Opportunité Et Menaces Maroc Telecom

Mohammédia, Belghiti Khennoussi Mohamed qui ne revient pas définitivement au pays. Mais, riche d’une expérience de fournisseur de matières premières en charcuterie en France, il crée une unité de la même marque, Koutoubia, au pays. Partagé entre le Maroc et l’Hexagone, il confie la gestion de l’entreprise à un Français. Au bout de quelques mois, des difficultés de commercialisation, ajoutées à la forte présence des produits de contrebande, ont raison de son esprit d’entreprise. L’histoire aurait

changement comme une opportunité. » Peter Drucker 2 SOMMAIRE Dédicace …………………………………………………………………………………...…. 1 Remerciements ……………………………………………………………………………...... 3 Résumé ……………………………………………………………………………………..….4 Introduction générale ………………………………………………………………………….7 Énoncé de la problématique……………………………………………………………………8 Chapitre I : Prise de connaissance de la situation ……………………………………………10 IContexte mondial de la logistique ………………………………..…………………..10 IILa logistique au Maroc : un secteur prometteur

projet. De près ou de loin, nos témoignages ne pourront exprimer la sincérité de ce que ces personnes nous ont accordé comme valeur ajoutée, ou attribué comme atouts nous permettant de réussir notre parcours à l’avenir. 4 Introduction Au Maroc, comme ailleurs, le marché des cigarettes blondes connaît une croissance constante face à un marché brun en déclin. Cette dynamique, liée à l’évolution démographique, à l’augmentation du pouvoir d’achat et au développement du tourisme, profite au groupe

| |Etats-Unis : 22% (+) | |Maroc : 10% (=) | |80% des opérations réalisées pour des entreprises (20% pour le Grand Public)

Recherches économiques et managériales N°3-juin 2008 L'investissement direct étranger en Algérie: Impacts, opportunités et entraves GUERID Omar Maître assistant chargé de cours Faculté des sciences économiques et de gestion Université de Biskra. Résumé: Compte tenu de l'expérience de nombreux pays, l'IDE (l’investissement direct étranger) est considéré aujourd'hui comme un facteur de développement. Au cours des trois dernières décennies l'attitude de nombreux pays à l'égard de l'IDE

Accord de Libre Échange Maroc/USA : premiers bilans L’ensemble des États membres de l’OMC, dont le Maroc et les Etats-Unis, se sont engagés à Doha au Qatar en novembre 2001, « à interpréter et [mettre] en œuvre » l’accord ADPIC « d’une manière qui appuie le droit des Membres de l’OMC de protéger la santé publique et, en particulier, de promouvoir l’accès de tous aux médicaments ». [pic] ACT UP ! Paris Accord de Libre Échange Maroc/USA : premiers bilans publié le 15 mai 2004 dans Action 93

territorialité, permet d’élargir la concurrence à un niveau planétaire où des acteurs internationaux, tant publics que privés, fournissent des produits et des services sans tenir compte ni des lois locales ni de la distance à parcourir. Les opportunités offertes par l’Internet, le « réseau des réseaux », de par sa composition multimédia et par son coût réduit et la simplicité de son utilisation, modifient les perspectives commerciales des entreprises. Aujourd’hui, la valeur d’un hyper-marché

2 La cybercriminalité au Maroc, 2010 Tous droits réservés, y compris droits de reproduction totale ou partielle sous toutes formes. Dépôt légal : 2010 MO 1585 ISBN : 978-9954-9072-0-7 3 A mon fils Ismail 4 Remerciements Ce livre n’aura pas été possible sans le soutien de plusieurs personnes. Mes pensées vont notamment à: - Jean-Guy RENS, auteur du livre « L’empire invisible » et président de l’association canadienne des technologies avancées qui m’a fait part de ses précieux conseils tout

 Université Mohammed 1er Ecole supérieure De Technologie Oujda Rapport de stage de fin d’étude effectué à Imperial Tobacco Maroc Option : GRH Année scolaire : 2011-2012 Remerciement … Tout d’abord je tiens à remercier infiniment mon encadrante Mme Oubih Leila pour m’avoir orienté et aidé à élaborer mon rapport de stage. Je remercie aussi : -Mr Moumen Hassan qui m’a permis

qui sont utilisés au cours du processus de production et qui permettent la création d’un bien économique qu’on appelle les « Outputs » ou flux de sorties qui sont : 1. capital humain : personnel 2. Capital technique fixe : PPM petit poussin du Maroc 3. Capital technique circulant : ce sont des biens incorporels, qui donnent des bien finaux (matières 1ère, énergie) Tous ces facteurs permettent la réalisation d’un cycle de production (une séquence répétitive d’opérations d’approvisionnement