Opposition Classiques Keynes

des politiques économiques entre pays. c) L’opposition entre l’économie dite « Classique » et celle dite « Keynésienne » Le rôle stabilisateur de l’état s’est longtemps limité à une opposition simpliste entre économistes « classique » et « keynésien ». Aux économistes classique tel qu’Adam SMITH considèrent le marché comme le garant de l’intérêt général (principe de la main invisible), on oppose la vision de KEYNES d’un état nécessaire afin de neutraliser les effets négatifs des cycles économiques

n'évolue pas de façon discontinue: chaque nouvelle théorie puise ses sources dans les courants antérieurs, et la pensée économique se modifie progressivement au gré de l’histoire des faits économiques. §3 Le libéralisme de l’école classique Les économistes classiques La révolution industrielle britannique au XVIIIème siècle révèle un nouveau courant de pensée, fondement de la pensée économique moderne. Par ailleurs, après avoir favorisé dans un premier temps l’essor de l’économie française, la

Plan : 1. les caractéristiques de la société traditionnelle. 2. les crises frumentaires d’ancien régime. 3. Crises industrielles comme crises de surproduction ? 1. La réponse des économistes classiques. 1. une tentative d’analyse des faits qui ont conduit à la grande dépression. 2. Keynes et les « classiques ». Vers l’interprétation macroéconomique des crises. 3. Le développement de l’analyse en termes de cycle. 1. l’analyse de la stagflation selon Milton Friedman. 2. Du capitalisme industriel

Keynes. Epistémologie pour faire la distance entre la nouvelle théorie et celle néoclassique. C’est la 3ème façon de lire le monde et on ne peut pas mélanger cette différente façon de lire le monde. 1. Le circuit contre le marché. On voit cette opposition avec une querelle entre Keynes et Pigou à l’université de Cambridge, économie autrichienne contre économie britannique. Il est fonctionnaire dans un ministère britannique A) Keynes contre Pigou. Keynes (1883-1947), économiste britannique

 considéré  de  l’économie  politique.  Son  œuvre  majeur  reste   Recherche  sur  la  nature  et  les  causes  de  la  richesse  des  nations  en  1776.  C’est  un   économiste  classique  du  XVIIIème.   1-­‐ La  valeur   Smith  fait  la  distinction,  tout  comme  Aristote,  entre  la  valeur  d’usage  (son  utilité)  et   la  valeur  d’échange  (son  prix).

par des importations. La demande est un facteur nécessaire mais pas suffisant. Les entreprises n’investissent que si la rentabilité attendue de leurs investissements est supérieure à leur coût (explication donnée en cours). 2- L’analyse néo-classique considère que l’investissement constitue une demande de capitaux à long terme de la part des entreprises qui ont des besoins de financement : l’investissement est une demande de capital, une fonction décroissante du taux d’intérêt. Du côté de l’offre

douane et l’instauration de règles diverses pour les importations, d’autre part l’existence de subventions pour favoriser les exportations. Cette politique économique a notamment été appliquée par Colbert. 2) Le libéralisme des écoles classique et néo-classique Après avoir favorisé dans un premier temps l’essor de l’économie en France, la politique mercantile s’avère peu à peu décevante en raison des rigidités qu’elle entraîne dans le fonctionnement de l’économie. Par exemple, la multiplication

l'illusion monétaire (malinvestissement, perte de pouvoir d'achat masquée par une hausse nominal du revenu... ) 2. elle facilite o les débiteurs o les créditeurs qui ont réussi à se sur-protéger contre l'inflation o les détenteurs d'actifs (par opposition aux détenteurs de monnaie) o les importateurs (qui vendront plus aisément les produits étrangers dont le prix n'a pas de raison d'augmenter tout autant) et leurs clients (qui dépenseront moins, en terme réel, pour le même produit) 3. elle est

fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'Etat a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme et la nouvelle

23 I- De l'héritage classique aux prémices de théorie néoclassique 23 A- La conception d'ensemble des grands classiques 23 B- La loi des débouchés 24 C- La théorie quantitative de la monnaie 24 II- L'équilibre macro-économique néoclassique 26 A- Les hypothèses 26 B- Le marché du travail 27 C- Le marché du capital ou marché des fonds traitables 28 Section 2 : L'approche keynésienne de l'équilibre macro-économique 28 I- Les prédécesseurs 29 II- Le système de Keynes 30 Chapitre 4 : le modèle