Simplifier

l’histoire, point de vue interne, puisque dès la l.1, 4, 41, 45 « mon oncle, » « le professeur Lidenbrock ». pronom possessif 1ère pers sing. L.12 « je restai seul » pronom perso 1ère pers sing.  Les noms confirment la situation géographique (onomastique : étude des noms propres) sons durs : Europe.  Trois personnages apparaissent : « le professeur Lidenbrock » l.1, « La bonne Marthe » l.3 et « monsieur Axel » l.10 qui n’est autre que le narrateur et donc « neveu » l.17 du professeur.  On

lecture dans le cas de la mise en scène de soi en photographie n’est jamais établi par les critères définis pour la littérature (critère péritextuel et critère onomastique). Le cartel − l’équivalent du péritexte pour les œuvres visuelles − donne le titre de l’œuvre, quelques indications techniques et le nom de l’artiste. Quant au critère onomastique, il semble qu’il se joue dans la concordance entre le nom de l’artiste et sa présence dans le champ de l’image qu’il a mise en scène. Dès lors, le caractère

ouverture. Les poubelles ne font pas parties. Il y aussi plein de notation qui sont innovantes, en rupture.. La pièce vient de commencer avec le jeu de Clov qui se veut géométrique, saccadé, et mécanique avec absence de parole. « Académie 10 ». Onomastique : science des noms. I/ Une écriture dramatique totale II/ Une écriture en rupture Quand on dit écriture théâtrale, cela veut dire les indications données par l’auteur, ce sont des indications scéniques, présentes en parallèle avec le texte :

effet  aux mœurs sociales. Voltaire alterne ironie( raillerie qui consiste à dire le contraire de ce qu’on veut faire entendre), satire (discours, écrit piquant ou médisant. Blâme indirect) et humour caustique (corrosif, mordant). Le registre onomastique : M. de Saint Pouange. Notons tout d’abord le contraste entre  la désignation du personnage par Saint et sa conduite à l’égard de Melle Saint Yves qui, par contre,  par sa pureté et son dévouement est en parfaite harmonie avec son nom. Ce contraste